Dans sa dernière émission, I-média propose l’un de ses numéros les plus révélateurs du climat intellectuel français. Un épisode marqué par une interview exclusive, plusieurs pastilles d’information incisives, et un portrait final consacré à Léa Salamé — figure emblématique du journalisme de connivence assumé.
L’interview : Philippe Herlin, premier condamné pour “désinformation climatique”
C’est l’événement de cette édition.
Philippe Herlin, économiste, est devenu malgré lui le premier Français condamné pour avoir exprimé publiquement un avis sceptique face au dogme du réchauffement anthropique. CNews a écopé d’une amende de 20 000 euros pour lui avoir donné la parole en 2023 — une sanction désormais confirmée par le Conseil d’État.
Sur le plateau d’Imédia, Herlin démonte méthodiquement :
La mécanique de la censure
Il explique comment la moindre remise en cause des modèles climatiques officiels — qu’il distingue des équations scientifiques solides — est devenue intouchable.
Selon lui, le “débat scientifique” n’existe plus : il est verrouillé.
Le rôle trouble des associations militantes
Il évoque notamment “Quotas Climat”, structure politique financée par des fonds publics… et par l’ARCOM elle-même, qui a signalé sa propre dénonciation.
Herlin y voit un système circulaire : militants → dénonciation → ARCOM → Conseil d’État, tous idéologiquement alignés.
L’impact sur les médias
Sa conclusion est sévère : plus aucun plateau ne prendra le risque d’inviter un contradicteur du dogme climatique, sous peine d’amende.
Le débat s’éteint, la peur s’installe.
Jean-Yves Le Gallou, co-animateur de l’émission, dénonce une justice administrative entièrement politisée, décrivant le Conseil d’État comme une forteresse socialiste idéologique coupée du réel.
Les pastilles : médias, politique et société au scanner
I-média enchaîne ensuite avec une série de séquences courtes et incisives :
1. Léa Salamé et Thomas Sotto : la comédie de l’“impartialité”
Une séquence décryptée avec ironie : Sotto, interrogé sur les opinions politiques de sa collègue, botte en touche — alors même que le couple Salamé–Glucksmann est devenu un emblème de la porosité entre service public et politique progressiste.
2. Glucksmann face à Zemmour : un débat électrique
Dans LCI, Glucksmann est présenté comme l’héritier naturel de Macron.
Zemmour, invité pour faire de l’audience, lui assène une série de mises au point très dures, notamment sur l’insécurité et l’immigration.
Les images révélant une femme “lambda” guidant visiblement Glucksmann font tache.
3. Radios et télévisions publiques attaquent CNews et Le JDD en justice
Radio France et France Télévisions s’estiment victimes de “dénigrement”.
La ministre de la Culture feint la distance mais laisse faire : un procès politique déguisé, payé par l’argent public.
4. Crépol : associations et familles réclament la vérité
Des témoignages évoquant des insultes ouvertement anti-blanches (“on vient planter du Blanc”) reviennent dans le débat.
La presse généraliste les avait soigneusement minimisés.
5. Puy du Fou : quand le récit national devient “controversé”
BFM accuse le parc vendéen de “réécrire l’histoire”.
Rappel utile : jusqu’aux années 1980, c’était pourtant exactement le récit national enseigné par l’Éducation nationale…
6. Claire Geronimi : violée par un migrant sous OQTF, insultée par StreetPress
Après avoir survécu à un viol atroce, la jeune femme est dépeinte par StreetPress comme “figure de l’extrême droite”.
TVL souligne la violence symbolique infligée à une victime.
7. Les “Natifs” poursuivis pour des slogans jugés anti-islam
Après un hommage aux victimes du Bataclan, plusieurs jeunes militants ont été interpellés à 6h du matin et poursuivis pour “provocation à la haine”.
Contrôle judiciaire, interdiction de se voir : une répression d’opinion, souligne Le Gallou.
Imédia rapproche cette affaire d’un sondage IFOP montrant un durcissement alarmant des attitudes islamistes chez les jeunes musulmans (sympathie pour la charia, rejet de la science, etc.).
Pendant ce temps, BFM craint surtout… les “intégristes catholiques”.
Portrait piquant : Léa Salamé, symbole d’un journalisme engagé
En conclusion, l’émission rediffuse un portrait décapant de Léa Salamé : origines familiales, réseaux politiques, proximité avec Raphaël Glucksmann, engagements idéologiques, accusations de partialité…
Un rappel utile au moment où la journaliste est régulièrement présentée comme “objective” alors qu’elle cumule image de neutralité et militantisme progressiste assumé.
I-média signe une édition dense, offensive et structurée, où se mêlent analyse politique, critique des médias et alertes sur l’état de la liberté d’expression en France.
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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