Nantes, quartier Dalby : la colère monte face au squat d’une retraitée de 78 ans dépossédée de son logement par des migrants depuis 18 mois

Un immeuble du quartier Dalby à Nantes est devenu le théâtre d’un scandale qui ne cesse d’indigner les habitants comme les internautes. Depuis plus d’un an et demi, une retraitée de 78 ans ne parvient pas à récupérer son appartement T5, illégalement occupé par une famille de migrants (dont deux enfants en bas âge) installés par l’association d’extrême gauche GASPROM. Une situation ubuesque dans un État de droit — et qui alimente la colère contre l’impunité dont bénéficient certains squatteurs.

Elle a 78 ans, une retraite de 1000 euros par mois, et elle est aujourd’hui contrainte de payer des charges pour un appartement… dont elle a été évincée. Un T5 hérité de son père en 1998, situé dans le quartier Dalby, à Nantes. Elle l’avait toujours loué dans les règles, avant de devoir suspendre la location pour raisons de santé. Mais à l’automne 2023, elle découvre stupéfaite — via un appel de son syndic signalant une fuite — que son logement est squatté.

Depuis, la situation n’a fait qu’empirer. Malgré un arrêté préfectoral en 2024 ordonnant l’expulsion des occupants – une famille guinéenne avec deux enfants en bas âge – le tribunal administratif a suspendu la mesure, invoquant la « vulnérabilité » des squatteurs et l’absence de solution d’hébergement. Résultat : la retraitée continue de payer 1 800 euros de taxe foncière, les charges de copropriété… et même la consommation d’eau de ceux qui occupent son bien sans droit ni titre. Et ce, en l’absence du moindre loyer.

“Il suffirait pourtant d’aller les déloger et de redonner sa maison à cette dame.”

Dans les commentaires sous les articles, ou sur les réseaux sociaux la colère monte. “On marche sur la tête !”, “C’est la propriétaire la plus vulnérable dans l’histoire !”, “Il suffirait pourtant d’aller les déloger et de redonner sa maison à cette dame”, peut-on lire sur les réseaux sociaux. D’autres s’indignent : “Elle a travaillé toute sa vie pour se faire piller par des profiteurs et des juges déconnectés !”, “À quoi sert une loi sur les squats si la justice s’en moque ?”

De nombreux internautes réclament une intervention immédiate : “Qu’attendent les forces de l’ordre pour agir ?” ; “Et pendant ce temps, elle n’a même pas de quoi vivre décemment avec sa retraite.” Certains pointent la responsabilité de la municipalité nantaise, rappelant que l’association Gasprom, qui soutient les squatteurs, est financée par la Ville de Nantes. “C’est le contribuable qui paie, deux fois : pour l’association, et pour la taxe foncière de la victime.”

Pour information, l’association se définit ainsi : « Depuis 1970 l’association accueille et aide les personnes immigrés. L’association se bat : contre le racisme et les discriminations, qu’elles soient sociales, raciales ou sexistes. Pour la liberté de circulation et d’installation des personnes et des idées. Pour l’égalité des droits dans une société interculturelle. Pour l’élargissement de la citoyenneté à toutes et à tous, indépendamment de la nationalité de chacun-e »

Le conseiller municipal d’opposition Foulques Chombart de Lauwe a interpellé la mairie. La majorité municipale, par la voix d’Abbassia Hakem, se défend : “C’est un sujet de l’État, pas de la mairie. L’association n’est pas missionnée pour favoriser des squats, elle accompagne l’accès au droit.”

Mais la préfecture, elle-même dans l’impasse, renvoie la balle à une future “nouvelle mesure administrative”. Et pendant ce temps, la septuagénaire doit attendre. Les citoyens sont dépossédés de leur droit dans leur propre pays au profit de populations venues d’ailleurs qui sont désormais manifestement prioritaires sur les autochtones.

Ce drame humain en plein cœur de Nantes n’est malheureusement pas un cas isolé. Il soulève des questions fondamentales sur l’état de notre justice, sur la protection de la propriété privée et sur le déséquilibre croissant entre les droits des occupants illégaux et ceux des propriétaires. L’association d’extrême gauche GASPROM et la mairie de Nantes qui la soutient ont manifestement épousé la devise « Les autres avant les nôtres ».

Crédit photo : DR
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Une réponse à “Nantes, quartier Dalby : la colère monte face au squat d’une retraitée de 78 ans dépossédée de son logement par des migrants depuis 18 mois”

  1. Vert dit :

    Article ne dit pas si les squatteurs Guineens sont légalement en France.
    Si ils travaillent .
    Donc si ils sans visas de séjour, leurs patrons sont en faute.
    Leur place est en cra

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