L’inauguration du nouveau centre d’accueil pour mineurs étrangers isolés à Dol-de-Bretagne, le 4 juin dernier, a mis le feu aux poudres. Ce centre, financé intégralement par le Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine, soulève l’indignation du Rassemblement National, qui dénonce une nouvelle « préférence étrangère » imposée sans consultation des citoyens.
Le bâtiment, une ancienne auberge de jeunesse, a été racheté pour plus d’un million d’euros. À cela s’ajoute un coût de fonctionnement de 875 000 euros annuels pour l’hébergement de 22 jeunes étrangers (39 000 euros par individu, imaginez si le département donnait cette somme à vos enfants…), principalement originaires d’Afrique de l’Ouest ou d’Albanie. Une équipe de 10 salariés encadre les pensionnaires, qui bénéficient également d’un accès à la scolarité, aux soins, et à des activités culturelles et sportives. « Ils iront visiter les sites touristiques pendant que de nombreux jeunes Bretons n’ont même pas les moyens de partir en vacances », déplore Gilles Pennelle, président du groupe RN au Conseil régional de Bretagne.
En Ille-et-Vilaine, la gauche finance à coups de millions d’euros la préférence étrangère ! pic.twitter.com/sSVDQon6FQ
— Gilles Pennelle (@GillesPennelle) June 5, 2025
Il n’y a que moi que ça choque 😡
Coût d’un nouveau centre de « mineurs » isolés à Dol de Bretagne :
– achat du bâtiment : 1 000 000 €.
– coût de fonctionnement annuel : 875 000 € avec l’embauche de 10 personnes.
Tout cela pour 22 « mineurs » étrangers !!!! Ils seront nourris,… pic.twitter.com/mq9Ny2R92a— 🇫🇷 fred le gaulois 🇫🇷 Uniondesdroites 🐱🐱 (@FredGaulois) June 8, 2025
Une aide sociale sous tension
Ce centre est le 10e du genre dans le département. En tout, plus de 900 mineurs isolés sont aujourd’hui pris en charge en Ille-et-Vilaine. Une prise en charge qui représente un budget de près de 30 millions d’euros par an, intégralement financé par les contribuables locaux. Pendant ce temps, le département évoque une « catastrophe financière » et multiplie les hausses de taxes, notamment sur les ventes immobilières. « Il manque 1 000 places pour les enfants handicapés, mais on trouve les moyens de financer l’accueil de clandestins », dénonce encore Gilles Pennelle dans un communiqué.
Nombre d’habitants de Dol-de-Bretagne s’interrogent. Marc, 58 ans, artisan, ne cache pas son amertume : « Mon fils attend une place en IME depuis deux ans. On nous dit qu’il n’y a pas de moyens, mais pour des mineurs arrivés sans papiers, là, il y en a ! » Même son de cloche pour Camille, jeune mère de famille, qui déplore « un système à deux vitesses, où les familles françaises modestes sont abandonnées pendant que d’autres sont accueillies à bras ouverts ».
Face à ces critiques, le président du Conseil départemental, Jean-Luc Chenut, justifie, comme tous les élus le font pour se protéger, l’ouverture du centre par des impératifs juridiques. « La prise en charge des mineurs non accompagnés est une obligation légale dès lors qu’ils sont reconnus comme tels par une décision de justice », affirme-t-il. Pour le maire de Dol-de-Bretagne, Denis Rapinel, il s’agit d’« une main tendue vers des jeunes en quête de reconstruction ». Une posture humanitaire qui n’émeut guère les opposants, pour qui « humanité ne doit pas signifier aveuglement politique ni ruine des finances locales ».
La propagande elle, tourne à plein régime avec le maire qui, manifestement, voit les migrants comme de la matière économique ; « C’est un investissement pour demain (…) Ce sont peut-être eux qui vous soigneront ou répareront vos maisons » tandis qu’un journaliste s’extasie au sujet de Siaka, 15 ans, « qui fait parler ses talents de dribbleur au basket-club dolois »
Le foyer a été baptisé non pas Nominoë, souverain breton, mais « Sabali », mot bambara signifiant paix, pardon, ou encore patience. Entre décisions technocratiques prises à huis clos, absence de consultation populaire, et explosion des dépenses sociales à destination d’une population extra-européenne, le malaise s’installe.
En toile de fond, une question essentielle : jusqu’où les élus bretons iront-ils dans la préférence étrangère, pendant que tant de Français peinent à boucler les fins de mois ?
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6 réponses à “Préférence étrangère à Dol-de-Bretagne (35) : l’argent des contribuables au service des « mineurs » isolés”
La place des MNA est au bled.
Avec leur famille .
Dites vous un MNA français trouvé en Afrique .
.
En 24h il serait de retour à Paris
Petit calcul : 500 000 personnes dits migrantes par an soit en 20 ans 10 millions sans la correction nataliste.
En 50 ans 25 millions ! Et sans les corrections natalistes.
Adieu bretonnes, bretons et Bretagne !
Je lis bien : »jusqu’où les élus bretons iront-ils…? Mais ils ont été élus par qui ?
Nous sommes tout de même un petit paquet à attendre un soulèvement efficace… Quand viendra-t’il ? enfin…
Il ne sert plus à rien de tenter de discourir avec ces élus prétendument « Français », renégats et retors.
Pourquoi ces « mineurs étrangers isolés » ne sont pas remis au consulat le plus proche de leur pays ? Ou ambassade … (A charge complète et responsabilité parentale …)
« La prise en charge des mineurs non accompagnés est une obligation légale dès lors qu’ils sont reconnus comme tels par une décision de justice », affirme-t-il. Pour le maire de Dol-de-Bretagne, Denis Rapinel,. Reconnus comme tel forcément , aucun test n’est pratiqué afin de savoir si mineur où adulte , nous savons très bien qu’une grande partie de ceux-ci sont adultes , au fait , la population du bled en question n’a pas l’air d’être contre puisque ça ne manifeste pas , c’est le RN qui soulève l’affaire passant au passage pour un parti faschiste pour beaucoup de gauchistes dans la commune .