L’actrice américaine Sydney Sweeney, star montante d’Hollywood et visage de la dernière campagne publicitaire d’American Eagle, est devenue malgré elle l’objet d’un véritable procès en sorcellerie de la part de la gauche progressiste. Son crime ? Être belle, souriante, féminine… et vendre des jeans.
La campagne incriminée – qui met en scène la comédienne dans une publicité pour un jean, sur le ton d’une autodérision sexy et assumée – a suffi à déclencher une tempête médiatique. Accusations de « nazisme », de « sous-entendus eugénistes », de « racisme voilé »… Même le Washington Post et ABC News ont convoqué experts et sociologues pour disserter sur les prétendus dangers de cette publicité. Selon certains éditorialistes, le slogan « Sydney Sweeney has great jeans » – jeu de mots entre jeans et genes (gènes) – ferait référence à l’eugénisme. On croit rêver.
En réalité, cette campagne n’a qu’un seul objectif : vendre des pantalons. Et elle le fait très bien. Grâce à la collaboration avec Sydney Sweeney, American Eagle a vu son cours en bourse bondir de 15 %, ajoutant plus de 400 millions de dollars à sa valeur. Les clients, eux, ont répondu positivement : environ 70 % des sondés ont apprécié la campagne.
Mais ce succès populaire ne plaît pas à tout le monde. La gauche militante, enfermée dans sa logique d’égalitarisme radical et de déconstruction permanente, ne supporte pas qu’une femme séduisante, blanche, blonde, hétérosexuelle et non militante soit valorisée. Pire : qu’elle assume son apparence et qu’elle plaise aux hommes.
La vérité, c’est que Sydney Sweeney incarne un retour du bon sens et de la beauté dans une industrie publicitaire dévoyée ces dernières années par une idéologie délirante : mannequins transgenres, activistes LGBT+ déguisés en influenceurs, campagnes genrées à outrance, culte de la laideur et de la difformité érigé en norme. Une époque où la moindre image d’une femme souriante pouvait être jugée oppressive, raciste ou patriarcale. Où la diversité obligatoire faisait office de morale imposée.
On se souvient du désastre Bud Light en 2023, qui avait vu les ventes s’effondrer après l’association de la marque à un influenceur transgenre. Même sanction pour Jaguar, dont les campagnes inclusives n’ont pas empêché une chute de 97 % des ventes en Europe. Les consommateurs, eux, en ont assez d’être pris en otage par les lubies idéologiques d’une minorité bruyante.
Ce que révèle l’acharnement contre Sydney Sweeney, c’est l’agonie d’un wokisme devenu caricatural. Le monde réel est en train de reprendre ses droits. Les femmes peuvent de nouveau être belles, élégantes, féminines – sans avoir à s’excuser. Les publicités peuvent recommencer à séduire, plutôt qu’à sermonner. Et la majorité silencieuse se réjouit de ne plus devoir faire semblant d’aimer ce qu’elle réprouve.
Sydney Sweeney n’est ni une héroïne politique, ni une militante. Elle est une femme libre qui réussit dans un monde d’hypocrisie. Et c’est justement ce qui la rend si insupportable aux yeux d’une gauche qui, au fond, hait la beauté, la liberté et le plaisir.
Longue vie au bon goût.
YV
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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2 réponses à “Pourquoi la gauche woke déteste Sydney Sweeney ? [L’Agora]”
Et dire que l’arcom nous impose des pubs tv , qui respire la diversité .
je boycotte ces pubs TV avec les noirs arabes etc .
Au Nigeria les pubs TV et magazines n’ont pas le droit de mettre des blancs en valeur .
une pétition en ligne sur le site de l’assemblée nationale pour la suppression de ce gropuscule woke
Bonne nouvelle au passage : les Américains sont capables de comprendre et d’apprécier un second degré !