Depuis La Haye, Geert Wilders lance un cri d’alarme : si l’Europe ne stoppe pas immédiatement l’immigration massive, elle court à sa perte. Dans une tribune récemment publiée par le média américain Breitbart, le leader du Parti pour la liberté (PVV) – aujourd’hui premier parti des Pays-Bas – dresse un constat accablant de la situation migratoire sur le continent. Il dénonce l’aveuglement des élites, la trahison des gouvernements centristes, et appelle les peuples à reprendre le contrôle de leurs frontières avant qu’il ne soit trop tard.
Une immigration de masse organisée et suicidaire
Dix ans après l’ouverture des vannes migratoires par Angela Merkel en 2015, les conséquences sont désormais visibles partout : plus de 10 millions de migrants en majorité jeunes, hommes, sans qualifications ont afflué en Europe, transformant les quartiers, saturant les structures d’accueil, bouleversant les équilibres sociaux, économiques et culturels.
Wilders pointe la responsabilité directe des gouvernements occidentaux : « Nos dirigeants ont imposé à leurs propres peuples des flux migratoires qu’ils n’ont jamais souhaités. »
En parallèle, le coût économique est colossal. Aux Pays-Bas, le coût net à vie d’un demandeur d’asile est estimé à 800 000 euros selon le chercheur Jan van de Beek. Un fardeau fiscal insoutenable pour les classes moyennes européennes.
Le spectre du remplacement civilisationnel
Mais au-delà du coût matériel, c’est le choc culturel et civilisationnel que Wilders met en lumière. Il évoque la montée inexorable de l’islamisation, notamment au Royaume-Uni, où la population musulmane pourrait atteindre 20 % d’ici la fin du siècle. En Europe de l’Ouest, elle pourrait tripler d’ici 2050, passant de 5 % à 15 %. « Si nous échouons à fermer nos frontières, les traditions chrétiennes et humanistes européennes seront balayées. »
Wilders n’accuse pas tous les musulmans. Mais il alerte sur la proportion croissante de ceux qui rejettent les lois laïques européennes au profit des normes islamiques. Selon une étude de l’université d’Amsterdam, jusqu’à 11 % des musulmans aux Pays-Bas jugent légitime l’usage de la violence au nom de l’islam.
Le constat est implacable : attaques au couteau, viols collectifs, agressions antisémites, violences en série… Wilders souligne la responsabilité directe de l’immigration incontrôlée dans la montée de l’insécurité.
Il rappelle notamment qu’il vit sous protection policière permanente depuis plus de vingt ans pour avoir critiqué l’islam et défendu la liberté d’expression.
L’antisémitisme, selon lui, est devenu un marqueur de cette insécurité culturelle. Il évoque les attaques contre des enfants juifs en Espagne, la chasse aux supporters israéliens à Amsterdam, ou l’agression d’un père et de son fils en Italie, pour dénoncer une lâcheté européenne qui risque de finir par dévorer tous ses peuples.
L’Europe à la croisée des chemins
Pour Geert Wilders, les élections législatives d’octobre prochain aux Pays-Bas seront un référendum sur la survie nationale. Il parle de « Flight 93 election », en référence à l’un des avions du 11 septembre : agir maintenant ou périr à terme.
Il appelle les électeurs à donner un mandat clair aux partis patriotes pour :
- Rétablir le contrôle total des frontières ;
- Interdire la réunification familiale pour les migrants ;
- Supprimer l’accueil des hommes seuls ;
- Rendre illégale toute entrée irrégulière ;
- Expulser les délinquants étrangers et les islamistes ;
- Révoquer la nationalité néerlandaise des criminels binationaux.
Face à des élites jugées « molles », Wilders cite Abraham Lincoln : « On ne peut pas échapper aux responsabilités de demain en les fuyant aujourd’hui. »
Il fustige au passage l’hypocrisie de ceux qui interdisent l’entrée à deux ministres israéliens tout en soutenant l’octroi de visas sans restriction à 100 millions de Turcs, conformément à une vieille lubie de la Commission européenne. Wilders sait qu’il est clivant. Il a été la cible de fatwas, de menaces, de tentatives d’assassinat. Mais son message trouve un écho de plus en plus large, dans un continent lassé d’être traité en passoire. « Le peuple veut sa sécurité et sa liberté. Il est temps de lui rendre. »
À l’approche d’élections cruciales partout en Europe, son avertissement vaut pour tous : l’avenir des peuples européens se joue maintenant.
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2 réponses à “Geert Wilders alerte l’Europe : « C’est notre dernière chance avant le basculement démographique »”
Imaginez la France, l’Allemagne, l’Europe, dans 5 ans, dans 10 ans, dans 20 ans….. « Il faudra changer nos bonnes vieilles habitudes pour être acceptés par les nouveaux venus…. » récit romantique troublant « les corps indécents ». Il faut d’ores et déjà s’adapter.
exactement.
Allez sur le site ou va ma France.
chiffres départements par départements de l’islamisation et du grand remplacement.
voir un site internet sur les statistiques sur le changement migratoire en France. département par département. le nombre de mosquées, de prénoms musulmans, de hlm. le plus musulman est Mayotte, suivi du 13 , 93 , et 95 , 94 . ou va ma France ? https://ouvamafrance.replit.app/index.html
https://ouvamafrance.replit.app/index.html