Les bars et discothèques ferment, les rues se vident plus tôt, et une génération entière semble délaisser la vie nocturne. Les jeunes adultes d’aujourd’hui, souvent qualifiés de « casaniers », préfèrent rester chez eux, boire un thé matcha, faire du sport ou organiser des soirées privées entre amis plutôt que de s’entasser sur des pistes de danse bondées. Derrière ce phénomène, il y a bien plus qu’un simple changement de mode de vie.
Des chiffres qui témoignent d’un déclin
En France, sept discothèques sur dix ont disparu depuis les années 1980. Amsterdam et Barcelone voient leurs établissements fermer bien plus tôt qu’auparavant. Berlin, longtemps symbole d’une fête sans fin, raccourcit elle aussi ses nuits. Le Royaume-Uni a perdu plus d’un tiers de ses clubs en cinq ans, et à Londres, seuls 6 % des lieux ferment après 2 h du matin.
Sortir régulièrement représente une dépense difficilement supportable pour de nombreux jeunes, surtout dans les capitales. À cela s’ajoute l’impact du Covid : deux années passées enfermés ont forgé de nouvelles habitudes. Beaucoup ont découvert les soirées à domicile, jugées plus économiques, plus sûres et plus faciles à contrôler.
Une insécurité croissante
Mais la principale raison évoquée par de nombreux jeunes, surtout des femmes, reste la peur de l’insécurité. Harcèlement, vols à la tire, agressions : les témoignages se multiplient. En Belgique, 95 % des femmes déclarent ne pas se sentir en sécurité la nuit, une sur cinq affirmant avoir déjà été suivie. En région parisienne, près de la moitié des jeunes femmes de 16 à 25 ans disent avoir déjà eu peur dans un taxi ou un VTC.
Certaines histoires marquent durablement : la nuit du Nouvel An 2015 à Cologne, où des centaines de femmes furent agressées par des groupes d’hommes, principalement nord-africains ; le meurtre de Maria Ladenburger en 2016 à Fribourg par un faux « mineur » afghan déjà condamné pour tentative de meurtre ; ou encore l’assassinat à Florence de l’Américaine Ashley Ann Olsen par un clandestin sénégalais. Plus récemment, des affaires similaires ont éclaté à Paris, Munich ou Madrid, impliquant des suspects issus de l’immigration récente et difficilement expulsables.
L’ombre du terrorisme
La menace ne se limite pas aux agressions de rue. Les lieux festifs ont aussi été visés par des attaques terroristes : le Bataclan à Paris en 2015, l’Arena de Manchester en 2017… Des drames qui restent dans toutes les mémoires et pèsent sur le sentiment de sécurité des jeunes générations.
Moins de monde dans les rues entraîne plus de fermetures ou des horaires réduits, ce qui renforce le sentiment d’insécurité et décourage encore davantage les sorties. Résultat : la jeunesse se prive de ce qui fut longtemps un rite de passage — apprendre à gérer les interactions, les imprévus et parfois l’adversité dans un cadre festif.
Rétablir une vie nocturne dynamique suppose de restaurer la sécurité : présence policière effective, tolérance zéro pour les agresseurs, expulsions réelles des étrangers délinquants. Faute de quoi, l’Europe risque de voir disparaître une part entière de son art de vivre après la tombée du jour.
YV
Crédit photo : Image réalisée par l’IA
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Une réponse à “Génération Z : quand l’insécurité et l’immigration de masse tuent la vie nocturne européenne”
Sortir la nuit devient de plus en plus dangereux au vue des différents type d’agressions que l’on peux subir de la part d’une population étrangère qui n’a qu’une idée en tête , tuer , violé, volé quelque soit sont age ,tout blanc de préférence chrétien ou juif qui ce trouverait sur sont passage.