La Bretagne vient de vivre un nouvel épisode de cette stratégie de terreur idéologique que pratique désormais une partie de l’extrême gauche. La traditionnelle Fête du cochon, organisée depuis plusieurs années à Treffendel (Ille-et-Vilaine) par Le Parti de la France, mouvement politique nationaliste, sans jamais le moindre incident d’ordre public, a été annulée à la suite de pressions, menaces et intimidations visant les propriétaires des lieux.
Une députée insoumise en première ligne
À l’origine de cette polémique, la députée LFI de la circonscription, Mathilde Hignet, qui a réclamé dans les colonnes d’Ouest-France l’interdiction pure et simple de l’événement. Selon elle, cette fête privée ne serait pas une rencontre conviviale mais une « tribune de l’idéologie raciste, xénophobe et suprémaciste ». Des accusations graves, sans fondement, qui ont immédiatement déclenché un déferlement de menaces à l’encontre des organisateurs et des hôtes, contraints à jeter l’éponge.
Les organisateurs rappelaient pourtant qu’il s’agissait avant tout de célébrer l’anniversaire de l’un d’entre eux, sur une propriété privée, entouré d’une cinquantaine d’invités. Une fête marquée par la convivialité et la défense d’une tradition bretonne – le cochon – qui n’a jamais donné lieu à des débordements.
Chaque année, ce rendez-vous rassemblait des convives d’horizons variés, parfois engagés politiquement, mais toujours dans le respect de la légalité et de l’ordre public.
Cette fois, les choses ont pris un autre tour. Dans la foulée des déclarations de la députée insoumise, des pressions multiples se sont exercées sur les propriétaires du lieu, jusqu’à les contraindre à annuler l’événement. Une méthode qui illustre la violence symbolique et politique utilisée par certains groupes militants : la dénonciation publique, la stigmatisation médiatique, puis les menaces et les pressions en coulisse.
Cette affaire résonne avec l’actualité internationale : une semaine seulement après l’assassinat de Charlie Kirk aux États-Unis, figure conservatrice abattue pour ses idées, c’est encore la liberté d’expression et de réunion qui se trouve menacée en Bretagne. Certes, les méthodes ne sont pas comparables dans leur gravité, mais le mécanisme est le même : faire taire par la peur, empêcher tout débat, intimider jusqu’à l’autocensure.
Face à cette situation, les organisateurs ont annoncé que ce n’était que partie remise : la Fête du cochon reviendra prochainement en Bretagne. Au-delà de cet épisode, se pose une question plus large : peut-on encore, en Bretage comme en France, célébrer une tradition locale, sur terrain privé, sans risquer d’être accusé de « racisme » et de voir l’extrême gauche dicter sa loi par l’intimidation ?
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