Au Québec, trois hommes qui forment une relation amoureuse sont parvenus à adopter légalement une fillette auprès des services de protection de la jeunesse (DPJ). Cette adoption, finalisée la semaine dernière et rendue possible après un premier refus et une contestation établie sur la base de « discrimination de famille polyamoureuse », soulève de nombreuses questions.
Deux ans après avoir déposé une demande auprès des services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal en vue de se faire confier un enfant qu’ils souhaitaient adopter, un couple gay reçoit l’aval des autorités. Mais entre-temps, le couple est devenu un « trouple », raison pour laquelle leur dossier est refusé.
Leur avocate, Me Laura Cárdenas, conteste la décision faisant valoir notamment que les trois hommes ont été discriminés en raison du statut de leur famille et de leur état matrimonial de type polyamoureux. Un refus qui, selon l’avocate, viole « les droits à l’égalité et à la dignité des demandeurs ».
Les trois hommes présentent alors une nouvelle demande dans une autre région (Montérégie) qui est acceptée. La différence de traitement étant due, selon un des membres du couple, au fait qu’ils soient, cette fois « tombés sur des professionnelles qui étaient ouvertes d’esprit, qui étaient prêtes à comprendre ce qu’est un trio amoureux«
L’élimination de la figure de la mère, actée sans complexe par les partisans de l’adoption par des couples gays prend ici une nouvelle dimension. En cas de rupture et de nouvelle(s) union(s), l’enfant se retrouverait-il au sein d’une « famille » recomposée de six, de neuf ou de combien d’hommes ? Est-il dans l’intérêt d’un enfant d’être exposé à des dynamiques relationnelles aussi fluctuantes que les relations polyamoureuses ?
Se poser ces questions – légitimes au vu de la plus grande instabilité des couples du même sexe – c’est déjà comprendre qu’il y a un problème.
- L’adoption d’un enfant par un trio amoureux soulève des questions fondamentales sur l’intérêt supérieur de l’enfant. Un tel modèle familial, par sa complexité relationnelle, risque de compromettre la stabilité émotionnelle et psychologique de l’enfant, qui doit avant tout… pic.twitter.com/1AxPY4gvgE
— Alexandre Gauthier (@alexgauthier92) September 19, 2025
Tous les pédopsychologues concordent sur le fait que les enfants ont un besoin fondamental de stabilité, essentielle pour leur développement émotionnel et leur sécurité affective et que cette stabilité se manifeste par une présence adulte prévisible, une routine rassurante et un environnement social, émotionnel et physique constant et cohérent. Leur avis est-il pris en compte dans ces cas spécifiques ?
Enfin, l’argument « il est préférable qu’un orphelin soit pris en charge par un couple homosexuel plutôt que de croupir dans un foyer », bien qu’il soit récurent chez les partisans de l’adoption pour les personnes du même sexe, relève d’une méconnaissance de la problématique des adoptions, puisqu’il y a au Québec comme presque partout dans le monde occidental, plus de familles désirant adopter que de mineurs disponibles à l’être (1).
Il semblerait que même l’intérêt des enfants doive céder le pas devant la reconnaissance de relations amoureuses ou sexuelles entre adultes que l’on tente d’imposer comme des modèles familiaux. L’ère de l’enfant roi est bel est bien révolue.
Audrey D’Aguanno
(1) Un grand nombre d’enfants n’accède pas à l’adoption en raison de l’absence de famille correspondant à leurs besoins spécifiques ou parce que le projet d’adoption n’a pas été pas considéré comme envisageable.
Crédit photo : LaPresse.ca
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
8 réponses à “Québec : trois hommes en couple adoptent une petite fille”
BI n’est pas un site violent, ni même qui incite à la violence mais face à ce type de comportement est-ce que seul le raisonnement ou les lois sont une solution?
Bonjour,
« Polyamoureux », laissez-moi rire. Qu’est-ce qui pourrait sauver l’amour ? Pas youporn en tout cas.
Cdt.
M.D
j’ai peur pour l’avenir de cette petite fille : sans stabilité psychologique une future droguée et prostituée ?
N’importe quoi !
Il n’y a décidément plus aucune limite à la volonté de certains de démolir la famille. Est ce une offensive de plus, après l’euthanasie, des frères trois points ? Mais que pouvons nous faire contre cette engeance maléfique mais de plus en plus à la manoeuvre ?
UN MONDE DE FOUS
L’intérêt de l’enfant … ou autre chose comme l’enfant objet! Perte des valeurs et décadence !
C’est une décision criminelle pour la destitution de l’être humain in progress.
Ils saccagent d’abord les murs porteurs et protecteurs de la famille traditionnelle.
Ils ont mis cette petite fille sur un chemin de tous les dangers.
Qui peut devenir un stalag de déconstruction encadré par des psycho-prédateurs.
L’Homme nouveau né d’un fantasme totalitaro-mondialiste dévastateur. Une idéologie scélérate, pour un être assujetti qui peut devenir tranquillement un névrosé dans un paradis pathologique avec l’emprise assistée de psychotropes.
(les salles de shoot sont déjà chères à la gauche)
Pour enfin un être manipulable qui devient l’ombre de lui-même.
Voilà comment l’imposture amoral du cartel des gauches, cette maladie mentale, avance en œuvrant pour la déconstruction de l’humain, en misant sur la droite domestiquée à coups de moraline, sur l’immigration par clientèlisme et sur les tarés en devenir pour ratisser large.
Pour cette engeance totalitaro-mondialiste cette petite fille est une avancée réussie, diabolique.
Bien vu Durandal !