Selon les derniers chiffres officiels de l’Office for National Statistics (ONS), la population britannique a atteint 69,3 millions d’habitants en 2024. Une croissance record dont 98 % est directement imputable aux arrivées migratoires. Le phénomène s’accompagne d’une chute historique de la natalité, posant la question de la survie démographique et identitaire du pays.
The population of the UK continued to grow in the year to mid-2024, reaching an estimated 69.3 million people (69,281,400), up 1.1% (755,300) from mid-2023.
This growth represents the second-largest annual numerical increase for over 75 years.
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— Office for National Statistics (ONS) (@ONS) September 26, 2025
Une croissance record, sans précédent depuis la guerre
Entre mi-2022 et mi-2023, le Royaume-Uni a connu une hausse de 755 000 habitants, soit la deuxième plus forte progression démographique depuis la Seconde Guerre mondiale. La seule année à avoir dépassé ce chiffre est celle qui l’a précédée, avec une augmentation de 890 000 personnes.
En comparaison, la croissance naturelle est dérisoire : à peine 16 239 naissances de plus que de décès, soit 2 % de l’accroissement total.
Dans le même laps de temps, 1,23 million de personnes sont venues s’installer durablement au Royaume-Uni, tandis qu’environ 496 500 ont quitté le pays. Le solde migratoire net atteint donc près de 739 000 personnes, représentant 98 % de la croissance démographique.
Contrairement à une idée reçue, la majorité de ces arrivées ne concernent pas les migrants illégaux en bateau, mais bien des flux migratoires légaux, autorisés par les politiques en place.
L’Angleterre en première ligne
Parmi les nations constitutives du Royaume-Uni, l’Angleterre concentre l’essentiel de cette poussée démographique, avec une hausse de 1,2 % de sa population en un an. Le Pays de Galles, l’Écosse et l’Irlande du Nord restent en retrait, avec des croissances inférieures à 1 %.
Alp Mehmet, président du groupe Migration Watch, a résumé la situation en des termes frappants : « Ces chiffres équivalent à ajouter chaque année une ville de la taille de Leeds. » Selon lui, le gouvernement britannique ferme les yeux sur des « niveaux catastrophiques d’immigration » et ne propose aucune stratégie pour les réduire.
Nigel Farage, figure du Brexit, a récemment insisté pour que s’ouvre enfin un débat sur l’immigration légale, qu’il juge hors de contrôle.
Les chiffres confirment une tendance de fond : faible natalité autochtone et immigration massive imposent un bouleversement démographique durable. Le politologue Matt Goodwin, en se basant sur les données officielles, estime que les Britanniques de souche deviendront minoritaires d’ici 2063. À l’horizon 2100, la proportion de Britanniques « blancs autochtones » tomberait à 22 %.
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4 réponses à “Royaume-Uni : la population explose sous l’effet d’une immigration massive”
La remigration droit être rendue désirable par des incitations de toutes sortes.
That is the question : « Quel sera le sort réservé aux autochtones de souche chrétienne quand ils deviendront minoritaires sur les terres de leurs ancêtres ? » suivant récit troublant « les corps indécents ». on peut toujours rêver le meilleur bien sûr.
Comme en France, ils ne veulent rien donné aux femmes Françaises pour faire des enfants, mais ils donne sans compter aux femmes immigrés pour en faire, sans compter les prestations sociales gratuites !!! un nouveau né Français, 4à5 étrangers ! ou est l’horreur !
Les Françaises doivent faire des enfants mais en continuant à travailler pour payer le logement et tout le reste car le salaire d’un seul ne suffit plus….alors…et puis les emplois se font rares…