L’agression de Nantes, le 26 octobre, en dit plus long sur l’état de la France que n’importe quel débat parlementaire. Alors que quelques étudiants rendaient hommage à Lola, une enfant de douze ans torturée et assassinée par une immigrée en situation irrégulière, une meute d’antifas a surgi pour frapper, insulter, profaner.
Des bougies piétinées, un portrait d’enfant détruit, des coups portés, des cris de haine. Voilà leur courage : s’en prendre à des jeunes pacifiques, venus honorer une victime.
Ces groupuscules d’extrême gauche se présentent comme les « défenseurs du bien ».
En réalité, ce sont les nouveaux miliciens du régime médiatique et universitaire, dressés pour pourchasser, intimider, censurer quiconque ose penser autrement. Leurs cibles sont toujours les mêmes : étudiants patriotes, journalistes dissidents, professeurs non conformes, militants du réel.
Ils hurlent « antifascisme » mais agissent avec la même violence que les chemises brunes imaginaires qu’ils prétendent combattre. Ils sont le bras armé de l’idéologie dominante : celle du chaos migratoire, du relativisme moral et du délit d’opinion.
La violence politique change de visage
Contrairement à la légende soigneusement entretenue par la presse subventionnée à longueur d’année, ce ne sont pas les gens de droite qui agressent.
Les faits sont clairs : depuis deux ans, la quasi-totalité des violences politiques de rue proviennent de l’extrême gauche. Agressions de la Cocarde Étudiante à Nantes, attaques à Marseille, Toulouse, Paris, menaces à la Sorbonne contre Pierre Gentillet, campagnes de harcèlement contre tout penseur classé “à droite”.
Partout le même scénario : la haine, la lâcheté, l’impunité.
Les rares incidents venant de la droite radicale sont très souvent des actes isolés, et immédiatement punis et condamnés. Mais les antifas, eux, bénéficient de relais jusque dans les travées de l’Assemblée nationale. Certains députés de la France insoumise leur servent de porte-voix, justifiant leurs violences au nom de la « lutte contre le fascisme ».
Le message est limpide : frapper un patriote n’est plus une infraction, c’est un acte militant.
Le terrorisme moral de l’extrême gauche
Car l’antifascisme n’est plus un idéal : c’est une industrie de la peur. Ses troupes quadrillent les universités, les médias, les réseaux sociaux.
Elles dressent des listes noires, font pression sur les employeurs, déclenchent des campagnes d’intimidation. Elles ne veulent pas débattre : elles veulent faire taire. Le “fascisme”, pour elles, c’est toute pensée qui ne sacrifie pas à leur religion du progressisme obligatoire.
Le résultat, c’est un pays sous chantage idéologique permanent : le journaliste qui doute de l’immigration, le professeur qui refuse la langue inclusive, l’étudiant qui défend la civilisation européenne — tous vivent sous la menace d’une meute numérique ou physique.
Le deux poids, deux mesures de la République
Lorsque l’extrême gauche attaque, les ministres se taisent, les préfets minimisent, les médias détournent le regard.
Lorsqu’un militant de droite se défend, les sanctions pleuvent. Cette asymétrie nourrit la colère de tout un peuple qui n’en peut plus d’être insulté, ruiné, criminalisé parce qu’il refuse de se soumettre. À force d’impunité, le pouvoir fabrique la légitime exaspération.
Oui, la peur doit changer de camp.
Pas par vengeance, mais par rétablissement de la justice. Il est temps que les citoyens conscients se lèvent, que les patriotes cessent de courber l’échine, que les autorités appliquent la loi à tous, y compris à l’extrême gauche. La violence antifasciste n’est pas une opinion : c’est un symptôme de la décadence du pouvoir.
Ce siècle sera celui de la confrontation des réalités. La droite identitaire n’a plus à s’excuser d’exister. Elle doit parler haut, se montrer, et ne plus jamais céder un pouce de terrain à ceux qui veulent l’effacer.
La France, la Bretagne, l’Europe ont besoin de réarmement moral, non de repentance. Il ne s’agit pas de rendre coup pour coup, mais de réinvestir la vie publique, les universités, les médias, avec force et dignité.
Les antifas veulent la peur ? Qu’ils découvrent ce qu’est la détermination. Car le courage est contagieux…et il est de notre côté.
Julien Dir
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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Une réponse à “Terreur Antifa à Nantes, Paris, Rennes, Toulouse… Que la peur change enfin de camp”
Ce qu’ils pensent être de la force n’est en fait que de la faiblesse.
Se battre avec ses poings et des gros mots pour un adulte c’est démontrer qu’il est resté au stade infantile.