#MontronsLeReel. Jean-Eudes Gannat : Une garde à vue et des poursuites pour un cri du réel, une vague de solidarité qui ébranle l’Inquisition judiciaire

Dans une France où dénoncer l’invasion migratoire semble désormais relever du crime d’État, l’affaire Jean-Eudes Gannat incarne la dérive d’un pouvoir judiciaire de plus en plus politisé. Il aura suffi d’une courte vidéo publiée sur les réseaux sociaux pour que Jean-Eudes Gannat, militant identitaire et chroniqueur à Radio Courtoisie, soit arrêté et placé 48 heures en garde à vue.

Le parquet d’Angers, dirigé par le procureur Éric Bouillard – déjà connu pour ses poursuites répétées contre des figures de la droite nationale, lui qui a déjà empêché par le passé, du fait de poursuites, que J-E Gannat assiste à la naissance de son troisième enfant– a ouvert une enquête en flagrance pour « provocation à la haine raciale » après la diffusion d’une séquence montrant quatre Afghans installés à Segré, dans le Maine-et-Loire. Ces individus auraient porté plainte moins d’une heure après la mise en ligne de la vidéo. Une célérité judiciaire que même les praticiens du droit trouvent inhabituelle, tant elle contraste avec la lenteur des enquêtes quand les victimes sont françaises.

Gannat a été interrogé sur ses activités, sa vie privée et ses opinions politiques avant d’être placé en cellule pour la nuit : six mètres carrés, toilettes à la turque, murs souillés. « Je n’ai pas été maltraité, mais tout cela reste ahurissant pour une simple vidéo », a-t-il confié.

Une réaction populaire et politique sans précédent

Très vite, la nouvelle de son interpellation a déclenché une onde de choc sur les réseaux. Sous le mot-d’ordre #MontronsLeRéel, initié par Radio Courtoisie et la journaliste Liselotte Dutreuil, des milliers de Français ont publié et relayé leurs propres témoignages, photos et vidéos de ce qu’ils vivent dans leur quotidien : insécurité, cohabitation difficile, sentiment d’abandon.

Le mouvement a dépassé les cercles militants habituels : des personnalités politiques comme Marion MaréchalFlorian PhilippotNicolas Dupont-Aignan ou Éric Zemmour à demi mot ont exprimé leur soutien, tout comme des figures médiatiques de droite et des influenceurs jusque-là éloignés du militantisme. Même Cnews a fini, grâce à Mathieu Bock Côté, par évoquer le cas Jean-Eudes Gannat. Seul le RN, hormis quelques députés moins médiatiques, s’est tu, comme trop souvent, ce qui interroge sur ce qu’il fera, demain, s’il arrive au pouvoir.

Le Britannique Tommy Robinson, figure emblématique de la lutte contre l’islamisation, dénonce un « copier-coller de la censure britannique ». Des influenceurs allemands et américains reprennent la cause de Gannat, symbole d’une répression désormais transnationale des droites européennes.

Une affaire symbole : deux poids, deux mesures

Pour beaucoup, le cas Gannat illustre la dérive d’une justice de plus en plus politique.

Le procureur Bouillard avait déjà ciblé d’autres figures de droite, comme le professeur Frédéric Mortier, relaxé après des mois de procédures. Dans le même temps, les plaintes pour menaces, dégradations ou agressions visant les militants patriotes restent sans suite.

L’essayiste Jean-Yves Le Gallou a parlé d’« anarcho-tyrannie » : un régime où la délinquance prospère tandis que ceux qui la dénoncent sont punis. « On laisse filer l’immigration illégale et la criminalité, mais on réprime ceux qui montrent la réalité », résume-t-il.

La contre-attaque : refuser la peur et organiser la riposte

Jean-Eudes Gannat ne compte pas s’en tenir là : il envisage une procédure contre le procureur d’Angers, estimant que « la meilleure défense, c’est l’attaque ». Une cagnotte ouverte par ses proches doit financer ses frais de justice, deux dossiers étant déjà en cassation.

Mais au-delà de son cas personnel, Gannat appelle à transformer l’indignation en mouvement collectif. « Quand quelqu’un est arrêté pour avoir simplement décrit ce qu’il voit, il faut le soutenir, même si l’on n’est pas d’accord sur tout. Si ce n’est pas lui, demain ce sera vous », a-t-il martelé dans un direct de plus d’une heure et demie sur Radio Courtoisie.

Le mot d’ordre Montrons le réel s’est imposé comme un cri de ralliement : publier, témoigner, filmer, sans haine mais sans peur, pour rompre le silence imposé par la censure et les lois mémorielles.

Le soutien ne s’est pas limité à la droite française. Des Britanniques, des Allemands, des Américains ont relayé l’affaire, voyant dans ce traitement judiciaire le signe d’une répression désormais transnationale contre le courant conservateur européen.

« La gauche a ses réseaux internationaux, ses ONG, ses médias. Nous devons, nous aussi, bâtir cette solidarité entre peuples européens qui refusent leur disparition », a souligné Gannat.

Cette mobilisation révèle une fracture profonde : d’un côté, un appareil d’État obsédé par la répression idéologique ; de l’autre, un peuple de plus en plus conscient de vivre dans un pays où dire le vrai devient un délit.

Vers un procès emblématique

Jean-Eudes Gannat doit comparaître le 6 mai prochain au tribunal d’Angers. Ses soutiens préparent déjà un rassemblement.

L’enjeu dépasse son cas individuel : il s’agit d’un test grandeur nature pour la liberté d’expression en France. Si un homme peut être arrêté pour avoir montré quatre Afghans dans une petite ville de province, alors qu’aucune violence ni injure n’a été proférée, qu’adviendra-t-il demain des journalistes, écrivains ou citoyens qui décrivent la même réalité ?

Lui-même l’assume : « Je n’ai rien d’un héros, mais je préfère passer deux jours en cellule que de vivre dans une société où l’on n’a plus le droit de nommer les choses. »

Son cas, devenu emblématique, a ravivé un débat que le pouvoir voulait clore : celui du droit des Français à parler de leur pays tel qu’il est.

Au-delà du tumulte judiciaire, l’affaire Gannat aura révélé une vérité : la dissidence n’est plus marginale. Elle s’organise, s’entraide et se dresse face à l’appareil politico-médiatique qui tente encore de la réduire au silence. Et derrière un hashtag, #MontronsLeReel, c’est peut-être le réveil d’un peuple qu’on croyait éteint.

« Soyez l’homme providentiel de votre vie. Rendez vos enfants fiers », conclut Gannat, remerciant ceux qui se sont levés pour lui.

De la Bretagne à la Provence, de Paris à Londres, des voix s’élèvent. La peur change peu à peu de camp.

YV

PS : la collecte est mise en place ici

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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5 réponses à “#MontronsLeReel. Jean-Eudes Gannat : Une garde à vue et des poursuites pour un cri du réel, une vague de solidarité qui ébranle l’Inquisition judiciaire”

  1. Hamelin dit :

    Hashtag judicieux : l’enjeu est bien le réel contre l’idéologie. Les choses avancent, il faut s’habituer à réagir à chaque nouvelle provocation et le mouvement va devenir exponentiel.

  2. denise07 dit :

    Zemmour vous l’avait bien dit : « Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, même combat ! « 

  3. guillemot dit :

    Bienvenu dans le monde Orwellien où celui qui dit la vérité est incarcéré.

  4. MICHELE dit :

    M.le procureur d’Angers peut être fier de lui , il aura permis la visibilité des « consciences dressées « (cf.Philippe de Villiers) et les censeurs idéologiques ne pourront plus rentrer le dentifrice dans le tube. La Justice va devoir demander l’aide de Shiva pour armer ses 36 bras de couperets iniques pour couper toutes les têtes de Souverainistes patriotes qui dépassent.

  5. Ernest dit :

    Non, le MUR DES CONS n’est pas tombé et il continue de s’élever plus haut avec la volonté de juges gauchistes.
    Jean-Eudes Gannat y est maintenant inscrit, comme y sont inscrits les défenseurs de la liberté d’expression et d’opinion, comme y sont inscrits des pères et mères de famille qui ont été scandalisés que les assassins ou violeurs de leurs enfants aient pu bénéficier de complaisances ou circonstances atténuantes.

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