La vérité sur les COP, La guerre au Moyen-âge, Les démocraties et la mort, La Banshee et autres messagères de la mort, Les Oustachis : voici la sélection littéraire hebdo
La vérité sur les COP
La 30ème « Conférence Of Parties » ou COP se tiendra à Belem au Brésil du 10 au 21 novembre 2025.
Samuel Furfari a été pendant plus de 35 ans l’un des hauts responsables de la Direction de l’énergie de l’Union Européenne. A ce titre, il travaille sur la transition énergétique depuis 1994 soit un an avant la première COP qui eut lieu à Berlin en 1995. Il a participé à la plupart de ces COP et a suivi de l’intérieur, pour le compte de l’UE, le déroulement des travaux et des recherches autour des questions climatiques et énergétiques. Il révèle comment ces conférences se déroulent vraiment.
Depuis le sommet de Rio en 1992, les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de 65%.
Il est donc temps de montrer de l’intérieur ce qui a été dit et ce qui a été fait depuis 30 ans dans le cadre de ces COP pour comprendre pourquoi ces grandes messes internationales ne servent finalement qu’à entretenir l’illusion d’une action collective
Ingénieur, docteur en Sciences appliquées, Samuel Furfari a travaillé pendant 36 ans à la direction de l’énergie de la Commission Européenne.
Carlo Ripa di Meana a été commissaire européen à l’environnement et ministre italien de l’environnement.

La guerre au Moyen-Age
La guerre au moyen Age est l’activité noble par définition. Elle est incessante et ne cesse d’évoluer sur les mille ans que dure la période. Quoi de commun, en effet, entre les Francs du Ve siècle qui combattent à pied, à l’épée, au couteau et à la hache, et les grandes armées royales du XVe siècle dont le noyau est une chevalerie bardée de fer et le joyau une artillerie déjà puissante ?
Cet ouvrage voit large – des Vikings aux Arabes, des Bretons aux Japonais en passant par Byzance – et il pioche en profondeur. Batailles et sièges, armes étranges (connaissez-vous le mangonneau ou le vouge ?) ou secrètes (épée Ulfbehrt, feu grégeois), guerriers de légende (Le Cid, le Prince noir, Du Guesclin), grands conflits, tout y est, servi par les textes des meilleurs historiens.
Plus de 150 illustrations des plus grands artistes du genre (Rava, Jégou, Groult), des photos tirées des fonds exceptionnels du Musée de l’Armée, des cartes, des schémas, des infographies aident à comprendre un sujet aussi fascinant que méconnu. C’est aussi, à travers la guerre, tout le monde de nos lointains ancêtres qui reparait : la foi et le service de Dieu, le serment et l’honneur, les révoltes populaires et les croisades, les rois et les princes, les oriflammes et les destriers. Montjoie ! Saint-Denis ! Si l’on désire embrasser en un volume cette époque dure mais magnifique, cette somme unique en son genre y pourvoira.

Les démocraties et la mort
Dès son lancement, un livre N°1 des ventes d’essais en Angleterre et aux USA
Après le 7 octobre 2023, Douglas Murray s’est installé en Israël. Il n’est pas juif et n’a aucun intérêt personnel en Israël. Mais il n’accepte pas qu’on lui mente, et Israël est l’objet des mensonges les plus gros, les plus profonds et les plus longs de l’histoire. L’attachement d’Israël aux valeurs occidentales fondamentales – capitalisme, droits individuels, démocratie et raison – en a fait un phare du progrès dans une région dominée par l’autoritarisme et l’extrémisme. Les principes d’Israël contrastent tant avec l’idéologie islamiste, qui proclame ouvertement son amour de la mort plutôt que de la vie.
Douglas Murray expose dans ce livre d’un côté ce qu’il a vu et entendu SUR LE TERRAIN avant et après les massacres du 7 octobre et de l’autre, les positions à géométrie variable de la gauche et de l’establishment international.
Il emmène ses lecteurs dans un voyage éprouvant à travers les conséquences du massacre du 7 octobre, en rassemblant les témoignages exclusifs des victimes, des survivants et même des terroristes responsables de ces atrocités. Il met en garde contre une empathie aveugle et à sens unique, manipulée par les images, qui fragilise non seulement Israël mais aussi l’ensemble de la civilisation occidentale.
Douglas Murray est journaliste et essayiste. Il intervient régulièrement à la BBC, dans le Wall Street Journal et au Spectator.

La Banshee et autres messagères de la mort
Les contrées celtiques sont riches en traditions populaires qui intègrent des récits fantastiques ou teintés de merveilleux. On y rencontre des créatures étranges comme les leprechauns, les farfadets ou les korrigans.
Mais il en est beaucoup d’autres qui appartiennent au domaine des fées. Parmi elles, la Banshee irlandaise est la plus mystérieuse et la plus inquiétante car elle pousse son cri nocturne pour annoncer une mort imminente. De nombreux témoignages ont été rassemblés et montrent que pour beaucoup d’Irlandais, cette messagère de la mort est une réalité.
C’est à toutes ces femmes mythiques et/ou féeriques que cette étude est consacrée. La Banshee y occupe une place dominante car c’est la plus connue, mais les autres méritent également qu’on s’y intéresse.
Frédéric Kurzawa est docteur en théologie catholique, membre du Centre International de Recherche et de Documentation sur le Monachisme Celtique, de la Société Belge d’Études Celtiques, des Amis des Études Celtiques, de la Pictish Arts Society et de la Royal Society of Antiquaries of Ireland.
Illustration de couverture par Annabel Peyrard, utilisée avec l’aimable autorisation de Gaelis éditions.
A commander chez Yoran Embanner

Les Oustachis, terroristes de l’idéal
« Les terroristes d’aujourd’hui seront les dirigeants de demain » : cette apostrophe lancée au tribunal chargé de juger les Oustachis assassins (ou exécuteurs) d’Alexandre de Yougoslavie n’a jamais eu plus d’actualité qu’aujourd’hui.
Dans le contexte bouleversé de l’Europe de « l’après Première Guerre Mondiale », se distinguent déjà les fervents révolutionnaires de notre monde actuel. Héritiers des paysans-soldats gardiens des frontières de l’Empire austro-hongrois, alliés des farouches Comitadjis de la VMRO macédonienne, les Oustachis croates démontrèrent aux grandes nations l’inutilité politique du terrorisme en même temps que sa puissance d’impact sur les masses populaires.
Successivement victimes et bourreaux, asservis et oppresseurs, les Oustachis de Pavelitch libérèrent leur Patrie croate et en consommèrent la destruction.
« Alliés avec le diable » pour conquérir leur indépendance, vainqueur et vaincus, présents à Stalingrad contre les Soviets et dans les montagnes serbes contre les communistes de Tito, défenseurs de la Croix, mais compagnons du Croissant, soldats glorieux et massacreurs sauvages, les Oustachis terminèrent leur épopée sanglante dans le guet-apens, plus sanglant encore, de Bleiburg…
Ante Pavelitch est mort dans son lit. Pourtant, à la veille de la disparition du Maréchal Tito, sa flamme, brillait encore…
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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