Les évolutions démographiques à l’œuvre en Europe ne relèvent plus de projections abstraites mais de réalités statistiques désormais établies. Parmi les capitales les plus emblématiques de ce basculement figure Bruxelles, où les chiffres officiels dessinent une transformation rapide et profonde de la population, en particulier chez les plus jeunes.
Une capitale où les enfants autochtones deviennent ultra-minoritaires
Selon les données publiées par StatBel, près de 73 % des enfants et adolescents bruxellois âgés de 0 à 17 ans ont aujourd’hui un arrière-plan migratoire extra-européen ou sont nés hors de l’Union européenne. À l’inverse, seuls un peu plus de 10 % de cette tranche d’âge sont issus de familles belges d’origine exclusivement belge.
Contrairement à un argument souvent avancé, cette situation ne s’explique pas principalement par la présence de ressortissants européens attirés par les institutions communautaires. Les chiffres montrent que l’essentiel de la croissance démographique juvénile provient de populations non européennes, installées durablement dans la capitale.
Des contrastes régionaux marqués en Belgique
À l’échelle nationale, la Belgique conserve encore une majorité de population blanche. Environ 64 % des habitants sont belges d’origine, tandis que 22 % sont belges d’origine étrangère et près de 14 % sont des étrangers sans nationalité belge.
Mais la répartition territoriale est très inégale. Dans la Région de Bruxelles-Capitale, la part des habitants d’origine belge tombe à environ 22 %, contre près de 64 % en Wallonie et plus de 70 % en Flandre. En pratique, près de huit habitants sur dix à Bruxelles sont aujourd’hui d’origine non belge.
Le rôle central du regroupement familial
Les flux migratoires actuels sont largement alimentés par le regroupement familial, qui constitue le principal moteur de l’évolution démographique. Depuis plusieurs années, la Belgique enregistre en moyenne plus de 56 000 regroupements familiaux par an, avec un pic atteint récemment. Ce mécanisme, cumulatif par nature, contribue à un enracinement durable et à une croissance rapide des populations issues de l’immigration extra-européenne.
Face à ces chiffres, le député flamand Filip Dewinter, figure historique du parti nationaliste Vlaams Belang, parle ouvertement de « remplacement de population », affirmant que cette notion ne relève plus du débat idéologique mais de la lecture factuelle des données publiques.
Ce constat est relayé au niveau européen par des élus flamands, notamment Tom Vandendriessche, qui a récemment dénoncé au Parlement européen les propos de la commissaire aux affaires intérieures Ylva Johansson, appelant à accueillir au moins un million de migrants par an pour compenser le vieillissement de la population européenne.
Selon ces élus, l’argument économique masque une transformation bien plus profonde : la substitution progressive des populations européennes par des populations extra-européennes, dans un contexte de chute de la natalité autochtone.
Bruxelles, miroir de l’avenir européen ?
Bruxelles apparaît ainsi comme un laboratoire démographique à ciel ouvert, illustrant les conséquences à long terme de politiques migratoires cumulatives, combinées à un effondrement de la natalité indigène. Ce qui s’observe aujourd’hui dans la capitale belge, c’est à dire la disparition progressive des Blancs, pourrait préfigurer, à moyen terme, l’évolution d’autres grandes villes européennes.
Le débat, longtemps cantonné aux marges, s’impose désormais au cœur des institutions, porté non plus seulement par des analyses politiques, mais par des chiffres officiels difficilement contestables. Reste à savoir si l’Europe choisira d’en tirer les conséquences, ou de poursuivre une trajectoire dont Bruxelles offre déjà un aperçu avancé. Le Grand Suicide ?
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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Une réponse à “Bruxelles, laboratoire de la disparition progressive des Blancs en Europe de l’Ouest”
La disparition de nos belles cultures européennes ne fait plus aucun doute. Simple question de temps. « Il faudra changer nos bonnes vieilles habitudes pour être acceptés par les nouveaux venus….ou quitter le pays » suivant récit romantique, lucide et troublant » les corps indécents ». Il faut s’adapter. Avec un peu de bonne volonté, c’est pas la mer à boire. L’essor du métissage a donc de beaux jours devant nous. C’est notre avenir que ça plaise ou pas.