Après Théo Luhaka, Georges Floyd, Adama Traoré, la nouvelle affaire où un noir à qui on donnerait le bon Dieu sans confession serait pris à partie par les forces de l’ordre : Michel Zecler, le « producteur de musique » tabassé sous caméra de surveillance dans le 17ème à Paris.
- Des antécédents judiciaires pour stupéfiants, vols et outrages
- a fait de la prison
- était en possession de stupéfiants le jour de son arrestation
- aurait appelé en renfort une dizaine de personnes présentes dans son « local »
- la gauche tombe à bras raccourcis sur le ministre de l’intérieur d’un gouvernement qu’elle a ardemment oeuvré à mettre au pouvoir (2017 : « faites ce que vous voulez mais votez Macron » ~ Libération)
- Le rap est la cicatrice qui suppure sur la gangrène de la violence. Il se nourrit de ce type de bavure pour entretenir le mythe d’une guerre des gangs (tous les gangs) contre la police. Cette musique est un écosystème à fabriquer les homicides. Il ne survivrait pas sans sa dose régulière d’injustice, d’ailleurs quand ils viennent à manquer, il s’invente des « clashs » entre chefs de meute sur les réseaux sociaux, des rixes dans les aéroports, les mac do, les magasins de casket’ survêt’ (cf Sexion d’Assault)
Illustrations : DR
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