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Cécile Scheffen. « Je ne connais pas une seule femme qui n’ait jamais été confrontée à l’insécurité à Nantes » [Interview]

Les lecteurs fidèles de Breizh-info.com savent que depuis bientôt 10 ans, nous n’avons eu le cesse de rapporter la dégradation constante du climat à Nantes, en évoquant sans oeillère les questions de gangs, de deals, d’insécurité, de délinquance, et évidemment de l’immigration, sans laquelle ces maux n’existeraient pas (ou pas à ce niveau).

Mais il y a aussi les habitants de Nantes qui eux, sont les victimes collatérales de politiques suicidaires menées par des élus aveuglés visiblement par leur idéologie. Et parmi ces habitants, certains ont choisi de se révolter et de lutter politiquement pour faire changer les choses. C’est le cas de Cécile Scheffen engagée aux côtés d’Eric Zemmour, et qui n’entend pas rester passive alors que sa ville est livrée aux gangs, aux dealers, et aux migrants.

Nous l’avons interviewée.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené au militantisme et chez Eric Zemmour ensuite ?

Cécile Scheffen : C’est cocasse, mais la sociologie à Rennes 2 aka “Rennes la Rouge” puis Nantes ! L’amour des miens, de notre terre, de notre histoire y est également pour beaucoup, mais ça été le véritable déclencheur de mon engagement à 17 ans.

J’y ai étudié toutes les théories wokes possibles et imaginables afin de mieux pouvoir les réfuter.

Depuis, le réel n’a fait que me confirmer l’importance de mener ce combat, et cette flamme ne m’a jamais quittée depuis.

Eric Zemmour était le seul candidat à poser le problème civilisationnel auquel nous faisons face.

Breizh-info.com : Nantes attire actuellement toutes les attentions de la presse nationale. Pourtant, nous le savons comme vous, cela fait des années que la situation se dégrade. Pourquoi est-ce que cela n’arrive que maintenant selon vous ?

Cécile Scheffen : Une conjoncture d’événements il y a environ 7 ans ont précipité la chute de Nantes : l’arrivée massive de clandestins en France et l’arrivée de Johanna Rolland à la mairie. Elle subventionne les associations pro-migrants comme SOS Méditerranée et avait même réclamé l’accueil inconditionnel des migrants.

Ils leurs recommandent d’aller à Nantes car la Préfecture est réputée accorder les papiers plus facilement qu’ailleurs (c’est dire !), ce qui crée un appel d’air. Ces associations ont particulièrement grossi leurs rangs après la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, qui a attiré l’extrême gauche des quatre coins de la France.

Finalement, Johanna Rolland est avant-gardiste : subventionner pour se faire agresser, violer, tuer ou au mieux remplacer, c’est une forme de suicide assisté, qui est en débat aujourd’hui.

Breizh-info.com : En tant que femme, avez vous vous même été confrontéé à ces violences à Nantes ?

Cécile Scheffen : Tout à fait, c’est quotidien. Je ne connais pas une seule femme qui n’ai jamais été confrontée à l’insécurité à Nantes. Pas une. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai été harcelée, suivie chez moi… Ces types de violences sont presque systématiquement commises par des hommes maghrébins.

Il y a également les violences des milices d’extrême gauche. Avec des militants, nous avons été menacés au couteau deux fois, jets pavés et mobiliers urbains, d’autres se sont introduits dans mon immeuble pour me menacer… Ces deux types de violences résument bien ce qui règne à Nantes : extrême gauche et immigration.

Breizh-info.com : Si le mot insécurité est dans toutes les bouches, on entend très peu le mot immigration. Pourtant, à Nantes, force est de constater que ce ne sont pas des supporteurs anglais qui dealent ou mènent la guerre des gangs. Comment expliquez vous cette omerta, cette peur de décrire le réel y compris chez des victimes de ces gens ?

Cécile Scheffen : Fort avec les faibles, faible avec les forts. Le laxisme de la justice envers ces fameuses bandes de jeunes ne tient que par la sévérité envers autochtones qui le dénoncent.

Néanmoins, les digues commencent à céder. On remarque notamment qu’à peine un an après avoir dissous Génération Identitaire qui dénonçait le lien entre immigration et insécurité, Darmanin a été lui-même obligé de le reconnaître.

On peut essayer de se rassurer, de nier, mais arrive un moment où l’on a épuisé toutes les excuses possibles imaginables (pas les codes, trottoirs pas assez larges, jupe trop courte…) et que l’on devra admettre la réalité. Pour certains, le réveil va être terrible.

Breizh-info.com : Quelles propositions concrètes avez vous à faire pour rendre à Nantes sa beauté et son bien vivre d’antan ? N’est-ce pas plus global dans tous les cas – les municipalités n’ayant pas non plus tous les pouvoirs ?

Cécile Scheffen : La situation doit être locale ET globale. Ajouter des effectifs de police et des caméras soulagera la vie des habitants, mais de manière artificielle. S’il n’y a aucune réponse judiciaire ferme, c’est mettre un pansement sur une jambe de bois.

Pour être efficace, mieux vaut prévenir que guérir. Il faut donc éviter de se faire couper la jambe et traiter le problème à la source : cesser l’immigration, rémigrer les délinquants étrangers, couper les aides à leur famille et les subventions aux associations…

Breizh-info.com : Parallèlement, certaines études expliquent que Nantes serait l’une des villes françaises où il fait le plus bon vivre…Comment les interpréter ?

Cécile Scheffen : Peut-être que ces études pointant la douceur de vie de la ville ont été réalisées auprès de criminels ? Effectivement, il fait bon vivre à Nantes lorsque vous êtes un délinquant !

Plus concrètement, la ville possède un quartier historique notamment autour du château des Ducs de Bretagne tout à fait charmant. Ça l’est un peu moins depuis qu’un clandestin sous OQTF a brûlé la cathédrale. La ville a également l’avantage d’être située près d’une côte très agréable. Ça l’est un peu moins depuis que des écolos ont installé 80 éoliennes en mer.

Nantes est une ville magnifique, c’est pour cela qu’il nous faut la protéger à tout prix de toute dérive écologiste ou immigrationniste !

Breizh-info.com : De Nantes à St Brévin, en passant par Callac, à chaque fois, la question de l’immigration provoque des tensions, et n’est pas sans conséquence pour les autochtones. Quel message souhaitez vous faire passer aux autorités sur le sujet ?

Cécile Scheffen : Ce n’est qu’une bombe à retardement, déplacer le problème ne le réglera pas.

Néanmoins, je les remercie de faire réaliser à ceux qui peut-être pensaient qu’ils seraient épargnés et que les combats qui se mènent dans les villes n’étaient pas les leurs car ils étaient jusqu’ici préservés.

En luttant ensemble, nous pourrons nous y opposer et retrouver ainsi la paisibilité, en ville comme en campagne.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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4 réponses à “Cécile Scheffen. « Je ne connais pas une seule femme qui n’ait jamais été confrontée à l’insécurité à Nantes » [Interview]”

  1. J’admire la pugnacité et le courage de Cécile SCHEFFEN, dont la notoriété est grandissante. Tout ce qui est dit dans votre interview est la réalité. Nantes souffre de l’immigration et de l’extrême gauche, collabo , digne de la GESTAPO. Si nous ne faisons rien, nous courons tout droit à notre fin, la fin de la Bretagne, de la France, de notre civilisation et allons à une guerre civile dont nous serons les victimes. Je soutiens ZEMMOUR et suis membre de RECONQUÊTE.

  2. patphil dit :

    qu”elles se voilent, le coran le recommande:
    33 : 60 dis à tes épouses et à tes filles et aux femmes des croyants qu’elles doivent ramener sur elles une parte de leurs vêtements extérieurs de la tête par-dessus le visage; il est plus probable qu’elles puissent ainsi être distinguées et ne soient pas importunées

  3. buensuceso dit :

    cet article tendancieux confirme bien la tendance ultra droite de Breiz machin

  4. Grobernard dit :

    Au point où en est la Cité des Duc…ons,
    il faudrait la placer sous tutelle militaire :
    un colonel à la mairie, un général à la préfecture et la légion dans les rues.
    Les italiens le faisaient avec leurs villes sous la coupe de la mafia.

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