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Cinéma. Sound of Freedom : Les enfants de Dieu ne sont pas à vendre.

Je ne comprends pas du tout ce terme de « complotiste » à propos de Sound of Freedom, film de fiction qui évoque une réalité que tout le monde connaît. Dans la plupart des articles parus dans la presse française, le mot de « complotiste » est utilisé dans chaque titre et au moins toutes les cinq lignes, soit à propos du sujet du film, la traite des enfants, soit de l’acteur principal Jim Caviezel qui est accusé d’avoir « joué dans La Passion du Christ » comme si c’était une tare, du metteur en scène mexicain, de Tim Ballard personnage héros du film, de Mel Gibson qui, après cinq ans d’attente, a aidé à sa diffusion par une campagne de financement participatif, avec rappel venimeux pour lui aussi du film La Passion du Christ qu’il a mis en scène (on attend d’ailleurs toujours les preuves de la véracité des accusations lancées contre ce film de 2004 !), de tout et de rien, pourvu que le terme apparaisse de façon mécanique et s’incruste dans la tête du lecteur.

La traite des enfants, comme la traite des femmes, ont toujours existé. Des livres, des films et des téléfilms par dizaines, dont Trafic d’innocence, mini-série en deux parties sortie en 2005 avec Robert Carlyle ou Six Bullets en 2012 avec Jean-Claude Van Damme, ont traité de ce drame. Leurs auteurs seraient-ils des complotistes ? Arte diffuse un reportage en 2019, un film de Sylvia Nagel et Sonya Winterberg, sur le « Trafic d’enfants au cœur de l’Europe » (en Ukraine), en insistant sur la difficulté et même le danger à en parler tant ce monde est protégé par la puissance et la richesse de ceux qui en profitent. Séquestration, pédocriminalité, exploitation par le travail, mendicité, vol, prostitution forcée et même prélèvement d’organes sont expressément mentionnés. La chaîne Arte ferait-elle partie des complotistes ? C’est vraiment un comble que des esprits chagrins osent nier une telle évidence et se mettent de ce fait du côté des tortionnaires. Les ballets roses et les ballets bleus qui sévissaient sous la IVème république et dont l’affaire est mise au grand jour sous la Vème république étaient connus de tous et on était encore à une époque où existait le droit de les dénoncer. Les ogres ou les loups des contes ou autres personnages féroces offraient eux aussi l’image du mal propre à prévenir les enfants que le danger existe bien.

« Complotiste » également le fait que l’acteur principal, Jim Caviezel, ait fait mention dans une interview du sang des enfants utilisé pour redonner la jeunesse à de vieux birbes argentés et prélevé sur des victimes conscientes au moment de leur meurtre pour lui donner plus d’efficacité. Mais, cette pratique est vieille comme le monde ! Ces journalistes et autres censeurs n’ont aucune culture pour ne pas savoir que les sacrifices d’enfants ou de vierges existaient déjà dans l’Antiquité et se sont perpétués, soit ouvertement quand ils correspondaient à la religion officielle, soit de façon cachée quand ils ont été interdits. Le fameux élixir de jouvence tant recherché ! La croyance multimillénaire qui veut que le sang de la victime du fait de sa jeunesse, redonne vigueur et vitalité à ceux qui le boiront et prolonge leur vie (le transhumanisme avant l’heure en quelque sorte). Les archives judiciaires contiennent nombre d’exemples de ces pratiques affreuses qui ont été constamment combattues. Et il est vrai que le fait que la victime soit consciente et donc terrorisée participe de ce rituel. Même Alexandre Dumas en fait mention dans son livre Joseph Balsamo. Serait-il un complotiste lui aussi ?

Ce film est un plaidoyer pour le respect envers les enfants sans défense. De quoi ont-ils peur ces gens qui s’acharnent sur ce film ? Il y a là quelque chose d’étrange, rappelant l’affaire d’un commissaire envoyé en prison pour avoir voulu s’attaquer à la prostitution.

Une fiction fondée sur la réalité

Le film lui-même, je l’ai vu sur l’ancien Twitter (actuellement X où il était projeté), dans de très mauvaises conditions, sur la moitié supérieure de mon smartphone, avec des sous-titres français par ordinateur et intermittents. Heureusement qu’il y avait parfois des sous-titres anglais. J’irai le revoir au cinéma et j’achèterai le DVD parce que le courage mérite d’être soutenu.

Sound of Freedom, film de fiction, raconte la quête de Timothy Ballard, personnage réel, pour sauver deux enfants d’une même famille qui ont été enlevés par des trafiquants. Timothy dit « Tim » Ballard est un ancien agent de la sécurité intérieure qui était devenu spécialisé dans l’infiltration des réseaux de pédocriminalité pour arracher les enfants à ces trafiquants. Le film conte un épisode de sa vie au moment où il sauve un petit garçon et, avec les forces de police, provoque l’arrestation du pédocriminel qui l’avait renseigné. Or, l’enfant qu’il a sauvé lui apprend que sa sœur a été enlevée en même temps que lui et lui demande de la ramener. Tim Ballard se tourne alors vers ses supérieurs pour poursuivre l’enquête. Mais, l’administration a ses lourdeurs et ses limites, et le cas semble trop impossible à résoudre du fait du retard pris pour retrouver la fillette. Il faut laisser tomber et passer à autre chose. Or, la traite des enfants, qui a toujours existé, s’est multipliée de façon exponentielle ces dernières décennies. Elle dépasse même le trafic de drogue et le trafic d’armes. Elle écrase des êtres sans défense de façon toujours plus organisée et tentaculaire. Cela, Tim Ballard ne peut le supporter. Comme il le dit à un protagoniste : « les enfants de Dieu ne sont pas à vendre ».

Cas de conscience pour cet agent qui est un père de famille nombreuse et dont le couple a déjà neuf enfants, plus deux enfants sauvés de trafiquants que le couple a adoptés. Son premier réflexe est de parler avec sa femme pour savoir quelle attitude adopter. Car, la décision de poursuivre la recherche implique de donner sa démission avec toute l’incertitude que cela fait naître pour la vie future de sa famille. Et c’est en accord avec son épouse qu’il saute le pas et, dans le film, part à la recherche de la fillette qui peut fort bien avoir été expédiée sur n’importe quel continent.

Voilà un des aspects résolument original de ce film car bien souvent, dans notre société apeurée comme dans le christianisme conformiste d’aujourd’hui, les bien-pensants veulent cantonner les membres des familles à une vie tournée exclusivement vers une vision matérielle, les jeunes à la jouissance de satisfactions personnelles et à la préparation d’une bonne carrière, les anciens à la recherche d’une sécurité apeurée, et en l’occurrence, les pères de famille nombreuse à une vie de famille rangée et exclusivement au service des leurs, alors qu’un père de famille comme tout autre doit être d’abord au service de Dieu et du prochain. Si l’occasion se présente, si la Providence le lui demande, s’il entend cet appel de la Providence, comme tout autre baptisé, il dispose de la liberté de répondre à cet appel. Et comme il est marié, la décision doit être prise à deux. Ce passage est particulièrement révélateur de l’esprit du film qui rompt délibérément avec l’ambiance de matérialisme actuel.

Pour les meilleurs, la famille, le travail, l’avenir à construire pour les siens, la sécurité, la religion ritualisée, tout est marqué du sceau d’une prudence toute humaine qui, en soi, n’est pas mauvaise, mais qui limite l’horizon de tous, jeunes et vieux, célibataires et mariés, hommes et femmes, enfants et adultes, à des devoirs et à des satisfactions terrestres, certes légitimes, mais qui n’ont plus rien à voir avec la jeunesse du cœur et de l’âme, avec l’aspiration à un dépassement de soi, comme la petite fille Espérance de Péguy, le vrai, le bien et le beau recherchés par Platon ou l’amour de Dame Pauvreté vécue par Saint François d’Assise.

Tim Ballard, en accord avec sa femme, choisit le saut dans l’inconnu par refus de laisser des enfants à leur sort sans au moins essayer de les sauver. Dans le film, il part à la recherche de la fillette et, après bien des fausses pistes et des déceptions, réussit à la retrouver en Colombie et à la faire sortir de cet enfer avant que les forces de police, avec lesquelles il agit conjointement, investissent le camp et libèrent les autres enfants. Le film s’arrête là, ne retraçant que cet épisode de l’action de Tim Ballard qui, depuis, a créé une ONG pour sauver le plus d’enfants possible de cet esclavage.

Un combat qui requiert action et doctrine

Bien sûr, jamais le trafic d’enfants ne sera éradiqué. Ce serait continuer à vivre dans l’idéologie qui promet toujours le paradis sur terre dans le futur que d’y croire. Ce serait aussi aberrant que de prédire la disparition des maladies. « Il est fatal qu’il arrive des scandales » dit le Christ en Saint Matthieu (18: 7) parce que le mal existera toujours sur terre. La terre n’est plus le lieu du paradis et la mission des hommes de bonne volonté consiste dorénavant à combattre le mal sans cesse pour le faire reculer.

Le combat de la vie contre la mort, du bien contre le mal, il existe déjà dans les codes sumériens du IIIème millénaire avant Jésus-Christ. Dans le prologue du code d’Ur-Nammu, le premier code connu, il est écrit : « En ce jour, le roi Ur-Nammu… la justice dans le pays il établit, le mal et l’iniquité, par la force il brisa ». Le premier devoir de l’autorité et de chacun est celui d’assurer le bien et de lutter contre le mal. Quand les autorités et la société œuvrent en commun pour cette double mission, le mal est toujours présent, mais il reste confiné, parce que le bien de tous, le bien à la fois spirituel et matériel, garde la primauté. Quand les autorités ne songent qu’à assurer un bien matériel sans plus se battre contre le mal, comme cela est le cas depuis des dizaines d’années maintenant, plus rien ne limite l’extension du mal qui se développe sans entrave. Pour quelle raison tous les trafics les plus monstrueux ont-ils pris une telle extension, la drogue, les armes, la traite des enfants, la prostitution forcée, la corruption généralisée ? Parce que ceux qui avaient la responsabilité de tenir ferme ont déposé les armes doctrinales et spirituelles susceptibles de les combattre tant il est vrai que la faute majeure ne revient pas à la méchanceté des méchants mais à la passivité des bons.

En tant que dépositaire de la vérité, l’Église du Christ avait une responsabilité particulière dans ce combat que les ecclésiastiques ont oublié, acharnés à s’emparer du pouvoir à l’intérieur de l’Église. Le combat prioritaire est devenu celui d’imposer leurs idées. Ce faisant, il ont oublié leur mission qui est de faire connaître la Bonne Nouvelle et de combattre le mal. L’Église s’écroule de ce fait. Elle n’est plus le rempart. Et même ceux qui ne sont pas chrétiens comprennent que cette absence de l’Église dans ce combat vital laisse libre court aux forces de mort qui semblent triompher.

Des initiatives personnelles ou associatives comme celles de Tim Ballard, sont les bienvenues, elles participent au combat nécessaire contre le mal et le soutiennent héroïquement en dépit de tous les obstacles. Pour autant, le combat contre le mal ne suffit pas. Des personnes et des associations peuvent agir pour le bien ; elles ne pourront pas le faire rayonner au-delà de leur entourage ou du ressort de leur compétence. Car cette action pour le bien doit être soutenue par la force d’une doctrine, doctrine philosophique, doctrine théologique, et mieux encore doctrine alliant les deux domaines issus de la loi naturelle, qui vise à assurer dans le même temps le succès de la justice et du combat organisé contre le mal sur l’ensemble d’un territoire et d’une communauté. Or, tant que les États resteront prisonniers de l’idéologie ennemi de toute doctrine, tant que l’Église ne sera pas reconstruite, tant que les hommes d’Église ne tourneront pas leur regard vers le Christ, ne redonneront pas au Christ la place centrale dans l’Église, le seul combat contre le mal qu’il est nécessaire bien sûr de mener sans relâche, restera chaotique parce que sans coordination et soumis à toute la malveillance du monde, comme le confirment les accusations sans fondement contre ce film. De l’Église reconstruite sur le seul fondement qui est le Christ (1 Corinthiens 3, 11) sortira le levier qui permettra de soutenir l’ensemble des actions et de les coordonner, à tous les niveaux, personnel, associatif, régional, étatique et international, pour faire resurgir cet attrait pour le bien et cette volonté ferme de lutter contre le mal qui sont les deux armes nécessaires pour faire reculer cette emprise de mort et rendre, à la vie, à la vérité et à la justice, la liberté de s’épanouir.

Un film pudique et sain

Sound of Freedom, le Son de la Liberté, est un très beau film qui contraste complètement avec les films actuels. Car, contrairement au prétexte avancé par les grandes entreprises de diffusion pour refuser de le programmer parce que le film serait tellement traumatisant que les spectateurs ne pourraient le supporter et partiraient avant la fin – ce qui est assez rigolo à une époque où abondent les films et les jeux vidéo d’une violence exacerbée -, ce film tranche justement avec cette manière actuelle de tenir constamment le spectateur sous tension. En dépit du sujet, le trafic sexuel et le travail des enfants, il est très pudique et peut être vu par tout public. Sans doute, attendait-on des scènes salaces ou des violences propres à arracher des larmes qui l’aurait rendu plus acceptable pour la doxa en vigueur. Mais non, rien de suggestif, rien non plus qui attise la sensiblerie facile par un sensationnalisme racoleur. Au contraire, en dépit des horreurs qu’ils ont vécues et qui sont évoquées dans une seule phrase par un médecin, ou dans une seule scène en ce qui concerne le travail des enfants et de façon neutre, c’est la peur des enfants devant leurs tortionnaires qui est montrée et surtout leur innocence restée intacte en dépit de tout. C’est leur corps qui a souffert, mais ils ont conservé leur âme d’enfant, comme on le voit dans la scène où les enfants, une cinquantaine environ, sauvés des trafiquants se mettent à jouer tout simplement entre eux, ou encore, à la fin du film, quand la fillette sauvée et rendue à son père dort, le visage paisible et illuminé comme celui d’un ange.

Les auteurs du film ont préféré que le spectateur conserve ces images dans le cœur, tout en sachant bien sûr que les enfants qui ne sont pas morts de ces mauvais traitements, garderont de toute façon des cicatrices dans leur corps et dans leur âme. Mais beaucoup d’enfants sont en fait plus forts qu’on ne croit sous leur fragilité physique.

Sound of Freedom fait penser au film de Charles Laughton La Nuit du Chasseur (1955) qui oppose deux enfants à un tueur sadique. Cet homme (joué par Robert Mitchum) donne la fausse image d’un Pasteur prêcheur qui fascine et dupe tous ceux qu’il rencontre avec ses sermons édifiants, y compris leur mère qu’il épouse, tout en semant la mort sur son passage. Après le meurtre de leur mère, les enfants, un garçon d’une dizaine d’année et une petite fille de cinq ans environ fuient, pourchassés par cette créature qui est une force de la nature. Par la Providence, ils arrivent dans la maison d’une femme (jouée par Lillian Gish) qui les découvre cachés et les abritent chez elle, restant armée d’un fusil toute la nuit quand elle comprend la férocité et la perversité du faux pasteur qui se présente comme étant leur père et prétend les emmener. Oui, les enfants sont montrés tels qu’ils sont, fragiles et sans défense devant la cruauté du monde. Et pourtant, dit cette femme, ils sont forts et supportent tout et surmontent tout. Ils sont sauvés grâce à elle, mais ils possèdent dans leur âme d’enfant la force de repartir vers leur nouvelle vie. Cette capacité des enfants à surmonter les épreuves, une fois qu’elles appartiennent au passé, est très bien vu dans ce film de Charles Laughton.

De même, dans le film Sound of Freedom, les enfants sont sauvés par Timothy Ballard, mais leur âme d’enfant est restée intacte en dépit des horreurs qu’ils ont vécues. Même constat de la fragilité des enfants écrasés par les forces d’un monde démoniaque, et même force supérieure à tout Mal par cette capacité de l’innocence à ne pas être atteinte par les turpitudes humaines.

C’est peut-être cette impossibilité pour le mal d’éteindre toute vie spirituelle qui rend ce film insupportable à certains. Qui sait ?

Rien que pour le courage de ces gens et leur respect pour les enfants (y compris les enfants acteurs qui n’ont pas dû supporter de scènes traumatisantes), il faut aller voir ce film et le faire connaître.

Marie-Thérèse Avon-Soletti, Docteur d’État en droit, Maître de conférences honoraire d’histoire du droit

Le long-métrage porté par Jim Caviezel (“La Passion du Christ”) “Sound of Freedom” arrive le 15 novembre en France. 

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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5 réponses à “Cinéma. Sound of Freedom : Les enfants de Dieu ne sont pas à vendre.”

  1. FRANCHETTI Patrice dit :

    “Complotiste” est le terme employé par la gôchiasse wokiste et boboïsée, comme naguère elle employait le terme de “fasciste” ou de “raciste” Ce sont des termes de sidération qui permettent de mettre un terme immédiat à tout discours ou à toute conversation. Pour employer ces termes, il faut les connaître parfaitement et cette gôchiasse wokisme boboïsée étant un concentré de ces trois termes représente la base de leur vocabulaire. Dès qu’une bouche prononce un mot en “iste” on sait à qui l’on a affaire.

  2. gautier dit :

    Cela tombe à pic avec tout ce qui va sortir au USA, des têtes couronnées vont tomber ! avoir reçu le roi d’Angleterre avec la horde de violeur et de LGBT débridés ! est une honte pour la France !!

  3. Le rouge dit :

    Merci de votre tres bon article.
    Ill faut prier et agir contre ces pervers qui nous imposent la sexualisation de l’nnocence de nos enfants.
    ce que font les musulmans les chretiens doivent le faire…ne comptons pas sur nos eveques franc macons pour la plupart..
    que dans chaque ecole se forme 1 comite d ethique et de vigilance de facon a monter 1 action nationale qui s intitulerait

  4. patphil dit :

    dès qu’on n’est pas d’accord, et surtout qu’on manque d’argument (au singulier) on est complotiste, facho, néonazi, ….phobe, raciste etc.

  5. Charly Brown dit :

    On pourra dire ce que l’on veut, mais vue le nombre de gens qui pleuraient à la sortie des cinémas US c’est que ce film à dû certainement toucher un paquet de monde! et avant de crier au “complotisme” hein! il faut pas nier l’évidence qu’il s’agit d’histoires vraies! OUI! le trafic d’être humain existe, oui le trafic sexuel des enfants existe! ce n’est pas un scoop! Alors il faut arrêter de se voiler la face et enfin admettre que les gens pour qui vous votez n’ont pas toujours les cuisses propres… CQFD.

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