Thomas, 16 ans, habitant de Crépol, dans la Drôme, est mort samedi soir assassiné par une bande de racailles venue attaquer un bal populaire dans une salle des fêtes d’un petit village. Énième drame en République française, une République Tiers-mondisée dans laquelle les autochtones n’ont plus leur mot à dire, ne sont bons qu’à payer charges, taxes, impôts (pour qui, pour quoi ?), et à finir poignardé un samedi soir.
👉 #Thomas, assassiné par des individus en survêtement à #Crépol, est décrit comme « un nounours trop gentil, un petit gars sans histoires avec un grand sourire ». (Le Progrès) pic.twitter.com/zgX4PPUuMV
— Livre Noir (@Livrenoirmedia) November 20, 2023
On n’en peut plus, de découvrir, chaque semaine, ce genre d’atrocité. On n’en peut plus de voir des responsables politiques venir défiler au garder à vous, tous ensemble, pour les victimes d’un conflit se passant à des milliers de kilomètres de chez nous, et dans le même temps se contenter au mieux d’un tweet indigné suite à ce type de drame au pire d’une indifférence et d’un silence total car « il s’agit d’un fait divers et ça n’est pas pareil ».
Après les émeutes de Nahel, Macron annonçait vouloir répartir les “difficultés”, comme les racailles de Romans-sur-Isère, qui ont assassiné #Thomas.
Les razzias de #Crépol vont se multiplier, car l’État organise un conflit horizontal asymétrique, où il fait rentrer les loups… pic.twitter.com/9HIc8Fj1zQ
— Kim Jong Un ᵖᵃʳᵒᵈⁱᵉ (@KimJongUnique) November 20, 2023
On n’en peut plus, de voir nos gamins, nos proches, nos amis, mourir, se faire violer, se faire agresser, parce que la République française, son administration, son école, ses juges, ses policiers, ont abandonné les citoyens de ce pays. Et les oublient chaque jour un peu plus, ouvrant grand les portes de nos cités à des barbares, que cette République « universelle » a parfois enfantés sur le tard, parfois importés.
On en a marre de se contenter, chaque semaine, de déplorer, de commenter, d’organiser éventuellement une marche blanche ici, ou de se faire dissoudre administrativement parce qu’on aura dénoncé les causes de ces maux qui gangrènent notre société au quotidien.
On vomit ces éléments de langage, permanent, répétés quotidiennement par des politiques, des médias, des artistes, des communicants, qui continuent à nous expliquer que tout va bien, que le vivre ensemble fonctionne à merveille, qu’il en faut encore plus. On en a rien à faire de vos minutes de silence et de vos cellules d’aide psychologique, ou de vos lâchers de ballons.
On ne supporte plus de voir nos décideurs chercher des excuses aux barbares, en permanence.
Non, on veut en finir avec tout ça. On veut pouvoir vivre en sécurité sur la terre de nos ancêtres. Loin de la racaille, loin des dealers, loin des barbares. Et si, parce que l’État français abandonne ses citoyens au quotidien, ces individus viennent quand même tenter de nous nuire, on veut pouvoir se défendre.
On veut pouvoir se former au maniement des armes, et en posséder, dans nos foyers, dans nos voitures, sur nous lorsque nous allons dans des métropoles de plus en plus dangereuses. On veut que nos gamins soient formés aux sports de combat durant leur scolarité. On veut pouvoir avoir toute autorité pour neutraliser physiquement les délinquants potentiels, ceux qui s’attaquent à nos familles, à nos amis, à nos proches, à nos voisins. On veut pouvoir faire ce que ni policiers, ni gendarmes ne font, parce qu’ils n’ont de cesse de recevoir des consignes de capitulation permanente. Parce qu’ils savent que la magistrature derrière, ne condamnera pas, ou mal, les coupables, les criminels, les assassins, les barbares. Pour eux, toujours une excuse. Pour les victimes, surtout pas de vague.
Qu’ils soient maudits à tout jamais, ceux qui se sont succédés, dans de nombreuses strates de la vie publique dans ce pays, et qui ont détourné le regard, ou pire encore, qui ont collaboré à faire des autochtones de ce pays des cibles prioritaires et des victimes, sans défense. Des victimes à qui on a appris dès le plus jeune âge à ne pas répondre en cas d’attaque. À ne pas rendre coup pour coup. À baisser la tête ou à changer de trottoir. À ne rien résoudre par la violence, mais par le dialogue, y compris avec les barbares.
Qu’ils soient maudits ceux qui par leurs lois, par leurs bons sentiments de planqués des beaux quartiers, ou par leur inaction et leurs renoncement permanents, ont fabriqué ce qui ressemble de plus en plus à un enfer pour les nôtres.
Il est grand temps de balayer la table. D’exiger des autorités, fermement, qu’elles autorisent chaque individu apte mentalement et physiquement, à pouvoir se défendre, et à pouvoir défendre les siens, dans son foyer comme dans la rue, comme dans une salle des fêtes de village. La seule réponse proportionnée à l’attaque d’un village par dix racailles de cité armées de couteau, c’est leur neutralisation physique. Il n y en a pas d’autres. Et si les Gendarmes ou les Policiers ne peuvent être partout à l’instant T, alors c’est aux citoyens de réclamer ce droit légitime de pouvoir le faire. Et si ces brigands, ces barbares, sont là parce que des administratifs ou des magistrats leur ont permis d’être là, alors ces derniers doivent être condamnés pour complicité, et ne doivent plus jamais pouvoir exercer une fonction dans la vie publique, dans la vie de la cité.
La République française est ses apôtres oublient que dans ce pays, les citoyens ont renoncé à porter une arme simplement parce qu’ils ont accepté de confier le monopole de la violence légitime aux forces de l’ordre, et celui de la Justice à la magistrature. Mais à partir du moment où ce contrat social est rompu, bafoué, au quotidien, le citoyen est en droit d’exiger de ses représentants qu’il en soit libéré.
Allons nous accepter, jour après jour, semaine après semaine, de voir les nôtres mourir sans réagir, jusqu’à ce qu’un jour notre tour vienne, ou celui de nos enfants ? Ou allons-nous enfin réclamer, reprendre nos droits élémentaires, en conditionnant les mandats d’élus à ce respect fondamental de ceux-ci.
Il en va de notre vivre ensemble. Il en va de notre avenir. Il en va de notre liberté. Il en va de la mémoire de Thomas, de Jean-Marie, de Lola, d’Anne-Lorraine, et de tous les autres. Il en va aussi de l’avenir des Kévin et des Mathéo (les vrais…) de ce pays.
« Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d’un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter des armes ne doit pas être transgressé. ». Ce n’est pas un groupe terroriste qui l’écrit, mais ce sont les pères fondateurs des États-Unis. Pour une fois, exigeons de prendre exemple sur nos cousins d’outre-atlantique
Julien Dir
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
9 réponses à “Meurtre de #Thomas à Crépol. Nous voulons le droit à l’auto-défense ! [L’Agora]”
Je vais imaginer que ce que vous avez écrit est sur le coup de la colère… mais malheureusement ça n’a aucun sens et c’est contre productif.
Que chacun ait une arme?
-> Vous clamez l’autodéfense mais dans le cas présent il s’agit d’un gamin de 16 ans, vous le voyez avec une arme à feu sur lui à une fête de village ? Non bien sûr. Je pense que vous voulez surtout aller faire justice vous-même. On est dans un Etat de droit, cela ne peut pas fonctionner ainsi. Imaginez l’anarchie que cela produirait dans nos rues. Chacun doit pouvoir être jugé pour ses actes, personne ne peut, sur le coup de la colère ou l’émotion, décider de vie et de mort sur quiconque dans les secondes qui suivent. Si cela vous pose problème il existe des moyens d’autodéfense non létaux.
->Imaginez le bordel : fête de village ou bar PMU du coin, avec tous les poivreaux arme sous la veste, complètement bourrés et le ton qui monte. Vous verrez dans le journal régulièrement “hier 10 morts dans une baston générale, l’un des clients du bar avait marché sur le pied d’un autre”.
-> on voit le résultat aux USA avec un nombre de morts par arme à feu qui dépasse l’entendement
Bref je m’arrête là sinon je vais rapidement être désagréable et j’ai peur d’y perdre quelques neurones à vous lire tellement on touche le fond.
Le nombre de morts par armes à feu aux USA est élevé…essentiellement du fait des suicides par armes à feu, et des réglements de compte entre gangs. L’Etat le plus criminogène est celui qui est le plus restrictif sur les armes, celui de New York.
MCA vous êtes un lache , tout comme tous ceux qui sont responsables de la sécurité des français et qui ne font rien ; votre bla bla de gauchiste est de plus en plus inaudible car les faits sont là ; atterrissez mon vieux, et cessez de donner des leçons de conduite ; la vraie question est : face à un couteau , que faites-vous ?
On aimerait avoir votre analyse sur les règlements de comptes entre trafiquants.
Qui ne manquerait pas de mettre en lumière la circulation illégale des armes.
Sinon, en ce qui concerne les PMU et autres fêtes de village avec leurs poireaux (sic), on y trouve une proportion non négligeable de chasseurs.
Or, entre les accidents de chasse et les pétages de plomb de campagnards, on est plutôt loin du bilan des règlements de comptes urbains.
Cet édito est effectivement caricatural et grossier mais a le mérite de sortir des clichés et des lieux communs, et donc de permettre une certaine stimulation intellectuelle.
Plus que “poivrots, PMU etc.”, discours bloqués dans les années 80-90.
La Lune, le sage, le doigt etc.
Vous faites bien de vous soucier des neurones qu’il vous reste. Mieux vaut tard que jamais.
McA tu n’est pas un lâche, mais un collabo du gouvernement qui ce veut “ouvert au monde”. On n a pas besoin d’immigrants qui viennent faire leur loi chez nous, et leur pétage de plombs. Bizarrement l’asie, l’europe, l’amérique entière vient immigrer en france mais n’augmentent pas le taux de criminalité ici comme d’autres le font mais à qui l’on refuse la prison et la condamnation ou le renvoi car ils “nique la france”, juste parce qu’ils sont venu de pays en guerre où la vie était difficile.
Si la france se casse la gueule et meurt c’est à cause de cette immigration forcée et positive du gouvernement de pays et sociétés stupides qui n’ont rien à faire ici. immigration oui, si tu aimes le pays où tu immigres. sinon dégage, et toi qui ce veut progressiste, part avec eux chez eux les faire progresser, quand tes enfants creveront parce qu’ils auront mangé un plat interdit, ne reviens pas pleurer ici.
dégage avec tes neurones pourrient par TPMP et par les autres médias menteurs qui ne sont que des jouets du gouvernement.
PS: je suis moi même enfant de l’immigration, mais asiatique.
La faiblesse engendre le mépris.
J’imagine tous les dépressifs et bipolaires sur la route où ailleurs avec leurs flingues……aïe ! aïe ! Au s’cours !!!
En tant qu ancien vétéran,je pense qu’il est l heure de faire comme Charles Martel : expulsé tout les étrangers qui veulent imposer la terreur dans notre démocratie.arreter de donner la double nationalité,ça suffit. Un certain général a dit tu viens en France,tu respectes les traditions de ce pays,au contraire si tu veux imposer tes mœurs alors tu dégage. Moi a la tête de notre chère France je mettrai toutes ces racailles dehors.a bon entendeur salut.
En tant qu’ancien militaire, il est temps de se former à l’autodéfense à mains nues et de s’armer. Quand vous Avez des racailles anti française qui annoncent qu’ils vont ” tué du BLANC” et qui viennent avec des couteaux de 25 cm c’est pour tuer et qu’ils ont de la peine pour Gaza ça veut tout dire. Ils ont détruit à jamais une famille
je considère et persiste pour moi c’est un ATTENTAT anti Blanc anti français. Depuis les actes de barbarie en Israël ça ne fait que commencer ils sont antisémites anti chrétiens anti France anti blanc. Maintenant a vous de choisir votre camp, si vous préférez dire Amen à tous faudra pas pleurer pour la suite. Donc un conseil formez vous ne rasez pas les murs gardez la tête Haute et portez vos convictions et votre courage. Je constate qu’on est devenu des lopètes en face de ces racailles de terroristes