Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent dans l’image de la semaine sur le succès croissant du pèlerinage de Chartres, avec le retour à la Foi et la Tradition. Le dossier du jour sera consacré aux différentes thèses possibles pour expliquer la situation en Nouvelle-Calédonie. Les pastilles de l’info aborderont : 1) Carton rouge : Mandat d’arrêt contre Netanyahou, le loupé de l’AFP 2) L’idiot du village global : Le petit Duhamel vs Chenu 3) Décryptage : Agression antisémite, le deux poids deux mesures médiatique 4) Ça décoiffe : Foot et homophobie ?
Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM sera consacré à Benjamin Duhamel, un journaliste qui fait les choses en famille…
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4 réponses à “Nouvelle-Calédonie : guerre civile ethnique ? – Le Nouvel I-Média”
La Nouvell caledonie ? … Bien sûr! Racisme anti-Blanc et ce ne sont pas les vacances du père Macron aux antipodes qui ameneront une forme de paix. Au contraire ! D’autant plus avec un Macron à caractère extremement socialiste, qui cherche a se debarrasser de “nos” ex-colonies ….
Le petit singe se prenait pour un thaumaturge; de fait un illusionniste se prenant très au sérieux avec son regard torve et son rictus sardonique, un vulgaire bateleur de foire!Il peut die je suis venu, j’ai vu j’ai éructé mais pas j’ai vaincu.
Les habitants de la Nouvelle-Calédonie ont refusé 3 fois ”l’indépendance” de ”leur” pays car la ”Mère Patrie” envoie chez eux des milliards d’euros que ”la France” prend dans la poche des contribuables français comme nos ”gouvernants” faisaient avec ”l’Algérie française” et si ”l’indépendance” est donnée aux habitants de la Nouvelle Calédonie, les Kanaks feront comme les Algériens ainsi que les Comoriens: ils voudront redevenir ”Français” et se sauveront de ”leur” pays ”indépendant”!…
La Nouvelle-Calédonie
La demoiselle est une beauté incomparable, ses très riches prétendants se font de plus en plus pressants.
Nous sommes une famille de flambeurs devenue pauvre. La belle s’impatiente.
Alors, essuyons une larme et sans regrets passons à autre chose mais au moins essayons d’être exigeants lors de la négociation du contrat.
Et puis, nous pourrons toujours nous dire pour nous consoler qu’il nous reste ses soeurs.