Nouvelle attaque raciste anti-blanche en Afrique du Sud. Cette fois-ci c’est un agriculteur afrikaner, un Boer, de 36 ans qui a été passé à tabac dans la rue principale de Barkly East, un village du Cap Oriental, le week-end dernier. Selon le syndicat agricole TLU, Martin Cloete, le jeune blanc, a été traîné hors de son véhicule par un groupe d’individus qui a ensuite détruit sa voiture et l’a littéralement laissé pour mort. Il s’est réveillé à l’hôpital après l’intervention de la SAPS, la police nationale sud-africaine qui l’a pensé décédé dans un premier temps avant de l’entendre gémir.
Dans un premier temps, des individus l’avaient agressé à coups de briques et de pierres avant que celui-ci puisse s’enfuir. Provisoirement, hélas.
Bien entendu, la race des agresseurs n’a pas été précisée par TLU dans son communiqué mais le ton de l’écrit ne laisse aucun doute : ce sont bien des Noirs qui ont attaqué Martin Cloete. TLU rappelle que 80 attaques de ferme ont lieu par jour en moyenne en Afrique du Sud. Dans la majorité des cas, les assaillants sont repoussés par les Boers mais régulièrement des fermiers blancs sont massacrés par des cambrioleurs noirs plus ou moins idéologiés sans compter les viols de femmes blanches, l’Afrique du Sud de l’ANC comptant le plus fort taux de viols au monde et l’un des taux de criminalité le plus important.
En Afrique du Sud, le racisme anti-blanc est institutionnalisé au plus haut sommet de l’Etat avec des contraintes à l’embauche, à l’investissement, à l’accession à la propriété et au logement privilégiant les Noirs.
Crédit photo : TLU
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14 réponses à “Afrique du Sud : un boer passé à tabac par des Noirs dans une ville du Cap Oriental”
Il faut rétablir l’ancien système.
Le mirage de la nation arc en ciel est un mythe. Et le racisme antiblanc un fait et pas seulement en Afrique du Sud.
Pourquoi rester ??si on a les moyens de fuir ,les laisser entre eux ,on connait la suite ,.Voir aux states ,,ils y sont depuis 3 ,4 siecles et « civilisés « ??Chaque CHOSE a sa place ,,,
J’ai connue l’Afrique du Sud lorsque ce pays était le Leader incontesté du Continent Africain. Et le plus riche, et le plus « Blanc », et le plus propre.
Constatez de vous-mêmes ce qu’il est devenu depuis qu’il est entre les mains des noirs, incultes et barbares, et qui malgré eux, sont de toutes façons appelés à être colonisés de nouveau, par les Chinois, les Russes, ou autres Coréens, car le « Noir », l’Africain plongé dans sa profonde négritude ancestrale, est totalement incapable de diriger quoique ce soit sans voler, sans chercher à s’enrichir, sans essayer de devenir plus blanc que n’est le Blanc.
Voyez-vous même
Une fois de plus ,les dirigeants ont trahi le peuple par pusillanimite,ils avaient la bombe atomique , regardez la Corée du Nord !
Dans un article de Libé de 2018, on pouvait lire que « Le racisme anti blanc n’existe pas structurellement » car « La population majoritaire ne peut être victime. Le concept de racisme anti-Blancs n’a donc guère de sens dans une société où les Blancs ne subissent pas un racisme institutionnalisé et une discrimination sociale à dimension historique. »
Ce qui peut être vrai en France ou dans d’autres pays d’Europe à majorité blanche l’est-il dans les pays à majorité noire? N’y a t-il pas dans les pays à majorité blanche des zones où les Blancs sont minoritaires et victimes de discriminations, sachant que l’on peut en Europe voyager « à l’étranger » sans franchir de frontière ?
Si on retourne l’argument de « racisme structurel » on observe que l’Afrique du Sud est un pays à majorité noire où les blancs sont largement minoritaires et qu’il n’y pas d’actes de racisme à l’égard des Noirs mais l’inverse.
« Discrimination sociale à dimension historique »? L’Histoire de l’Afrique du Sud a bien vu le racisme anti Noir mas aujourd’hui, la « dimension historique » n’est plus la même, elle s’est complètement inversée.
Qui peut prétendre que le racisme n’a pas une dimension institutionnalisée en Afrique du Sud, au plus haut sommet de l’Etat?
Que les idiots utiles, surtout les idéalistes de gauche, arrêtent de nous venter les bienfaits des sociétés multiculturelles. Cela ne marche bien bulle part. Chacun doit ouvrir les yeux et rester lucide.
L’ancien système n’était pas tenable, mais le nouveau est effroyable. Moralité : la colonisation de l’Afrique était une erreur que les Blancs n’ont pas fini de payer. Il faut en finir avec la repentance et ne pas se laisser envahir. Chacun chez soi !
Encore un petit effort et vous allez, Sud Africains vous retrouver dans la situation du « Zimbabwe autrefois si riche en produits agricoles qu’il était surnommé le « grenier » de l’Afrique australe, alors qu’il lutte aujourd’hui pour nourrir sa propre population. »
Je propose d’échanger les boers contre nos migrants . « Boers welcome , migrants go home » .
C’est pratiquement une majorité de pays africains qui sont racistes non seulement anti blanc mais également contre les asiatiques ; dire qu’étant incapable de développé leur pays ces gens immigrent chez nous et leur « potenta » qui les gouvernent acceptent l’aide humanitaire pour mieux tenir leur population par le trafic et l’enrichissement personnel.
Qui sont les responsables ?
En réponse à un certain Rachid qui disait un jour : « Vous, les Français vous nous avez tout volé, même le fer avec lequel vous avez construit la Tour Eiffel. Comme on n’a plus rien, à part les cailloux que vous n’avez pas emportés, on vient vivre chez vous pour récupérer nos biens.»
C’était un argument qu’il avançait pour justifier l’immigration de masse.
Or, l’immigration « pour une vie meilleure » ne cessera pas tant que l’Europe se flagellera et continuera à vivre dans la repentance alors que les dictateurs africains, au Nord comme au Sud, s’en foutent plein les poches. La colonisation c’était il y a 60 ans !
D’autres pays ont été colonisés comme l’Inde par les Anglais, le Brésil par les Portugais ou le Mexique par l’Espagne. Ces pays désignent-ils les Européens comme responsables de leur présent alors qu’ils sont devenus des puissance mondiales économiques et politiques ? Le Brésil est aujourd’hui la 7eme puissance économique du monde, loin devant son ancien maître le Portugal qui est actuellement à la 45eme place.
Que font les Africains des 15% des réserves mondiales de pétrole . Rien qu’en Algérie, les réserves sont estimées à 12,5 milliards de barils, ce qui place le pays à la 16e place du classement mondial des pays avec les plus grandes réserves prouvées de pétrole. Le Nigeria, le Congo, l’Angola et le Gabon, disposent de la moitié des réserves pétrolières africaines, soit 6,75 milliards de barils.
Où va donc l’argent de la richesse du sous sol pour que les gens fuient en masse vers l’Europe alors que ces pays auraient besoin de bras pour relever la tête ?
La majorité des dirigeants africains a fait main basse sur ces richesses, plongé la main dans le pot de confiture et tout fait pour garder le pouvoir, un pouvoir qui rapporte gros. Les dirigeants africains volent des milliards de fonds publics, dont ils gardent une énorme partie sur leur compte personnel dans les paradis fiscaux où qu’ils investissent dans les économies d’Europe ou des USA.
Ces pays « pauvres » d’Afrique ont pourtant des ressources considérables et de la main d’œuvre pour se relever, bâtir, innover, progresser… Les anciens maîtres, les « colons », l’ont fait en construisant des routes, des voies ferrées, des hôpitaux, des écoles, des administrations etc.. Que reste-t-il de ce legs et de ces structures ? Ils ont été dilapidés et laissés à l’abandon à cause d’incapables et de profiteurs qui aujourd’hui accusent l’Europe de tous les maux pour justifier l’état de délabrement de leur pays et la misère de peuples qui crèvent la faim.
Il manque à l’Afrique, à ceux qui la dirigent, 3 qualités : la volonté, la détermination et l’honnêteté. Forte de ces qualités l’Afrique figurerait parmi les grandes puissance économiques du monde. En se mettant à l’ouvrage, les Africains sortiraient du merdier où ils s’enfoncent un peu plus tous les jours. Encore faudrait-il qu’ils arrêtent de se victimiser et de passer à l’action.
Si on regarde par exemple ce qu’est devenue aujourd’hui l’Afrique du Sud entre les mains de ses « nouveaux maîtres » on a de quoi être très sceptique sur son avenir.
Comme dit plus haut dans un commentaire, le Zimbabwe était du temps des Boers le « grenier à blé de l’Afrique » En 2000, le gouvernement de Robert Mugabe a lancé la réforme agraire : confiscation des terres appartenant aux fermiers blancs et redistribution à des Zimbabwéens noirs. Il s’en est suivi une chute abyssale de la production agricole, entraînant une grave crise alimentaire et une famine dans le pays.
Selon un rapport de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture, en 2017, plus de 4,1 millions de personnes au Zimbabwe étaient en situation d’insécurité alimentaire. La famine a également eu un impact sur la santé des enfants, avec 90% d’entre eux âgés de six mois à deux ans ne recevant pas un régime alimentaire minimum acceptable.
Aujourd’hui, le Zimbabwe reçoit des aides du Programme alimentaire mondial et reste à la recherche de « moyens » pour retrouver sa virilité économique et sa capacité à nourrir sa population.
Comprenne qui pourra !
Ce genre de chose n’est pas nouveau. Dans leur « biographie » Africa Trek, Sonia et Alexandre Poussin racontent déjà ce genre de criminalité fréquente dans les pays sud africains.
Certainement un néo-nazi blanc ça se voit à sa dégaine, il a dû provoquer les noirs et a récolté ce qu’il a semé. Prochainement il se tiendra à carreau ou retournera en Autriche ou au Pays-Bas s’il n’est pas content de son sort et celui des siens dans ce sublime pays.
Ou peut-être ces gens ont voulu lui faire payer les viols, mutilations et bien sûr les pillages commis par cette minorité blanche hautement ensauvagé d’Afrique du Sud.