Le Saint-Siège a annoncé ce lundi matin, jour du Lundi de Pâques, le décès du pape François à l’âge de 88 ans. Jorge Mario Bergoglio s’est éteint à 7h35 au Vatican, après une longue période de convalescence et de santé déclinante.
Élu en mars 2013 pour succéder à Benoît XVI, François était le 266e souverain pontife de l’Église catholique. Premier pape originaire d’Amérique du Sud, premier membre de la Compagnie de Jésus à accéder à la papauté, il fut aussi le premier non-Européen à occuper le trône de Saint Pierre depuis le VIIIe siècle.
De Buenos Aires au Vatican
Né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires dans une famille d’origine italienne, Jorge Mario Bergoglio grandit dans le quartier populaire de Flores. Il suit une formation de technicien en chimie avant de rejoindre le séminaire, après une expérience spirituelle déterminante à l’adolescence. Ordonné prêtre en 1969, il devient rapidement une figure influente au sein des jésuites argentins, qu’il dirige comme provincial entre 1973 et 1979, dans un contexte de troubles politiques et de dictature militaire.
Son attitude durant cette période fut longtemps sujette à controverse, certains lui reprochant son silence, d’autres saluant son action discrète en faveur de persécutés. Par la suite, Bergoglio poursuit son parcours ecclésiastique et est nommé archevêque de Buenos Aires en 1998, puis cardinal en 2001 par Jean-Paul II.
Un pontificat tourné vers les « périphéries »
Lorsqu’il devient pape en mars 2013, il choisit le nom de François, en hommage au saint d’Assise. Dès les premiers jours de son pontificat, il marque sa différence par un style sobre, un langage direct et une volonté d’ouverture. Il privilégie les périphéries du monde catholique, aussi bien géographiquement qu’existentiellement.
Très impliqué dans les questions sociales et environnementales, il publie notamment l’encyclique Laudato si’, appel vibrant à la sauvegarde de la Création. Il plaide aussi en faveur de l’accueil des migrants et des pauvres, et n’a cessé de multiplier les prises de position politiques plutôt à gauche.
Réformes et tensions internes
Le pape François initie de nombreuses réformes au sein de la Curie romaine, promulguant en 2022 la nouvelle constitution Praedicate Evangelium, destinée à rendre l’administration vaticane plus missionnaire et accessible aux laïcs. Il mène aussi une politique de nomination de cardinaux favorisant les pays du Sud, réduisant l’influence traditionnelle de l’Europe.
Son pontificat est également marqué par des débats doctrinaux internes, notamment sur la bénédiction des couples en situation dite « irrégulière », sur l’interprétation du concile Vatican II, ou encore sur la gestion des liturgies traditionnelles. S’il reste ferme sur les sujets éthiques comme l’euthanasie et l’avortement, ses gestes d’ouverture envers les personnes homosexuelles ou divorcées remariées ont suscité des divisions au sein de l’Église. Il s’est par ailleurs toujours montré plutôt hostile aux catholiques traditionnalistes, alors même que les églises se vident en Occident…sauf les églises traditionnelles.
Une fin de vie marquée par la maladie
Depuis 2021, la santé du pape déclinait. Hospitalisé à plusieurs reprises pour des problèmes respiratoires et digestifs, il subit des interventions médicales lourdes et fut contraint, ces derniers mois, à limiter drastiquement ses apparitions publiques. Selon son médecin personnel, il aurait frôlé la mort à deux reprises lors de sa dernière hospitalisation début 2025.
La mort du pape François intervient douze ans jour pour jour après le début de son ministère pétrinien.
Le conclave destiné à élire son successeur devrait être convoqué dans les prochains jours.
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7 réponses à “Le pape François est mort : fin d’un pontificat de douze ans marqué par la réforme et la controverse”
– En son temps, Jésus de Nazareth semble avoir dit publiquement : « Donnez à César ce qui est à César et à dieu ce qui est à dieu »… soit une délimitation nette entre le Temporel (dommaines de l’administration du Bien commun – police, justice, armée, urbanisme, santé, instruction) et le Spirituel (morale, réflexion intérieure, éducation, ouverture à autrui… ce qui, dans la doctrine chrétienne – sublime de naïveté – devient : l’Agapè : amour de dieu pour ses créatures et vice-versa + amour entre les créatures unies au sein d’une espèce-famille)
– Depuis la mort de Pie XII – honteusement calomnié par les ordures marxistes travaillant pour le milieu stalinien, puis honteusement sali par les marchands du temple shoahtiste à la recherche de toujours plus de compensations financières et de justifications pour les crimes des sionistes (soit les partisans d’un Grand Israël impérialiste) -, l’Église catholique a renié non seulement ses rites et sa langue interne (le latin), mais aussi son universalité.
– Depuis Vatican-II, qui fut le naufrage volontaire d’un clergé composé d’ambitieux au comportement de politiciens, l’Église catholique court vers toutes les stupidités pseudo-intellectuelles, pseudo-artistiques, pseudo-médicales (dont la psychanalyse et ses dérives pansexuelles), vers le racisme anti-européen, vers la confusion de toutes les doctrines (où les pauvres d’esprit confondent dans la même bouillie : la religion juive d’essence sépatatiste, un islam très mal présenté – alors que le Coran démontre qu’il s’agit d’une religion de haine pour les « infidèles », d’intolérance absolue, pratiquant le même mépris pour la femme que le judaïsme traditionnel -, un vague bouddhisme panthéiste, voire les stupidités animistes des primitifs… alors que les Jésuites traditionnels des XVIIe-XVIIIe siècles avaient parfaitement utilisé les similitudes entre confucianisme et stoïciens, doctrines d’amour universel du Ier Bouddha et de Jésus, tandis qu’au XIXe siècle, on comprenait que la notion de dieu unique – née du cerveau d’Akhénaton et copiée un siècle plus tard par Osarseph-Moïse – était lourde du risque de tueries par intolérance si on ne l’adoucissait par la charité et la patience… ce fut l’immense apport de Jésus, repris et explicité par les théologiens d’Allemagne, un enseignement vite oublié et demeuré « en déshérence » !
– François (Ier et, espérons-le pour l’équilibre sipituel de l’humanité, François le Dernier) fut le plus mauvais pape de l’histoire, parce qu’il a incarné la soumission abjecte à toutes les idées folles, des années 1960 au milieu des années 2020. Pape de l’immigration-invasion de l’Occident par les sous-doués avides et violents, pape LGTB, démagogue prêt à toutes les palinodies pour faire la Une des journaux télévisés, dictateur vatican, menteur avéré en de multiples occasions… un homme qui rend les athées fiers de se tenir à distance de tous les clergés.
Premier pape jésuite ! Et pour cause !
Saint Ignace avait inscrit dans la règle de la compagnie de Jésus l’interdiction absolue pour ses membres d’accepter quelque prélature que ce soit !
Le pape François…
Parmi les multiples reproches que j’ai fais et maintiens, envers le pape François, je n’oublie pas la promotion éhontée des injections géniques expérimentales, à laquelle il s’est livré, ni sa participation active à la tyrannie nazitaire du Covid 19, largement démontrée par les dispositions qui ont été les siennes, à l’intérieur même de la cité du Vatican, pour obliger ses personnels à se faire piquer contre leur volonté, dans un soi-disant « acte d’amour »…
Voir ci-dessous…
«Vacciner, avec des vaccins autorisés par les autorités compétentes, est un acte d’amour», souligne François, «Et contribuer à ce que la plupart des gens soient vaccinés est un acte d’amour». L’amour est également social et politique explique le Pape, «il est universel, toujours débordant de petits gestes de charité personnelle capables de transformer et d’améliorer les sociétés».
«Se vacciner est un moyen simple mais profond de promouvoir le bien commun et de prendre soin les uns des autres, poursuit le Souverain Pontife dans son message, notamment des plus vulnérables». «Je demande à Dieu, conclut le Saint-Père, que chacun de nous puisse apporter son petit grain de sable, son petit geste d’amour. Aussi petit soit-il, l’amour est toujours grand. Contribuez par ces petits gestes à un avenir meilleur».
https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2021-08/pape-francois-message-video-vaccination.html
Lorsqu’on continue, comme je le fais, de se tenir informé, par exemple, de la gravité des effets secondaires de ces injections géniques expérimentales du Covid 19, comment ne pas s’interroger sur le mal que n’a pas cessé de faire le pape François aux habitants de la terre, aux membres de son église, par tant de ses positionnements ?
Et maintenant il nous faut un nouveau Jules II ! Afin de rétablir l’ordre et l’équilibre.
ce pape était ennemi de la Chrétienneté mais se prosternait devant les islamistes …..
c’était un parfait gôchot !!!
Bon voyage
En vérité je vous le dis ce lundi avant de prendre place pour mon petit déjeuner j’ai allumé les 3 veilleuses pour mes parents, pour mes grands parents, toute la famille et tous ceux qui sont victimes des satans d’Allah…à l’occasion des messes sont célébrées! Et …tout d’un coup les vieux meubles ont commencé à craquer et j’ai pensé à ma vieille soeur aînée survivante de la fratrie pensant que le Seigneur était venu la chercher…non elle avait bien dormi!!! Donc c’était la Choten de Rome qui avait rendu son âme à son maître. (je ne dis pas qui était son maître pour échapper aux polémiques!). Si vous voulez des précisions adressez-vous à Bernard Rio qui connaît bien ce monde celtique plein de mystères bizarres.
un islamogauchiste de moins