En direct sur France 5, Mathieu Kassovitz s’est réjoui de la disparition du peuple historique de ce qui reste, malgré l’aversion qu’il lui porte, son pays. Après des propos idiots sur la fin des Français de souche, il a reçu une réponse haute en couleur de la part de la journaliste Charlotte d’Ornellas. Pour lui remonter le moral, nous lui offrons un petit cours de dessin.
Le réalisateur de »La haine », invité pour parler de ce film trente ans après, a confusément déclaré :
« Le problème qu’on a en France, c’est le racisme, un problème de difficulté à intégrer ce qui est un combat pour moi complètement perdu d’avance parce que nous devons être fier d’être le pays, un pays des plus intégré au monde, c’est une de nos forces, c’est ce qui fait qu’on est Français. Maintenant, il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus et j’espère qu’on va continuer à se mélanger, pas seulement en France, mais dans le reste du monde. »
Une confusion qui n’a pas échappé à Charlotte d’Ornellas, qui, visiblement irritée, a tenu à analyser ces propos :
« Chacun son métier, il ne faut pas qu’il essaye de faire de la philosophie ! C’est d’une confusion ahurissante. Il nous explique qu’on a du mal à intégrer, on est les plus racistes et on doit se réjouir d’être le pays le plus intégré. Intégré à quoi ? On ne sait pas. Désintégré, à mon avis, serait un mot un peu plus adéquat puisqu’il nous explique qu’on est extrêmement intégré parce que nous ne sommes plus rien. C’est original comme propos.
C’est un mélange de tout, la seule chose dont on est sûr, c’est qu’il y a encore suffisamment de Français de souche pour les traiter de racistes du matin au soir. Y’en a plus, mais y’en a quand même au moment où il faut les accuser de racistes.
Ses propos ne veulent rien dire, il veut seulement remettre un coup de trique à la France.
Les Français n’en peuvent plus. Est-ce qu’il voit qu’il y a des gamins qui meurent de coups de couteau tous les trois jours ? Il le voit ça ? Ils vivent dans le même pays ? Non, [les gens comme lui] sont ailleurs, ils ne voient pas la souffrance réelle de gens qu’ils accusent du matin au soir alors que les Français sont inquiets. Inquiets de voir disparaître leur pays, inquiets de voir maintenant disparaître leurs enfants. »
On aimerait aussi demander à Mathieu Kassovitz : souhaiter la disparition des peuples – ou d’un en particulier – par le mélange, n’est-ce pas là une pure expression de racisme ? C’est bien sur ce point que les partisans du métissage se trompent : affirmer que le métissage est l’avenir de la planète ne créera pas plus de diversité mais moins. Comme l’écrit Guillaume Faye :
« Ce dogme du métis, l’homme de l’avenir, s’apparente aussi au rêve universaliste de l’homme unique, d’une humanité uniforme, débarrassée des peuples. L’idéologie du métissage comporte un aspect totalitaire, celui de l’Etat mondial et de l’homme nouveau partout semblable, idée commune aux trotskistes et à l’ultra-libéralisme. » (1)
Mais ce « gauchiste attardé« , comme il l’a été qualifié sur les réseaux, ne comprendra peut-être pas. Alors on va faire simple et adapter notre langage en reprenant les cours de dessin de l’école primaire : à force de mélanger les couleurs, on n’obtient pas plus de couleurs, mais une couleur unique.
Il n’a qu’à essayer.
(1) Pourquoi nous combattons, Manifeste de la résistance européenne, L’Aencre, 2001, Paris.
Audrey D’Aguanno
Crédit photo : DR
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Une réponse à “Mathieu Kassovitz humilié par Charlotte d’Ornellas. Nous lui offrons une leçon de dessin niveau école primaire [L’Agora]”
Merci, Audrey, pour ce billet qui remet l’église au milieu du village.
Ce triste individu, à l’instar de tous ses pairs gauchiasses, a le cerveau totalement ravagé par cette bouillie idéologique mortifère. Ce discours est d’autant plus cocasse qu’il vient de quelqu’un qui, comme chacun le sait, ne se mélange pas!!!
Bien à vous.