Nantes. La Nuit du Bien Commun ou la charité et l’aide aux démunis traquées par la gauche et l’ultra-gauche

Jeudi 5 juin 2025, la Cité des Congrès de Nantes accueillera la cinquième édition de la Nuit du Bien Commun. Un événement de levée de fonds caritatif, apolitique dans ses intentions, mais devenu malgré lui l’objet d’un harcèlement idéologique inouï. Ce gala philanthropique – qui permet à des associations de proximité de présenter leurs projets et de bénéficier en direct de dons du public – ne trouve pas grâce aux yeux de la gauche nantaise, ni de l’ultragauche, ni même d’une partie des syndicats. Leur crime ? Être soutenu, entre autres, par l’entrepreneur Pierre-Édouard Stérin, diabolisé parce qu’il n’est ni progressiste, ni repentant.

Un événement salué partout… sauf par les milieux militants

Depuis 2017, la Nuit du Bien Commun a permis de récolter plus de 23 millions d’euros au profit de 470 associations.

Son principe est simple : des associations locales viennent présenter en quelques minutes leurs actions devant un public de donateurs, lequel s’engage sur-le-champ à financer les projets qui le touchent. L’événement a essaimé dans une quinzaine de villes en France, ainsi qu’en Belgique et en Suisse. Il est encadré par un fonds de dotation qui affirme, sans ambigüité, son indépendance vis-à-vis des clivages politiques et religieux.

Mais à Nantes, la charité ne suffit plus à désarmer la haine. Depuis plusieurs semaines, une coalition d’activistes et d’élus – regroupant la CGT, LFI, les Verts, le PS, le PCF, les Soulèvements de la Terre et les réseaux de terreur antifas – tente d’obtenir l’annulation de l’événement. La Ville de Nantes, via le socialiste Bassem Asseh, s’est même fendue d’un communiqué dénonçant un « projet politique néfaste », tout en reconnaissant ne pas disposer de fondement juridique pour l’interdire.

Le préfet obligé d’intervenir face au risque d’émeutes

Ce climat délétère a conduit le préfet de Loire-Atlantique à interdire tout rassemblement autour de la Cité des Congrès pendant la tenue de l’événement. Une décision motivée par la menace explicite de 150 à 200 militants « à risque », selon les services de sécurité. Dégradations, appels à la violence, menaces physiques à l’encontre des participants : l’ultragauche revendique désormais le monopole de la vertu, quitte à nier le droit d’autrui à organiser une soirée de dons pour des associations locales.

La façade de la Cité des Congrès a d’ailleurs été récemment taguée. Dans d’autres villes, comme à Rennes ou à Tours, les précédentes éditions ont été la cible de manifestations violentes, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre.

Silence assourdissant des médias locaux

Il est d’autant plus frappant que la presse locale se contente dans ses articles de reprendre les éléments de langage des opposants à l’événement, sans jamais expliquer ce qu’est concrètement la Nuit du Bien Commun. Aucune enquête, aucune mise en lumière des associations soutenues, aucun retour des bénéficiaires. Juste une suspicion permanente, un procès en sorcellerie idéologique.

En réalité, derrière le prétexte de « l’antifascisme », c’est bien la gauche militante qui défend une forme de terreur intellectuelle. Tout événement qui échappe à son contrôle, toute initiative perçue comme « conservatrice » ou non-alignée devient immédiatement suspecte, attaquée, marginalisée.

Heureusement, de nombreux soutiens émergent. Christelle Morançais, présidente de la Région Pays de la Loire, a dénoncé les intimidations subies par les organisateurs et les participants. Foulques Chombart de Lauwe, conseiller municipal nantais et candidat LR à la mairie en 2026, a rappelé que la Nuit du Bien Commun permet de « financer des associations qui œuvrent pour les plus démunis » – et qu’à ce titre, elle mérite d’être défendue, quel que soit le pedigree idéologique supposé de ses mécènes.

Dans une époque où les subventions publiques deviennent la chasse gardée des élus et des idéologues, il est salutaire que des initiatives citoyennes, enracinées dans la société civile, puissent subsister. La Nuit du Bien Commun est l’une d’elles. Elle mérite d’être saluée, non calomniée.

Pour découvrir les associations financées ces dernières années, c’est ici

Voici ci-dessous les lauréats pour cette année, d’une cérémonie que gauche et extrême gauche veulent faire interdire, et que la presse ne daigne pas présenter comme ce qu’elle est, une soirée caritative. Pour imager, ces appels à la haine et à l’interdiction, c’est un peu comme si des individus appartenant à la mouvance Antifa, aidés par des syndicalistes subventionnés, voulaient s’en prendre physiquement un SDF parce qu’il fait la manche à côté d’une Eglise.

YV

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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2 réponses à “Nantes. La Nuit du Bien Commun ou la charité et l’aide aux démunis traquées par la gauche et l’ultra-gauche”

  1. Cathelino dit :

    Nantes à toujours été une ville de bourjes et de gauchards insupportables. Vendéens!!! Revenez et dégagez les une bonne fois pour toutes.

  2. Poulbot dit :

    Pour les organisations, associations, partie,groupuscules, de gauche; toutes actions d’aides a la population par les biais des associations local est inconsidéré comme fasciste donc a perturber de quelques façons que ce soit , par la violence si il le faut , si elles ne sont pas organiser par ces mêmes Gauchistes.

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