Chris Elston, plus connu sous le pseudonyme de « Billboard Chris », est sans doute l’un des activistes les plus emblématiques du combat contre l’idéologie du genre appliquée aux enfants. Canadien et père de famille, il a choisi de devenir lui-même un panneau publicitaire humain pour alerter sur les conséquences physiques et psychologiques irréversibles des traitements de transition chez les mineurs. En ce mois de juin, il était à Bruxelles, où il a été arrêté pour avoir brandi une pancarte affirmant : « Les enfants ne peuvent pas consentir aux bloqueurs de puberté ».
Total madness in Brussels.@LoisMcLatch and I were arrested and taken to jail.
No charges filed, but that didn’t stop them from stripping me down to my underwear, confiscating my signs, and locking us up.
They just wanted to get rid of us. @JDVance was right. The greatest… pic.twitter.com/oy9WLoU5aE
— Billboard Chris 🌎 (@BillboardChris) June 6, 2025
Un déclencheur : l’affaire J.K. Rowling
Tout a commencé en 2020, quand une simple affiche à la gare d’Édimbourg déclarant « I love J.K. Rowling » a été démontée, qualifiée de « discours de haine ». C’est alors que Chris Elston a pris conscience non seulement de la censure rampante, mais aussi de la gravé gravité d’un phénomène qu’il dénonce comme « le plus grand scandale de maltraitance infantile de l’histoire médicale moderne ». N’obtenant plus d’espace dans les médias ou sur les panneaux publicitaires classiques, il décide de devenir lui-même le support de ses messages.
Un message simple et clair : l’enfant n’est pas un cobaye
Avec ses pancartes, Chris entame un tour des grandes villes nord-américaines et européennes. Son message est clair : les enfants ne sont pas en mesure de consentir à des traitements aussi graves que des bloqueurs de puberté, des hormones croisées ou des chirurgies mutilantes. Ces pratiques, rappelle-t-il, sont non seulement expérimentales, mais déjà interdites pour des raisons éthiques dans d’autres contextes.
Chris insiste sur le fait que la plupart des enfants concernés sont vulnérables : troubles du spectre autistique, antécédents d’abus, dépression, isolement. Leur proposer une transition comme unique solution, c’est selon lui « transformer des enfants blessés en patients à vie de l’industrie pharmaceutique ».
This guy threw a glass bottle at us today. He missed and it smashed right near a little 5-year-old girl.
Brussels is insane. Most woke city I’ve been to, by a mile.
To all these violent, societal failures: Bring it. I don’t care. You picked the wrong guy to motivate. pic.twitter.com/7eVyiFtchQ
— Billboard Chris 🌎 (@BillboardChris) June 3, 2025
Une opposition violente, un soutien populaire massif
Souvent attaqué physiquement — plus de 40 agressions à ce jour, selon lui — Chris ne recule pas. Son objectif n’est pas de provoquer, mais d’informer. « La majorité des gens me soutiennent« , affirme-t-il, « même la police, qui est souvent composée de parents eux aussi ». Il déplore que ce soit principalement des jeunes femmes, endoctrinées dans les universités, qui l’accusent de « transphobie », alors qu’il dénonce justement la stérilisation définitive d’enfants à travers ces traitements.
Chris Elston dénonce une véritable ingénierie sociale, issue d’un triangle mortifère : les réseaux sociaux, les programmes scolaires standardisés pilotés par l’ONU, et les ONG subventionnées. L’objectivation de la jeunesse, dit-il, « n’est pas accidentelle mais stratégique ». Les mots sont soigneusement choisis : « soins affirmatifs de genre » plutôt que « mutilation hormonale » ; « enfant trans » plutôt que « enfant en détresse ».
Pour Chris, il s’agit d’une tyrannie minoritaire. « Ils avancent masqués, par euphémisme et par intimidation. Ils utilisent les enfants comme munitions politiques. »
Chris mise tout sur la parole. « Quand les enfants commencent à se rebeller contre cette idéologie, vous savez que vous avez gagné » affirme-t-il. Il voit déjà une réaction en chaîne, notamment chez les Garçons de la génération Z ou Alpha, qui rejettent en bloc ces dogmes. Aux États-Unis, c’est devenu un enjeu électoral majeur, et les systèmes de santé publique de plusieurs pays (Finlande, Suède, Royaume-Uni) ont déjà stoppé ou fortement restreint ces pratiques.
Le cas européen : une situation alarmante
En Europe, la situation est plus complexe. La Cour de justice de l’UE a récemment affirmé que l’interdiction de contenus promouvant la transition dans les écoles violait les « valeurs de l’Union ». Chris voit dans cette jurisprudence un dangereux glissement vers la censure totale, via le Digital Services Act (DSA), « un monstre orwellien qui permet de faire taire toute critique ».
Il en veut pour preuve un litige en cours avec le gouvernement australien, qui a tenté de faire supprimer un de ses posts sur X. « Heureusement que Musk tient bon », dit-il. « Les autres auraient déjà cédé. »
Chris Elston ne demande pas de haine, ni d’interdictions générales. Il demande un débat, des faits, la fin de l’expérimentation médicale sur les enfants. Il incarne une résistance qui ne se laissera ni faire intimider, ni faire taire. Sa présence en Europe est un signal : la contre-attaque a commencé.
Comme il le résume lui-même : « Les enfants sont magnifiques tels qu’ils sont. Ils n’ont pas besoin de scalpels ou de pilules, ils ont besoin qu’on les aime, pas qu’on les détruise. »
Crédit photo : DR
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2 réponses à “Billboard Chris : le Canadien qui dénonce la transition des enfants et l’idéologie du genre en Europe”
La dernière phrase résume parfaitement la réalité, même si elle fait de façon naïve et « idéale ».
Le vrai drame social (ou sociétal, si l’on préfère) est que des « médecins » (et tout chirurgien est d’abord un médecin) osent participer aux dingueries à la fois surréalistes et criminelles : avortements de complaisance, chirurgie mutilante (par définition irréversible), distribution de traitements modifiant ou inversant l’équilibre hormonal naturel… voire en se prenant pour des « dieux » de pacotille en fabriquant expérimentalement des « animaux » (humains ou non) de synthèse.
Les non-dingues, dont j’espère qu’ils forment encore une majorité, ont un devoir : celui de se révolter et de combattre ces fous qui se sont mis eux-mêmes (et surtout elles-mêmes, car les femmes sont les plus enragées dans ce mouvement, né en Autriche-Hongrie avant la Grande Guerre et amplifié dans l’Allemagne de Weimar) en dehors de la véritable humanité.
Bravo il faut crier ces vérités partout : les enfants ne sont pas des cobayes ils n’ont pas le discernement pour décider de traitements irréversibles sur leur corps, les adultes responsables ont le devoir de les protéger.