Les différentes fêtes de la musique de ce week-end ont révélé de façon plus évidente encore les profondes fractures ethniques, religieuses, éducatives qui archipellisent chaque jour un peu plus la société française. Une jeunesse mêlant la « fascination racaille » avec les énormes carences éducatives nées de l’éducation « enfant-roi », pédagomanie libertaire, de « gôche » et naturaliste à la sauce Philippe Meirieu ont donné les dérives actuelles. Et ces dérives, associées aux conséquences de l’immigration, ont créé un chaos dans nombres de communes bretonnes ce week-end.
A Saint-Pazanne, commune du Pays de Retz, les gendarmes ont dû intervenir pour disperser des bagarres de jeunes, dont beaucoup venaient de communes environnantes.
A Plélan-le-Grand, la fête a tourné au chaos avec des 7 blessés (dont la maire) et deux interpellations. Un groupe de Gens du Voyage étaient venus en découdre avec la sécurité. Murielle Douté Bouton, la maire de Bréal, a même été blessée à coups de poing alors qu’elle appelait les pompiers pour secourir des personnes à terre. Des Bretons ont également été défigurés à coups de tesson de bouteille.
A Bréal-sous-Montfort, en Ille-et-Vilaine, près de Plélan, ce sont une centaine de personnes qui ont été impliqués dans une bagarre géante. Les gendarmes ont eu toutes les peines du monde à stopper les exactions. Un jeune de 17 ans a été interpellé.
A Rennes et à Pont-L’Abbé, des jeunes filles ont été piquées par des aiguilles. Dans la capitale du pays bigouden, un homme a même été poignardé à la fête des écoles publiques au Bois Laurent. Des raisons privées et amoureuses semblent être à l’origine du drame. Sur les réseaux sociaux, des messages « racistes » ont été relevés.
A Lannion, diverses bagarres ont impliqué jusqu’à une centaine de jeunes. Une vingtaine de personnes a été prise en charge par les secours. Des piqures ont également été relevées.
Insolite : sur la page Facebook consacrée à Lannion, un homme exprimant ds positions gauchistes soutient, malgré vents et marées, que ces exactions sont le fait de « militants locaux du RN ».
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Une réponse à “Sainte-Pazanne, Bréal/Montfort, Plélan-le-grand, ces villes bretonnes où la fête de la musique a tourné au chaos”
Les fetes publiques sont condamnées à court terme. Piqures violences, agressions, toutes cette violence importée aura raison de notre mode de vie insufflé par la gauche pour occuper le peuple. Retour à la maison, à l’entre soi, aux soirées privées..et peut etre au travail à la famille élargie sur laquelle on peut avoir confiance. Il n’y a pas de fete publiques dans les pays musulmans il me semble, ni de musique, ni de filles dans les rues.La gauche aura-t-elle gagnée en faveur du peuple français ou en faveur du nouveau peuple de gauche? En Russie, ils font la fete tous les week end pour celébrer une profession, un évènement..Pas d’émeutes, pas de vandalisme, pas de piqures signalées. C’est donc possible…