Les récurrentes sorties de Jean-Luc Mélenchon sur les « blonds aux yeux bleus », ses continuelles exhortations à créoliser le peuple de France, le déni d’existence des Français de souche, taxés de « fin de race » par Mathieu Kassovitz et maintenant réinventés par Sandrine Rousseau mettent en évidence la haine raciale inouïe et décomplexée dont ces derniers sont la cible. Petit massacre de l’Histoire en plus.
Une négation existentielle un tantinet raciste ?
Ce jeudi 26 juin, lors des débats sur la proposition de loi visant à interdire le mariage de personnes visées en situation irrégulière sur le territoire, la députée éco-féministe Sandrine Rousseau affirmait à l’Assemblée nationale que les Français de souche n’existent pas.
«La France n’est pas une île, les Français de souche, ça n’existe pas. Nous sommes Français parce que nous avons été traversés par 1001 flux migratoires»
L’immigration serait constitutive de l’identité nationale. Ce qui est bien entendu faux au regard des siècles où la France n’en a connu aucune, et faux au regard des chiffres, puisque même les grandes invasions – germaniques et scandinaves – représentaient tout au plus quelques milliers de personnes.
Le Français de souche « celui dont les ancêtres sont nés en France avant 1850 » a composé presque exclusivement le peuple de l’hexagone jusqu’à très récemment. La synésie entre Gaulois, Romains et Germains a donné quelque chose, un quelque chose qui est resté immuable pendant plus d’un millénaire et qui a créé l’identité française. Adeptes de la cancel culture et désireux d’effacer le peuple français, ce que ces racistes décomplexés ne comprennent pas, c’est qu’il ne s’agit pas d’affirmer qu’il existe une pureté raciale française, mais bien une identité française. Le peuple français est issu d’une formule inimitable et irremplaçable. Une identité que l’on est encore en droit de revendiquer et de défendre. À moins que ce droit ne soit réservé qu’aux seuls Africains, Indiens, Chinois, Palestiniens et autres Esquimaux…
Mariages mixtes ? Un phénomène marginal
Mais ce massacre de l’Histoire s’amplifie quand, dans sa charge contre les Français de souche, Sandrine Rousseau ose suggérer que ces derniers seraient issus de mariages mixtes :
« Heureusement qu’il y a eu des amours non autorisés, heureusement qu’il y a eu des mariages avec des personnes étrangères, heureusement que nos grands-parents, arrière-grands-parents, se sont aimés au-delà des frontières, parce ce que c’est ce qui fait la richesse et la fierté du peuple français ! »
Or, même à l’apogée de la promotion du métissage, de la libre circulation des populations et des transcriptions administratives facilitées, les mariages mixtes n’atteignent pas 15 %. On imagine ce que cela devait être dans l’Antiquité et au Moyen-âge, où quitter ou être chassé de sa communauté était la pire chose qui pouvait arriver à un homme ou une femme… Affirmer que les Français seraient le résultat d’un phénomène millésimal est donc une claire manipulation.
De là à se demander si la haine des Blancs – la seule permise, vantée et institutionnalisée – motive ces invectives, il n’y a qu’un pas.
Audrey D’Aguanno
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3 réponses à “Pour Sandrine Rousseau « les Français de souche n’existent pas ». Ils seraient les descendants de mariages mixtes”
Il n’y a qu’un pas en effet, et que je franchis allégrement!
Propos d’une citadine zombifiée comme tant d’autres à l’instart des M. Kassovitz et J.L. Mélenchon. Le problème pour eux c’est qu’ils prennent leur cas pour une généralité alors que la réalité est tout autre voir même inversée. Il en va de même de leurs stupides médiocrités, des qualités sine qua non leur permettant d’occuper leurs places sociales en cette France satanisée. Bien heureusement la grande purge lumineuse approche à grands pas et ce sont essentiellement des pas de Français de souche qui résonnent et résonneront sur nos plaines, ne vous y trompez pas.
La bêtise incarnée.
« La femme sera vraiment l’égale de l’homme le jour où à un poste important on désignera une femme incompétente. « .
Françoise GIROUD (1916-2003), citée dans Le Monde, 11 mars 1983.
Rousseau doit être ravie , l’égalité homme femme est atteinte