« Louis de Funès, un homme tranquille » est le nouveau livre d’Aloïs Robinard (Editions La Geste), président de l’association »Sur les traces de Louis de Funès », qui détaille la vie simple et sans chichi de l’acteur dans sa propriété du Cellier en Loire-Atlantique (Bretagne) entre Nantes et Ancenis. Ayant acheté le château de Clermont en 1967, Louis de Funès viendra s’y reposer régulièrement avant de s’y installer définitivement après 1975 et deux infarctus.
Louis y repose d’ailleurs toujours, au cimetière du Cellier, aux côtés de sa femme Jeanne.
Pour construire son livre, Aloïs Robinard a interrogé les gens qui le côtoyaient au Cellier, du menuisier qui venait effectuer des réparations, au jardinier du domaine. Sans parler de ses amis de pêche à la ligne des bords de Loire.
Image de la France d’avant, le portrait de De Funès était celui d’un homme simple et réservé. De Funès, lui le fils d’espagnols (son père n’aura jamais demandé la nationalité française) devenu héros français du 7è art était l’une des figures qui ont construit la France d’après-guerre. Et qui a forgé l’imaginaire hexagonal.
France joyeuse et insouciante. Fraternelle et populo. Celle qui agonise actuellement. Celle qui nous a été volée. Celle que nous devons retrouver.
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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5 réponses à “« Louis de Funès, un homme tranquille » ou le livre sur la vie simple de Louis de Funès en Bretagne”
Un Grand Monsieur notre adjudant-chef Cruchot !
Tiens comme par hasard, la Loire Atlantique est en Bretagne du coup…
Nantes aujourd’hui en Loire Atlantique (44) était capitale de notre belle et bonne Duché de Bretaigne et la Pays de Retz donc le pays des Maraichins que commandait Charrette était breton!
Dernier paragraphe totalement hors propos. C’est dingue d’instrumenter un sujet pareil ! Vous pourrez reprendre vos dernières phrases pour n’importe quel sujet alors ? Le retour des tulipes, la chasse au sanglier, le marché de Noël, les chocolats de Pâques, … Navrant ! De Funès lui-même, issu de l’immigration, aurait été choqué.
D’accord avec Renée !