La fuite en avant. Orelsan face au vide : voyage au cœur d’une génération perdue qui cherche encore un sens

Aurélien Cotentin, dit Orelsan est un rappeur normand qui publie des albums depuis 16 ans. Son album Civilisation (2021) a été un énorme succès. Orelsan comptabilise 12 Victoires de la musique, faisant de lui le troisième artiste en ayant le plus remporté. Ce « Eminem français » décrit avec précision la dépression et le sentiment de mal-être éprouvés par la jeune génération française, tout comme le quotidien (jeux vidéo, Internet, télévision…), les relations amoureuses (difficultés à draguer, masturbation, fantasmes) et la perte de sens générale pour sa génération.

Après 3 ans de retrait de la scène musicale, Orelsan vient de livrer un film «  Yoroi » et surtout, le 7 novembre, un album : « La fuite en Avant ». 6,44 millions de streams en 24h sur Spotify France , c’est un niveau qui place Orelsan dans le top 3 des meilleurs démarrages français. 27,5 millions de streams depuis 10 jours sans marketing agressif : atteindre ce niveau si rapidement est un signe de fanbase solide et d’intérêt général du public.

Mais je vous l’avoue : Je n’aime pas le rap. Alors pourquoi cet article ?

Orelsan a eu 3 ans pour disséquer son public, l’analyser et lui délivrer un message construit à travers les textes riches de cet album. Derrière l’introspection (les thèmes sont fortement inspirés de son propre parcours, notamment sa paternité), l’artiste cherche à faire résonner son parcours avec celui de ses auditeurs. Alors j’ai lu ces textes ciselés, violents mais bien tournés parce qu’ils nous parlent de la France telle qu’elle est. Un paysage globalement sombre mais qui propose des pistes de reconstruction. Voyage musical vers une génération pommée qui devrait se recentrer sur les liens naturels, notamment ceux de la famille.

  • Le 1er signe de détresse saillant, c’est la solitude profonde, le manque d’amitié véritable, de confiance dans l’autre.

    « Seul au milieu d’huit milliards
    Je me sens comme si j’avais pas compris l’histoire
    J’ressens l’vide dans mon âme, gris dans mon âme
    J’veux pas d’clope, pas d’tise, j’veux pas parler
    Où qu’j’arrive, tout c’que j’vise, c’est m’en aller »

« J’me sens comme
Comme j’me sens mieux seul »

Tellement d’amis, j’ai juste envie d’être seul, seul
J’ai des amis depuis à l’école, depuis, j’peux dire qu’ils ont raté l’coche
Ils racontent que les mêmes anecdotes, de trucs qu’on a pu faire à l’époque
Pour eux, c’est stylé, pour moi, c’est glauque, ils veulent pas voir qu’ils sont passés d’mode
Je les appelle potes mais c’est pas mes potes parce que j’leur confierais pas mes gosses
J’ai des amis qui m’insultent et qui m’appellent dès qu’ils ont besoin d’un truc
J’ai des amis que j’appelle potes, c’est des collègues qu’en vrai, j’connais pas très bien
Et y a de fortes chances que si j’apprenais à les connaître un peu mieux, j’les aimerais moins

J’aimerais dire que j’les aime
Mais les amis, c’est que des problèmes
J’ai des amis pour le réseau quand y a plus de réseau, bah, y a plus d’amitié
J’ai des amis en ligne par milliers, ils m’connaissent pas et j’sais pas qui c’est
J’ai des potes opportunistes qui disparaîtront du jour au lendemain
J’ai des nouveaux amis qui débarquent un peu tout l’temps, qui seront toujours là quand j’en aurai jamais besoin

En fait, j’ai tellement d’amis que, souvent, j’ai juste envie d’être seul »

Une analyse au vitriol des amitiés superficielles, encouragé par la mobilité, les reseaux sociaux et l’individualisme matérialiste

  • 2eme signe de détresse saillant, l’insensibilité. L’individu prisonnier de sa solitude ne ressent plus aucune compassion

Et j’ai rien contre toi, c’est juste moi
Tout fait ni chaud, ni froid, j’me sens trop tiède
Comme si tout c’que j’touche, c’est CTRL-Z

J’me sens comme Froid, comme y a des gros trous dans le pull
Comme quand c’est tellement froid, ça brûle

Refrain : ça m’fait plus rien, ça m’fait plus rien, ça m’fait plus rien

En fait, quand j’avais genre douze treize ans
J’imaginais que j’serais un grand chanteur
Que j’aurais les cheveux longs, que j’serais sur scène
Ce qui est fou c’est que c’est arrivé
Et encore plus fou
C’est que ça me fait plus rien

J’suis loin, loin, loin, loin, loin de vous
Oublie-moi

J’envoie des signaux mais tu vois pas qu’j’fais semblant d’être intéressé
J’reste poli, trois minutes après, j’commence à oublier l’respect

  • 3eme signe de détresse, la perte de ressentit implique une perte de sens à la vie en elle-même. Le rappeur aborde crument les petits blancs qui miment les racailles, le néant de la vie professionnelle mais aussi personnelle et même morale (confusion du Bien et du Mal) :

« Vous êtes la pire génération, y a pas d’débat
Parce que vous avez pas d’idée, vous savez juste mal recycler

Marre de tous ces p’tits blancs qui parlent comme des cailles-ra

Qui r’deviennent des bobos végans dès qu’ils mangent une patate
Y a plus de fragiles que d’pigeons dans les rues d’Paname
Et ces bourges qui s’éclatent avec les thunes de papa
Qui vous crachent à la gueule pour garder leur lifestyle

« t’es d’vant l’ordi dans un bureau sordide, entre Evelyne et Monique […]

Ces cadres qui sucent des patrons qui veulent gruger la flat tax
Tous ces beauf sous Celio, sous Jack & Jones
En doudoune dégueulasse avec un p’tit sweat sur l’épaule
Quand j’vois vos styles, vos gueules, vous méritez d’être pauvres
Et quand j’vois les riches dépressifs, j’crois qu’j’préfère être pauvre

L’époque où t’avais encore des rêves est passée trop vite
Maintenant, tu travailles juste pour construire le rêve d’un autre type »

« Que votre vie soit la cata’, marre dе pas savoir pourquoi vous allez au travail
Tout ça pour enrichir un boss qu’a pas d’âme, pour qu’il puissе s’acheter du Loro Piana
Rajoute tous ces politiques véreux qui pensent qu’à grimper les échelons et c’qu’ils bouffent entre midi et deux
Ils parlent de société mais la seule chose qu’ils kiffent, c’est eux »

« J’cours pour esquiver mes problèmes (Ouais) mais j’tourne en rond donc ils reviennent
Tu peux spoil la série, j’vois l’écran, j’vois les images bouger
Mais y’a rien qui s’imprime, uh-huh
J’vois les lèvres bouger, mais en vrai j’écoute pas, Uh-huh
J’suis en train d’marcher, mais en vrai, j’vais nulle part, Uh-huh
Comme envie d’insulter des mères au hasard, Uh-huh
Comme si j’étais suivi par un grand cafard, Uh-huh

J’me sens comme

Il manque des pièces dans l’puzzle
Comme qu’est-ce qu’ils veulent ?
Comme aveuglé par deux phares
Et j’suis un chevreuil
Comme zéro, comme bulle
J’me sens comme néant, comme raté, comme nul
J’me sens comme
Comme si j’savais dire que putain
Comme si m’faire du mal ferait du bien
Mais ce que tu veux d’vant
Ça ne me fait plus rien
Comme si je n’étais pas un vrai humain

  • Cette solitude, cette insensibilité et cette perte de sens globale engendrent la dépression et le repli

– Vous êtes quoi ?
– Des perdants

Pourquoi vous en avez pas marre de faire un burn-out tous les trois mois ? De mentir quand on vous demande « ça va ? » ?

Ton fanclub, ça leur rappelle qu’ils ont peur de s’faire agresser

Et fais pas semblant d’aimer ta ville, elle est claquée
Elle est morte, c’est pour ça qu’on vous appelle « Caennais »
Elle est remplie d’ploucs que tu peux même pas saquer
Ouais, tu vas faire couler ta ville comme les Mbappé
Les Normands, ça dégage, la France, ça dégage
La vie saine, ça dégage, la conscience, ça dégage
Ta famille, ça dégage, OrelSan, ça dégage

  • 1ere Conséquence de ce repli : le manque de confiance, la peur de l’avenir, la fuite des responsabilités et de la transmission

Qu’est-ce qu’tu veux qu’je gère une autre life ?
J’ai purement et simplement peur d’être père
Imagine les nuits sans sommeil, imagine la fatigue nous séparer
Parait qu’à la première année, y a plus de chances de divorce
Imagine, j’fais d’mon mieux mais j’suis pas fait pour ça
Imagine c’est juste au d’ssus d’mes forces
Et-Et-Et si ça s’passe mal à l’école ?
Les enfants d’maintenant sont féroces
Imagine, il s’fait jamais d’potes
Il est seul et triste comme quand j’étais gosse
Même si passe l’enfance, y aura l’adolescence
Cette période où tu r’grettes ta naissance
J’veux pas r’vivre le sexe, l’alcool, les drogues, l’insolence
J’ai peur d’être un père absent
J’ai peur de faire les erreurs de nos parents, voire pire

  • 2eme conséquence de ce mal être et ce cette perte de sens : la fuite dans les paradis artificiels (substance ou numérique) avec la déchéance et la dépendance induite :

T’es foutu, on t’propulse dans l’monde des addictions
T’as voulu trop d’piment, maintenant, rien n’a plus d’goût
J’me réveille à midi, la tête en vrac, la bouche en feu
L’impression d’avoir passé la nuit dans un cendrier
La première chose que j’me dis, c’est « plus jamais »
La deuxième, c’est « vivement dix-huit heures pour qu’on recommence à les enquiller »
Dans mon salon, y a un mec que j’connais vite fait
Qui s’allume un truc d’une très mauvaise qualité
Donc j’lui demande si j’peux tirer
J’m’endors devant l’épisode, j’me lève à dix-huit heures, donc j’y vais
J’suis la définition d’être en roue libre
C’est même plus des mauvaises habitudes, c’est la routine
La tise, les clopes, la weed, les potes, les joints
J’dis qu’j’arrête comme j’veux, quatre ans plus tard, j’en suis toujours au même point
Les balcons, les terrasses, les bouteilles, les flasques
Y a toujours un mec défoncé qui me mate bizarre dans la glace
Nicotine, sous angine, dans les poumons, dans les veines
Et je continue d’répéter qu’ça m’aide à gérer mes problèmes

Ils ont tous le nez dans la blanche, c’est enneigé, faut mettre des chaînes

  • Cette fuite extrême va jusqu’au satanisme

Seduction, even abduction, addiction
Friction, fiction, or fact, neglect the pact with the devil
Rebels revel in the bubble of blissful ignorance, and that’s emotion
Look at me when I look at you, you only speak when spoken to
Only talk when I need you to, I’m gettin’ itchy like a cinema noir

Ouh, dans ses yeux, y a deux flammes
Pour une nuit, j’lui donne mon âme
Ouh, j’aimerais être son petit bouffon
Faire c’qu’elle veut quand elle claque des oigts-d

Ces Parisiens m’donnent envie d’recramer Notre-Dame

  • Les paradis artificels (alcool, drogues…) sont désormais complétées par une nouvelle menace inédite : le numérique

Tu dis qu’c’était avant, arrête de mentir
T’as pas gé-chan, non, c’est juste le produit
Au lieu de rouler, tu scrolles à l’infini
Devant des vidéos de notre ancienne vie
Tu te drogues autrement mais tu te drogues quand même

J’suis né sur Internet, j’mourrai sur Internet
J’fais l’argent d’Internet, j’suis la pute d’Internet
J’en peux plus d’vivre à travers c’putain d’Internet

Noyé dans les notif’, grandir dans les grosses villes

Et ces Français qui ont tellement pas d’life qu’ils regardent des émissions d’gens qui mangent ou qui cherchent des appart’

  • Cette critique du numérique s’accompagne d’une critique acerbe des médias : autocritique de l’auteur dans sa posture face aux caméras et du système médiatique plus généralement :

On sait pas si t’es woke, si t’es reac, si t’es d’gauche, si t’es droite

En interview, t’es qu’une merde qui fait que d’esquiver, hein
Tu parles pas des vrais sujets, t’oses rien critiquer
Parce que tout c’que tu veux, c’est vendre tes éditions limitées
T’es qu’un produit dérivé, t’es qu’une salope déguisée
Tes textes, c’est des idées toutes faites mal récitées
T’as pas d’engagement, pas d’honneur, pas d’conviction
T’es qu’une pute frigide qu’ose jamais prendre position

Baise ces, baise ces médias qui postent toutes les une seconde
Qu’ont pas compris la question mais t’imposent la réponse
Tous ces influenceurs woke qui nous donnent des l’çons

J’ai vu des millions d’voix faire n’importe quoi pour prendre une part de moi
Ils veulent tous rentrer dans nos crânes, essayer d’le hacker
Les médias, c’est Médusa : pour les détruire, faut pas les r’garder

Après ce tableau au vitriol, plus intéressant, l’auteur commence à rechercher des solutions pour survivre et grandir dans cet environnement nocif

Relève-toi et tombe, relève-toi, recommence, fais des modif’
Fuck devenir alcoolique, fuck rouler un autre spliff
Trouve l’amour, la motiv’, va chercher des autres kiffs
Chaque épreuve est juste un nouveau chapitre dans ton biopic
[Refrain]
Le monde, c’est c’que t’en fais (try hard)

Deviens meilleur
Essaie, perds, change, recommence

Et appel l’auditeur à se recentrer sur la famille

Quand on peut que subir, des fois, faut juste s’en aller
Goodbye, adieu les vieux potes toxiques, j’me casse
Goodbye, adieu mon pays, merci, goodbye
J’ai un enfant à élever, j’peux plus faire du surplace
J’ai plus d’temps à perdre dans vos problèmes de base
Goodbye, adieu les news dépressives, goodbye
J’ai une famille à aimer, faut qu’j’libère de l’espace
Mon cœur est limité, j’dois faire de la place

En fait, j’vais juste devenir c’que j’suis
J’ai toujours été ailleurs
Et j’serai plus jamais seul
Et j’aurai plus jamais peur

J’regardе son ventre et j’me rappelle que c’est un mini-miracle
Maintenant, un plus un font trois, on a fait mentir les maths
À l’échographie, j’vois sa tête et j’verse une petite larme
C’est l’plus beau film que j’ai vu et c’est qu’le début d’l’histoire

Faut qu’j’apprenne à bricoler, faut qu’j’prépare une belle chambre
D’ailleurs, y a trop d’trucs à faire et trop peu d’mois restants
Où s’trouve la liste de tout c’qu’un fait un père avant la naissance ?
J’me sens trop adolescent

Un jour, tu te sens comme étouffé par les liens du sang
Un jour, tu te rattrapes à ces mêmes liens parce qu’ils seront là tout le temps
Si l’passé s’efface jamais vraiment
C’est pour que les bons souvenirs aussi restent éternellement
Un passé toxique peut toujours ressurgir
C’est un rappel pour te dire « oublie jamais comment t’en sortir »
Oublie pas, je peux te pardonner même si j’oublie pas

C’est cool de vouloir vivre libre au milieu de nulle part jusqu’à c’que t’appelle à l’aide et personne peut t’entendre ni t’voir
J’navigue entre un gros bonheur et un gros stress
Dans un cocon, dans un nid, dans une forteresse
D’ailleurs, tout a déjà changé, ouais
Je vais avoir une grande responsabilité bientôt, ça m’effraie
Mais j’sais qu’j’me sens pas prêt juste parce que c’est vrai
C’est c’qui fait la beauté d’être parent
Enseigner, c’est apprendre, l’avenir, c’est aller d’l’avant
Maintenant, j’sais qu’quand il arrivera, j’écouterai plus la petite voix
Celle qui m’tire vers le bas, qui fait qu’t’y arrives pas
Celle qui prend la voix d’ton père, qui dit « t’iras nulle part »
Celle qui dit qu’t’es minable, qui dit « baise-la, quitte-la »

Maintenant, quand j’entends cette voix, j’imagine mon p’tit gars
J’sais qu’c’est plus seulement la mienne, mais aussi son histoire
J’sais qu’avant, j’étais tout seul, mais désormais, j’suis trois
Et qu’mon seul but, c’est d’mettre un sourire sur leur visage

En conclusion, un bel appel à la vie dans un environnement nocif, toxique et destructeur. Un appel à se recentrer et à se protéger des médias, des politiques, des substances en se concentrant sur des liens forts, proches et fidèles. J’espère que vous aussi, ces extraits de paroles vous auront aider à voyager dans la peau de cette génération en mal-être qui cherche son chemin malgré les repères brouillés.

Maintenant que vous m’avez lu je peux vous l’avouez, j’ai lu ces textes en long et en travers, mais je n’ai pas encore écouté l’album. Allez, je n’aime pas le rap, mais demain, je vais quand même essayer…

Christian le Gall

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine..

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité

LES DERNIERS ARTICLES

Culture, Culture & Patrimoine, Sociétal

La fuite en avant. Orelsan face au vide : voyage au cœur d’une génération perdue qui cherche encore un sens

International, Politique

« Un bateau pour Gaza » : Quand Thomas Guénolé fait son cinéma

Culture & Patrimoine, Patrimoine

A la découverte des Saints Bretons. Le 18 Novembre, c’est la Saint Maudez

International

Antifa dans l’ombre : le réseau numérique clandestin qui infiltre l’Europe

International, Sociétal

Fentanyl : en visite en Chine, le chef du FBI décroche accord de collaboration. Une leçon de diplomatie pour les Européens

Culture, Culture & Patrimoine, Sociétal

Les ingénieurs de la vie contre l’héritage du monde

Economie

Le dollar fragilisé : la monnaie américaine tombe à un plus bas historique dans les réserves mondiales

messe

Religion

Rome. Un retour discret de la messe traditionnelle sous le pontificat de Léon XIV ?

portugal

International

Portugal : quand l’idéologie de genre gangrène l’école publique et met en danger les enfants

Santé

Un nouveau syndrome toucherait 90 % des adultes américains : un signal d’alarme pour les pays occidentaux

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

A La Une, Culture, Culture & Patrimoine, Patrimoine

Irlande. La Banshee, entre mythe et réalité : l’éclairage du théologien Frédéric Kurzawa [Interview]

Découvrir l'article

Sociétal

Le dîner familial, dernier bastion de la civilisation ?

Découvrir l'article

A La Une, International

Témoignages de Bratislava, Slovaquie. « La France, on ne la reconnaît plus »

Découvrir l'article

Sociétal, Tribune libre

Le Canon Français, Jean-Eudes Gannat, le Jarl…quand les forts prospèrent et que la victimisation cesse, les faibles s’éteignent

Découvrir l'article

International, Sociétal

Royaume-Uni : Londres amorce une rupture historique avec l’industrie pornographique

Découvrir l'article

Sociétal

#MontronsLeReel. Montrer le réel n’est pas un crime, c’est un devoir [L’Agora]

Découvrir l'article

International

Portugal : Des centaines de participants au congrès Reconquista, malgré la censure et les pressions médiatiques

Découvrir l'article

Santé

Smartphones, ordinateurs, TV…Ce que le temps d’écran fait réellement à notre corps

Découvrir l'article

Santé, Sociétal

Médecine du genre : quand les grandes revues scientifiques refusent de corriger leurs erreurs

Découvrir l'article

Culture & Patrimoine, Histoire, Patrimoine

Révolution Braille : deux siècles d’une invention qui a changé la vie de millions de personnes

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky