Le président américain Donald Trump a signé, le 9 mai 2025, un décret instituant le « Projet Homecoming », un programme de départ volontaire destiné aux immigrés en situation irrégulière. L’initiative propose aux intéressés un vol gratuit vers leur pays d’origine, ainsi qu’une allocation de 1 000 dollars, à condition qu’ils quittent volontairement et définitivement les États-Unis.
D’importantes économies à la clef pour les USA
Les retours s’organisent via l’application fédérale « CBP Home », développée par l’administration pour simplifier les démarches. Une fois enregistrés, les candidats au départ peuvent se présenter à l’aéroport, avec ou sans document de voyage, bénéficier d’un accompagnement logistique, réserver leur billet et toucher leur prime de sortie. Le programme, selon la proclamation présidentielle, permettrait de réaliser d’importantes économies fiscales, l’expulsion forcée d’un immigré illégal coûtant en moyenne 17 121 dollars.
« Aujourd’hui, j’ai signé un décret pour lancer le tout premier programme de retour volontaire », a déclaré Donald Trump sur son réseau Truth Social. « Les migrants illégaux qui restent en Amérique s’exposent à des sanctions, y compris à une expulsion soudaine, dans un lieu et d’une manière uniquement à notre discrétion. » Le président a également précisé : « Si vous êtes vraiment bons, nous allons essayer de vous aider à revenir », sans détailler pour l’instant les conditions de ce retour éventuel.
Un plan qui mêle incitation et fermeté assumée
La Maison-Blanche affirme que ce dispositif offre une solution plus « digne » que les procédures classiques de détention et d’expulsion. Le ministère de la Sécurité intérieure (DHS) indique avoir déjà enregistré un premier retour volontaire, celui d’un migrant vivant à Chicago reparti au Honduras. D’autres départs sont attendus dans les semaines à venir.
Mais l’administration ne se limite pas à l’incitation. Le décret prévoit un renforcement massif des moyens de contrôle et d’exécution. Le DHS devra recruter ou mobiliser 20 000 agents supplémentaires issus des forces fédérales, locales ou contractuelles pour mener une « campagne intensive d’expulsion » à l’encontre des clandestins refusant le retour volontaire.
Des clandestins coûtant 150 milliards de dollars par an
Les sanctions prévues incluent : saisie des biens et des salaires, amendes lourdes, incarcération et expulsions sans préavis. La proclamation évoque aussi « un fardeau fiscal énorme pour les contribuables », avec un coût annuel estimé à plus de 150 milliards de dollars lié à la prise en charge des clandestins (santé, logement, éducation, sécurité, etc.).
L’administration Trump entend ainsi rétablir la souveraineté migratoire et soulager les finances publiques. « Quitter volontairement avec notre aide, ou rester et faire face aux conséquences », résume la proclamation présidentielle. Pour l’exécutif, le choix est désormais posé clairement à chaque clandestin présent sur le sol américain.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
3 réponses à “États-Unis. Projet de « retour volontaire » : Donald Trump met la pression sur les immigrés illégaux [Vidéo]”
C’est une mesure pragmatique. Vu le coût d’une expulsion forcée, la remplacer par un départ volontaire pour dix fois moins cher serait évidemment une très bonne affaire… Mille dollars, ce n’est pas beaucoup. Cela ne peut tenter que des migrants qui ont vraiment raté leur coup, et qui pourront dire chez eux : « L’immigration, ça n’est pas bon, n’y allez pas ». Ce serait peut-être le résultat le plus désirable de cette méthode.
Question coût, Nantes Métropole a lancé l’an dernier un plan par lequel elle comptait déplacer jusqu’à un millier de Roms d’un camp inorganisé (Prairie de Mauves) vers des camps organisés pour un coût pouvant atteindre 80 millions d’euros sur quatre ans. Ainsi, le déménagement à l’amiable d’un squatter d’un terrain vers un terrain voisin coûterait 80.000 euros par personne à Nantes alors que l’expulsion d’un clandestin vers un pays étranger coûterait 17.121 dollars (environ 15.200 euros) aux Etats-Unis ?
Ok avec Pschitt : pour de détendre, je propose cinq minutes et demie d’écoute du groupe Supertramp – Goodbye Stranger et ce, en ignorant la pub ( lyrics video ) ; https://www.youtube.com/watch?v=D14fC8WQ9hc
D’une part, chez nous à l’Élysée, nous n’avons pas Trump, c’est à dire un personnage de caractère, qui n’a de vision politique que le bien de son pays et de ses habitants, et qui fait toujours ce qu’il dit.
Or, nous en France, nous n’avons rien de tout cela.
A l’Élysée c’est « un homme » (Avec toutes les consonnances humaines que cela relève) qui ne pense qu’à son crédo et la marque qu’il laissera dans l’Histoire. De la France, il s’en fout. Et aussitot son départ de l’Élysée, il s’établira aux USA, pays beaucoup moins regardant quant aux gènes et préférences sexuelles de chacun.
Alors la peur m’envahit lorsque je réalise que dans deux ans, une analyse de la situation de la France ne decouvre le desastre naturel par lequel s’engouffrent des humains d’une tout autre race, d’une tout autre religion, d’une éducation qui n’a rien à voir avec la nôtre, mais qui en revanche, par voie de conséquence et de très forte natalité, seront majoritaires dans Notre Patrie et nous imposerons leurs Lois et leur système de vie.