Samuel Furfari : « Les COP n’ont pas pour vocation de sauver la planète, mais de contrôler nos vies » [Interview]

À l’occasion de la tenue de la COP30 au Brésil, Samuel Furfari publie La vérité sur les COP (Éditions L’Artilleur), un ouvrage-vérité nourri de trente années d’observation directe des négociations climatiques mondiales. Ancien haut responsable de la direction de l’énergie à la Commission européenne, il a participé à la plupart des COP depuis la première en 1995 et dévoile, dans ce livre, la réalité de ce qu’il qualifie de « rituels climatiques » déconnectés des résultats concrets.

Dans cette interview, il revient sur les scènes emblématiques qui ont révélé, selon lui, la véritable nature de ces conférences, leurs fondements idéologiques, leurs dérives bureaucratiques et l’impasse d’un processus qui, malgré trois décennies de déclarations, a vu les émissions mondiales de CO₂ augmenter de 65 %.

Furfari décrit la montée en puissance des activistes, l’influence déterminante d’un néo-malthusianisme qu’il juge assumé, et l’isolement croissant de l’Union européenne sur la scène énergétique mondiale. Il raconte également comment les pays émergents, en quête de croissance, ont progressivement rejeté ce qu’ils perçoivent comme un « colonialisme vert ».

En pleine COP de Belém, son livre apparaît comme une charge documentée contre une mécanique institutionnelle qu’il estime incapable de réduire les émissions, mais très efficace pour contraindre les sociétés occidentales. Interview à lire et à diffuser massivement !

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Breizh-info.com : Vous avez suivi les COP depuis l’intérieur, depuis la première en 1995. Quelle scène, quel moment, vous a le plus marqué et dit le plus sur la nature réelle de ces conférences !

Samuel Furfari : Je garde un souvenir très précis d’un moment survenu pendant la COP 2, au Palais des Nations de Genève. Contrairement aux conférences climatiques suivantes, plus médiatisées, celle-ci n’a guère laissé de traces dans la mémoire collective. Mais pour moi, elle a marqué un point de bascule intellectuel.

La conférence se déroulait dans le grand hémicycle, où les interventions s’enchaînaient dans un style formel, parfois convenu. Et puis un homme se lève : Daniel L. Spiegel, ambassadeur permanent des États-Unis auprès de l’Office des Nations unies à Genève, qui représentait à l’époque l’administration Clinton. Ce qu’il dit alors, avec calme mais détermination, m’a profondément marqué. Il déclara devant toute l’assemblée : « Vous n’allez pas décider de la taille des réfrigérateurs des citoyens américains. » Cette phrase, loin d’être une pique ou un trait d’humour, fut prononcée avec tout le sérieux d’un diplomate démocrate expérimenté. Et elle tomba comme une évidence.

En une phrase, Spiegel mettait le doigt sur un non-dit fondamental de ces négociations climatiques : la mise en œuvre de politiques globales sur le climat implique, à un moment ou à un autre, d’interférer avec des éléments concrets du quotidien des citoyens, jusqu’à réguler leurs équipements, leurs habitudes de consommation, leur accès à l’énergie… et, symboliquement ici, leurs réfrigérateurs.

Comme le dit Richard Lindzen, grand spécialiste de la physique de l’atmosphère : « Si vous contrôlez le carbone, vous contrôlez la vie. » J’ai compris que les COP n’ont pas pour vocation de sauver la planète, mais d’empêcher la croissance en contrôlant notre vie.

Breizh-info.com : Lorsque vous étiez en charge du dossier énergie-climat à Bruxelles, aviez-vous déjà le sentiment que la machine COP échappait à tout contrôle ?

Samuel Furfari : Cela a pris du temps, car qui veut s’opposer à la protection de l’environnement ? Pas moi, en tout cas ; c’est d’ailleurs pour cela que j’avais été nommé à ce poste. Ce n’est que lorsque j’ai vu les activistes du climat prendre le contrôle des politiques climatiques, et pas seulement les COP, que j’ai ouvert les yeux et que j’ai commencé à chercher pour comprendre. Ce fut un choc, car j’avais développé nombre de politiques et mesures pour lutter contre les émissions, promouvoir l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables. J’ai appliqué dans l’UE le concept qu’avait pensé le philosophe protestant Jacques Ellul, ― penser globalement et agir localement ― en lançant des agences locales de maitrise de l’énergie.

Breizh-info.com : Regarder les COP comme des rituels quasi religieux — est-ce une exagération ou un constat ?

Samuel Furfari : Votre question me fait penser au rituel de Noël : la crèche est remplacée par un bonhomme bedonnant vêtu de rouge. C’est Noël, mais beaucoup ne savent même plus, ou vaguement, ce que cela représente. Pour les COP, c’est la même chose : « c’est la COP », et l’an prochain on revient, « c’est la COP ». Au début, seuls les préposés au dossier s’en occupaient, mais progressivement ce que vous appelez le rituel s’est imposé grâce au matraquage des médias et aux politiciens qui aiment se montrer sur la photo de la COP. Les gens ne savent même pas de quoi il s’agit, mais « c’est la COP ».

Breizh-info.com : Vous décrivez une dimension néo-malthusienne très forte dans l’origine idéologique du processus. Est-ce encore la matrice aujourd’hui ?

Samuel Furfari : La matrice des COP, de la politique climatique, c’est le Club de Rome qui, en 1972, a publié « Halte à la croissance ? » (le rapport Meadows) expliquant, à l’aide de modèles, que nous allons manquer de ressources et qu’« on ne peut pas continuer comme ça ». C’est de là que découle le Sommet de la Terre à Rio en 1992, qui a adopté la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique.

Mais derrière le « halte à la croissance », oui, se cache le malthusianisme, la théorie selon laquelle la Terre ne peut pas supporter la population actuelle et qu’il faut la réduire. Dans mon livre « » Écologie, assaut contre la société occidentale », je montre comment cette théorie a influencé des penseurs, au point de convaincre des femmes, mais aussi des hommes, de ne plus avoir d’enfants, ou comment le gouvernement de Gordon Brown avait inscrit dans le budget du Royaume-Uni une ligne de la politique climatique destinée à soudoyer les femmes indiennes pour qu’elles se fassent stériliser, heureusement de manière volontaire.

Décarbonation, climatisme, décroissance : tout doit concourir au malthusianisme mortifère.

Breizh-info.com : Que répondez-vous à ceux qui affirment encore que les COP ont « fait progresser la cause climatique » ?

Samuel Furfari : Depuis la COP zéro (c’est ainsi que je désigne également la conférence de Rio), les émissions mondiales de CO₂ ont augmenté de 65 %. Il faut répéter ce chiffre, tellement il est extraordinaire et occulté : 65 % d’augmentation depuis que nous nous sommes engagés à réduire. Depuis l’Accord de Paris de 2015, elles ont augmenté de 8 %, car il y a eu la période du Covid qui a interrompu la croissance mondiale ; autrement, elles auraient augmenté de 15 %. Dans mon livre, le chapitre consacré à l’accord de Paris s’intitule « Le désaccord de Paris », car il n’y a rien qui puisse faire baisser les émissions, puisque tout repose sur la bonne volonté ; seules les contraintes bureaucratiques sont… obligatoires. Il est plus que temps d’abandonner ce désaccord.

Vous connaissez l’expression « crier au loup ». Les activistes ne cessent de parler de catastrophe et d’impacts du changement climatique. Ce sont des mots qui ne reposent pas sur des faits. D’ailleurs, le rapport Annexe I du GIEC ne parle pas en ces termes. Ce sont les activistes et les journalistes idéologues qui ont inventé ces impacts.

Pour ne pas me faire critiquer au-delà de la bienséance, personne ne nie qu’il y a eu une augmentation de la température moyenne de la Terre de 1,5 °C depuis la révolution industrielle. Mais c’est un autre débat ; je me cantonne aux échecs des COP — c’est déjà suffisant pour se faire agresser.

Breizh-info.com : Pourquoi l’Union européenne est-elle le seul bloc à appliquer réellement les objectifs annoncés, au prix de son industrie ?

Samuel Furfari : Au début, elle n’était pas seule. Il y a eu 196 adhérents à la conférence de Rio. Mais avec le temps, beaucoup ont compris que ce qui était en jeu, ce n’est pas quelques dixièmes de degré centigrade, mais l’arrêt de la croissance. Là, ils n’ont plus suivi Bruxelles-Strasbourg, qui se retrouve seule avec les activistes.

Je voudrais souligner que Donald Trump a permis à certains de parler plus librement de cette arnaque, mais le pot aux roses avait été démasqué bien avant lui ; il y a des années que j’en parle et me fais agresser.

Dans mon livre, j’explique comment les pays d’Afrique et du Moyen-Orient ont compris qu’ils devaient se méfier de l’UE. C’est la raison pour laquelle les COP de Charm el-Cheikh, Dubaï et Bakou ont été des échecs retentissants pour les activistes climatiques et l’UE.

L’arrivée du duo von der Leyen-Timmermans a exacerbé la situation avec l’adoption de l’infâme Pacte vert. Le rapport de Mario Draghi, en septembre de l’an dernier, a expliqué que la perte de compétitivité de l’UE est due à la politique énergétique donc à la décarbonation, mais la Commission européenne s’entête et les États membres — tétanisés par la peur des critiques des activistes — ont même adopté, le 6 novembre, l’engagement de réduire de 90 % les émissions européennes d’ici 2040 — demain. Il n’y a aucune nouvelle technologie, aucune nouvelle politique à mettre en œuvre ; simplement faire plus de ce qui a détruit notre compétitivité et poussé les industries à délocaliser. Le suicide économique se poursuit.

J’insiste : la Commission européenne n’est pas la seule responsable ; cet objectif a été adopté parce qu’une majorité qualifiée d’États membres, dont la France, a voté en faveur de cette folie. Seule la Hongrie a voté contre. Vous comprenez pourquoi les relations sont si tendues entre Viktor Orbán et Ursula von der Leyen.

Breizh-info.com : Vous dites que les politiques européennes ne changent rien aux émissions globales. Pourquoi persister ?

Samuel Furfari : En dehors de l’UE, les États ne se sabordent pas. Ils veulent de la croissance, et ils la veulent forte. Beaucoup doivent enfin apporter du bien-être à des populations démunies. Il n’y a qu’une solution : consommer de l’énergie. Ils le font et le feront de plus en plus.
Or, 87 % de l’énergie utilisée dans le monde est d’origine fossile et émet donc du CO₂. Les éoliennes et les panneaux solaires photovoltaïques ne représentent que 3 % de la consommation d’énergie primaire. Ne vous laissez pas tromper par les chiffres plus élevés qu’on vous assène : il s’agit de pourcentages dans l’électricité. Ces chiffres sont exacts, mais trompeurs, car l’électricité n’est qu’une partie de l’énergie. J’explique tout cela dans mon livre « Énergie, mensonges d’État. La destruction organisée de la compétitivité de l’UE ».

Breizh-info.com : Quel rôle concret jouent les grandes ONG environnementales dans les négociations ?

Samuel Furfari : Elles ont mené les négociations durant vingt-cinq ans. Avec des délégations pléthoriques, elles ont tout contrôlé. Jusqu’à la COP des coucous — c’est ainsi que j’appelle celles mentionnées plus haut, surtout celle de Bakou —, lorsque ceux qui veulent de la croissance ont pris leur place dans le nid douillet qu’elles s’étaient construit durant un quart de siècle. C’est fini. Elles ont perdu, mais les médias publics cachent ce fait.

Breizh-info.com : Peut-on encore parler d’indépendance politique lorsque certaines de ces ONG sont désormais intégrées aux cabinets ministériels ?

Samuel Furfari : Ah ! Je vois que vous êtes bien informée. Oui, ils ont phagocyté les postes de décision pour imposer leur idéologie. Le cas le plus choquant est celui du chef de cabinet du premier vice-président de la Commission précédente, Frans Timmermans. Diederik Samsom était membre de Greenpeace, et c’est lui, qui depuis le Berlaymont1 a écrit le Pacte vert de l’UE.

Breizh-info.com : Les pays du Sud, notamment africains, rejettent ouvertement ce qu’ils appellent le « colonialisme vert ». Comment en est-on arrivé là ?

Samuel Furfari : C’est une question intéressante. Pendant des années, on a tenté d’entraîner les pays africains dans ce cirque. J’explique comment, à la COP 15, l’UE est venue avec un porte-monnaie de 7,2 milliards d’euros pour amadouer les Africains, mais, en pleine COP, ExxonMobil a ouvert son carnet de chèques pour acheter, pour 41 milliards de dollars, XTO Energy, une compagnie pétrolière pratiquement inconnue, parce qu’elle maitrisait la technologie et possédait des gisements de gaz de schiste.

Depuis la COP 27, les Africains ont fait savoir qu’ils veulent assurer leur sécurité d’approvisionnement énergétique pour croître. D’ailleurs, ils ont compris que l’argent qu’on leur promet depuis des années n’arrivera pas, ou trop peu. Alors, pourquoi se saborder comme l’UE ?

Les dirigeants africains le disent désormais ouvertement : « Nous avons besoin de charbon, de pétrole et de gaz pour électrifier nos villes, développer nos industries et nourrir nos populations. » Qu’il s’agisse de Muhammadu Buhari au Nigeria, de Mohamed Bazoum au Niger ou de Nana Akufo-Addo au Ghana, tous défendent le droit souverain de leur pays à exploiter leurs ressources naturelles, y compris fossiles, pour assurer leur développement. La décarbonation, c’est pour l’UE, pas pour l’Afrique. Les émissions mondiales de CO₂ continueront donc de croître.

Breizh-info.com : Les dernières COP ont été organisées dans trois pays producteurs d’hydrocarbures. Est-ce un hasard ou un signal très clair ? L’Inde et la Chine, très dépendantes du charbon, ont-elles définitivement ringardisé le modèle européen ?

Samuel Furfari : Les activistes et des députés européens s’y sont opposés, mais elles ont bien eu lieu là où la richesse découle du pétrole et du gaz. Notez aussi que la Pologne, championne de la production de houille dans l’UE, a organisé trois COP. Lors de la COP de Varsovie en 2013, les Polonais ont, en parallèle, organisé une conférence internationale sur la croissance de la demande de charbon.
Quant à la Chine et à l’Inde, oui, lors de la COP de Glasgow, ils ont mis un halte-là au duo Frans Timmermans–Boris Johnson qui a tenté d’imposer la réduction de la consommation de charbon. Ces deux écologistes sont à présent décrédibilisés et hors course — mais pas le charbon.

Je ne souhaite pas alourdir cette interview, mais je peux vous assurer que mes affirmations sont documentées et étayées par des données fiables, issues de mes recherches et de mes écrits.

Breizh-info.com : Le Brésil peut-il jouer les deux rôles : champion écologique d’un côté, grand producteur de pétrole de l’autre ? Qu’attendez-vous réellement de cette COP au Brésil ?

Samuel Furfari : À l’instar de François Hollande lors de la COP de Paris, le président Luiz Inácio Lula da Silva, dans des accents lyriques, vocifère à propos de la catastrophe qui arrive parce que nous ne réduisons pas nos émissions mondiales de CO₂, mais en même temps, il autorise l’exploration de pétrole et de gaz dans la « marge équatoriale », cet espace maritime au large de l’Amazonie. L’entreprise nationale Petrobras, qui se développe et gagne de l’argent grâce à la production dans le bassin de Santos, a publié un bénéfice net de 6 milliards de dollars pour le troisième trimestre de l’année, en légère hausse par rapport aux 5,9 milliards de dollars enregistrés à la même période en 2024.
Et ce n’est qu’un début. Le grand Stefan Zweig avait qualifié le Brésil de « pays d’avenir ». Il l’est assurément, et il veut même « nourrir le monde ». C’est possible. Mais pour cela, il faut de l’énergie, beaucoup d’énergie fossile, ce qui va faire exploser les émissions de CO₂.

Breizh-info.com : Le discours apocalyptique — glaciers, îles englouties, cataclysmes — est-il un outil politique ou une croyance sincère des dirigeants ?

Samuel Furfari : C’est fini. Les gens ne croient plus ceux qui crient « au loup ». Ils ont tellement exagéré qu’on ne les prend plus au sérieux. Le monde veut de la croissance, de la prospérité, de l’emploi et un prix bas de l’électricité.
On a trompé le public en faisant croire que le prix de l’électricité avait explosé à cause de la guerre en Ukraine ; c’est faux. Le prix de l’électricité dans l’UE a augmenté à partir de 2010, en raison de la directive « Énergies renouvelables » 2009/28/CE, publiée le 23 avril 2009, qui oblige à produire des énergies renouvelables et à donner la priorité à la distribution de cette électricité coûteuse. L’impact de la guerre en Ukraine est dû à l’explosion du prix du gaz en Allemagne, qui a ostensiblement refusé pendant deux décennies de se doter d’un terminal de gaz naturel liquide afin de diversifier son approvisionnement russe. Il est urgent que le monde politique européen sorte de sa pusillanimité verte.

Breizh-info.com : Pensez-vous que l’opinion occidentale commence à décrocher du récit climatique tel qu’il est présenté depuis 30 ans ?

Samuel Furfari : Si j’avais écrit mon livre lors de la COP26, personne ne s’y serait intéressé. Trente, c’est autre chose. Ça marque les esprits. Cela fait trente ans qu’on crie au loup, et les émissions augmentent de 65 % ! Je le vois au succès de mon livre, qui libère la parole que les activistes avaient réussi à étouffer depuis 1992.

Les gens sont frappés de plein fouet dans leur pouvoir d’achat et observent la forte croissance industrielle ailleurs, tandis que des activistes et des politiciens de tous les partis plaident pour la décroissance et la mise en œuvre du Pacte vert. Les citoyens ont compris l’arnaque.
Lorsqu’ils réaliseront que les centaines de milliards ne sont pas perdus pour tout le monde, ils se rebelleront. Mais je suis convaincu que les politiques mettront fin à cette mascarade ; ils savent qu’ils ne peuvent pas continuer. Évidemment, il faudra attendre un changement de leadership, mais cela finira par arriver. Tout cela a été porté par des responsables politiques, soit idéologues, soit pusillanimes, pour ne pas passer pour des non-écologistes. Aujourd’hui, les échecs évidents de la décarbonation de la Commission et de la COP30 devraient inciter ces responsables à se manifester plus ouvertement.

L’échec de la COP 30 est une bonne excuse pour dire que ça suffit. On ne va quand même pas attendre la COP 99 pour arrêter, non ?

Propos recueillis par YV

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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