Dans un communiqué d’une rare fermeté, le département d’État américain a adressé un avertissement direct aux pays d’Europe occidentale : l’immigration de masse n’est plus seulement un défi politique, mais un risque civilisationnel. Pour la diplomatie américaine, les sociétés européennes subissent déjà les effets d’une politique migratoire incontrôlée, allant de la montée des violences à l’installation de véritables systèmes judiciaires à deux vitesses.
Ce message, relayé publiquement par les services du président Donald Trump, vise explicitement les gouvernements européens ayant adopté des politiques d’accueil jugées laxistes. Le ton est clair : Washington suivra désormais de près les décisions, les dérives judiciaires et les politiques qui pénalisent les citoyens osant critiquer l’immigration.
Les États-Unis dénoncent les « deux poids deux mesures » en Europe
Selon le département d’État, de nombreux pays européens ont mis en place, volontairement ou non, un système de traitement judiciaire plus clément pour les délinquants d’origine migratoire que pour les citoyens autochtones.
Parmi les exemples cités :
• Royaume-Uni : les gangs d’exploitation sexuelle d’origine pakistanaise
Washington rappelle que, pendant des années, des milliers de jeunes filles blanches issues des classes populaires ont été victimes de réseaux d’exploitation, tandis que les autorités locales fermaient les yeux par peur d’être accusées de racisme.
Une admission que le gouvernement travailliste britannique a dû reconnaître publiquement en 2025.
• Allemagne : des violeurs traités comme des mineurs, leur contradictrice emprisonnée
Un tribunal de Hambourg a infligé des peines légères à des agresseurs sexuels – majoritairement issus de l’immigration – tout en condamnant à la prison une femme qui avait insulté l’un d’entre eux après les faits.
Un exemple typique, selon Washington, d’une société où la parole du citoyen outré est plus sanctionnée que la violence des criminels.
• Suède : un violeur érythréen non expulsé « en raison de son statut de réfugié »
Les autorités suédoises ont jugé qu’un viol commis sur une mineure ne constituait pas un motif suffisant pour expulser son auteur, arrivé comme mineur isolé. Pour les États-Unis, ces décisions illustrent un « risque systémique » : des États européens incapables de faire primer la protection de leur population sur l’idéologie migratoire.
Imigration de masse : le diagnostic américain est sans ambiguïté
Le département d’État parle d’exode massif, évoquant :
- des vagues de criminalité liées à l’immigration incontrôlée,
- des attentats,
- des violences sexuelles,
- des quartiers entiers transformés,
- des communautés autochtones déplacées,
- et un climat de peur empêchant les victimes ou témoins de s’exprimer librement.
Selon Washington, il s’agit désormais d’un enjeu de droits humains, non pas pour les migrants, mais pour les Européens eux-mêmes, menacés par une politique qui les a rendus minoritaires sur leur propre sol dans certains territoires.
Dans un geste inhabituel, les États-Unis ont indiqué que leurs ambassades européennes devront :
- documenter les crimes commis par des migrants ou descendants de migrants,
- signaler les cas où des citoyens sont sanctionnés pour avoir dénoncé ces dérives,
- surveiller les politiques migratoires locales,
- et rapporter toute forme de traitement préférentiel en faveur des étrangers.
Un message clair : Washington s’intéresse à la manière dont ses alliés protègent – ou non – leurs propres populations.
Au début du mois, Donald Trump avait averti Londres : « Si vous ne reprenez pas le contrôle de l’immigration, vous n’aurez bientôt plus de pays. »
Un avertissement que certains pays d’Europe occidentale préfèrent ignorer, alors même que leurs opinions publiques sont de plus en plus inquiètes.
Ce positionnement marque un tournant :; pour la première fois, un gouvernement occidental accuse ouvertement l’immigration massive de mettre en péril la survie d’une civilisation entière.
Reste à savoir si les capitales européennes accepteront de regarder en face ce que les États-Unis qualifient désormais d’« urgence civilisationnelle ». Les peuples, eux, ont déjà commencé à le faire.
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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