
Journée internationale des droits de la femme : la valse de l’hypocrisie et de la médiocrité
Je n’irai pas par quatre chemins : j’abhorre la “journée internationale des droits de la femme”. L’époque étant aux vierges effarouchées et à la sensiblerie à fleur de peau, je me doute bien que cette affirmation entraînera son lot de réactions outrées, et de commentaires “il est intolérable qu’on puisse penser ça en 2023“, et je risque probablement quelque bannissement