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Italie. Un Népalais arrêté : « Je ne savais pas qu’en Italie, on ne pouvait pas frapper sa femme »

L’immigration massive pose de très nombreux problèmes en Europe. L’explosion des phénomènes migratoires a connu en même temps une recrudescence de la délinquance et de la violence, dans le pays d’accueil, quel qu’il soit. Les étrangers arrivant en France, ou autre pays européen, n’ont pas la même culture que le pays d’accueil : leurs mœurs, leurs traditions, leurs mentalités sont très différentes voire même opposées aux civilisations européennes. Les différences sont particulièrement marquantes, par exemple, dans les questions liées à la famille, la place de l’homme et de la femme dans la société, la sexualité.

La Suède, 4ème pays accueillant le plus de migrants, a connu une explosion du nombre de viols sur son territoire : 400% en 20 ans. Face ce problème extrêmement grave, le pays avait mis en place un système d’information et d’éducation concernant la « sexualité à l’européenne ». Un simple contournement d’obstacle et n’a pas changé grand-chose à la situation particulièrement critique.

En Angleterre, des « gangs de violeurs » (rape gang) issus du sous-continent indien (Inde, Pakistan, Bangladesh) ont sévi pendant des décennies, protégés par le laxisme judiciaire qui persiste et le refus de la police de prendre en compte les plaintes des victimes – très souvent de jeunes filles blanches issues de milieux défavorisés – pour ne pas être accusés de racisme. Le problème des gangs de violeurs musulmans est aussi connu, dans une moindre mesure, sur la côte est des Etats-Unis.

En Italie, un cas vient encore confirmer ce choc de culture. Un migrant népalais de 44 ans habitant à Padoue a été arrêté pour violences conjugales. Pour se défendre devant le juge, il a expliqué : « Je ne savais pas qu’en Italie, on ne peut pas frapper sa femme ». Les faits remontent au 8 mars dernier, la date de la journée des droits de la femme : l’homme a battu sa femme âgée de 26 ans, lui assénant au moins 5 coups sur le dos avec une paire de chaussures de sécurité. Un voisin, qui avait entendu les hurlements de la jeune femme, a évité le pire en appelant la police. Les agents accourus sur les lieux, ont bloqué le migrant qui a été mis en examen pour violence conjugale – mais il est resté en liberté. Transportée aux urgences, la jeune femme a eu 15 jours d’arrêt de travail.

Surtout ne pas choquer la sacro-sainte « bien-pensance »

Un second épisode a eu lieu le 11 juin dernier : de nouveau frappée, la jeune femme a été obligée de fuir avec sa fille de 11 mois dans les bras. La police est aussi intervenue ce jour-là. Cette fois, tout de même, le mandat d’arrêt a été prononcé et le migrant incarcéré dans la prison de Padoue, pendant que la mère et la fille ont été mises en lieu sûr. Toutefois, la jeune femme a essayé de se rétracter, et a affirmé s’être blessée seule. Le procureur a soumis la victime à un examen psychiatrique, qui a établi que la jeune femme était soumise à son mari et ne pouvait donc témoigner. Le Népalais, actuellement en résidence surveillée, a donc été présenté au tribunal. Devant le juge, il a fondu en larmes, et affirmé : « Je ne savais pas qu’en Italie, on ne peut pas frapper sa femme. Dans mon pays, les mariages sont arrangés par les parents des mariés ».  

Mais évidemment dans ces cas, féministes, « droit-de-l’hommistes », associations de luttes contre les viols conjugaux et autres collectifs d’aide aux femmes battues préfèrent se taire ! La chasse au mâle blanc [soi-disant dominant] est moins risquée. En Europe, les migrants violent, battent, tuent femmes, jeunes filles, fillettes, mais personne ne dit rien pour ne pas choquer la sacro-sainte « bien-pensance  ».

Traduction : Hélène Lechat

Source : Il Primato Nazionale (4 octobre 2018)

Crédit photo : Pixabay (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2018, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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