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Bien avant le Covid-19. Comment l’Europe a-t-elle fait face à la Peste noire ?

Il est utile de rappeler d’abord ce que fut la Peste Noire. Une épidémie d’ampleur colossale qui toucha une grande partie du monde habité (l’Inde et la Chine dès 1342) et qui frappa l’Europe à partir de 1347/1348, pendant un siècle et demi, au rythme de vagues revenant tous les 8 à 10 ans, en 1360-1362, 1368-1370, 1375-1378, 1380-1383 etc. Elle ne disparut que vers 1480.

Décès d’entre 1/4 et 1/3 de la population européenne 

L’Italie fut la première touchée à la suite du débarquement à Messine en octobre 1347 de navires génois ayant fui le comptoir de Caffa en Crimée, assiégé par les Mongols. Ceux-ci avaient catapulté par-dessus les remparts des cadavres de pestiférés. L’épidémie est bien née en somme d’une guerre bactériologique. Marseille est frappée en décembre et le bacille va ensuite se répandre comme une traînée de poudre. Paris est frappée en juin 1348, le saint Empire, l’Ecosse et la Scandinavie en 1349.

La Peste suit les hommes le long des routes maritimes et terrestres, sans faire de pause : le nombre des victimes augmente de jour en jour, notamment dans les zones urbaines et au sein de tous les groupements humains (monastères…). Fort bien décrite par les contemporains (le médecin Guy de Chauliac – qui se guérit en incisant ses propres bubons ! –, les écrivains Boccace ou Jean de Venette) la maladie revêt deux formes : pulmonaire (fièvre, crachements de sang), avec un taux de létalité de 100% et une mort en 3 ou 4 jours maximum ; bubonique (gonflement des ganglions lymphatiques, apparition de plaques noires, convulsions incoercibles, vomissements : les corps sont secoués et disloqués), avec 75% de taux de létalité au bout de 3 à 4 semaines d’infection. A l’origine le bacille est inoculé par les piqures de puces, mais très vite la maladie se transmet d’individu à individu. Chacun est un danger mortel pour autrui. La Peste est une maladie imparable, effrayante par ses symptômes et son pronostic vital. Elle a d’autant plus frappé les populations européennes que celles-ci étaient sous alimentées, vivaient dans une hygiène déplorable. Les rats pullulent, or, sans eux, la peste n’aurait pu persister. On remarque d’ailleurs qu’il n’y a pas eu de Camus médiéval : les textes contemporains ne mentionnent pas les rats, ne les relient jamais à l’épidémie. Dans les villes, les ordures sont rarement ramassées et elles s’entassent au pied des maisons. Les toilettes sont souvent installées au coin de la rue, dans les recoins des cages d’escalier et les fosses d’aisance ne sont curées que lorsqu’elles débordent. Elles s’évacuent par infiltration dans le sol, ce qui propage les infections. La promiscuité familiale ne peut qu’aggraver les choses : on dort sur la même paillasse ou dans le même lit et les maladies contagieuses se répandent à toute allure. On ignore nos fameux « gestes barrière »…

Tout cela explique que le choc démographique fut colossal : entre ¼ et 1/3 de la population européenne périt. Le registre paroissial de Givry en Bourgogne (1800 habitants) consignait environ quinze décès en 1347, 750 l’année suivante. En Angleterre tombe de plus de 3 millions d’habitants en 1340 à 2 Millions en 1400 ; l’Empire aurait perdu 25% de ses habitants dans le même laps de temps, la France sans doute le tiers. A Brême les pertes s’élevèrent à 70% des habitants, à Aix ou Toulouse 50%, etc. Les vagues de 1348, 1360, 1418-1422, 1437-1439 furent particulièrement brutales. Les retours répétés de la maladie provoquent des chocs terribles : les « classes creuses » rescapées des alertes précédentes sont frappées de plein fouet et le déficit des naissances s’aggrave. La maladie devient l’unique régulateur de l’évolution démographique. Les générations ne sont plus remplacées. L’épidémie est une niveleuse universelle : elle touche les villes comme les campagnes, toutes les classes d’âge, toutes les couches sociales. Telle ville qui, comme Milan en 1348, échappe à la maladie, est frappée de plein fouet douze ans plus tard.

Lorsque la pandémie arrive et s’installe, souvent pour plusieurs mois d’affilée, avant que la mortalité effroyable ne constitue un blocage, toute la société est ébranlée. Les structures sociales et les normes morales se désintègrent. On constate une dissolution des liens familiaux, l’extinction biologique de nombreuses familles. Ne demeurent souvent que des individus isolés. Le lien social est par endroits totalement anéanti. Les marques d’affection, le souci de l’entraide disparaissent : les liens familiaux sont supplantés par des impératifs de survie. Le médecin Guy de Chauliac au milieu du 14e siècle a cette formule superbe : « Le père ne visitait pas son fils, ni le fils son père : la charité était morte et l’espérance abattue ». Au delà de la famille charnelle, les “familiers”, les domestiques, voisins, amis, relations sont touchés. La Peste Noire fait qu’on hésite à se parler, elle rend impossible la communication verbale entre les hommes et détruit donc une des caractéristiques sociales de l’Humanité. Toute convivialité disparaît ; les tavernes sont fermées ; les églises se vident. On ne peut même pas mourir en ayant mis ses affaires en ordre : il est presque impossible de se confesser ou de faire son testament car prêtres et notaires refusent de venir voir les malades. Les masses ont le sentiment d’être abandonnées. Toutefois certaines professions s’enrichissent: les apothicaires, les croque-morts, mes revendeuses de plantes médicinales, voire les paysans qui vendent leurs volailles aux citadins. Certaines fortunes sont même inattendues. Celui qui se retrouve seul survivant d’une famille décimée, est à la tête d’une fortune. On voit donc d’importants transferts de richesse et des phénomènes de recomposition sociale.

L’économie est durement frappée : les lieux de travail ferment, les corporations, les métiers ne fonctionnent plus, le commerce s’étiole et toutes les boutiques demeurent closes le temps de la vague épidémique, donc pendant plusieurs mois d’affilée. Les prix des produits alimentaires flambent, de même que tout ce qui est lié aux enterrements : cercueils, draps, vêtements de deuil.

Dans ce contexte et dans un monde qui ignore les vaccins, les antibiotiques etc., les hommes ne peuvent attendre aucun secours d’une médecine impuissante. L’impuissance est d’abord conceptuelle. On parle de la « peste » mais ce terme est employé pour désigner des maladies épidémiques différentes. La Peste due au bacille de Yersin (découvert en 1894) n’a donc pas reçu alors de terme spécifique. Elle apparaît comme une maladie inconnue d’autant que l’on a en général perdu la mémoire de la peste de Justinien. Plus grave : les mécanismes épidémiques ne sont pas compris: certes on observe aisément que l’infection est mutuelle, qu’il est dangereux d’approcher autrui, de lui parler, de le toucher. On voit mourir ceux qui s’occupaient des malades. Mais les médecins s’arc-boutent sur leurs schémas traditionnels remontant à Hippocrate et Galien (une maladie est causée par une perturbation des humeurs etc.). Ces schémas sont perpétués dans le cadre d’un enseignement universitaire très largement théorique (la méthode expérimentale n’existe pas ; la dissection des cadavres n’était pratiquée que dans l’école de Salerne, en déclin depuis le milieu du XIIIe s.). L’historien italien Cosmacini affirme : “sur la scène de la Peste le blocage idéologique de la médecine est total”. Les explications avancées sont faiblardes ; qui y croit vraiment ? On parle de la “corruption de l’haleine” elle-même liée à la “corruption du pneuma”, de l’air ambiant. On met ainsi en cause la trop grande humidité de l’air, de ce pneuma cosmique présent à la fois dans l’homme et dans le monde. Trop humide, il devient putride, d’où les taches noires…

Un système de santé…artisanal et des autorités débordées

Les remèdes tentés sont inefficaces voire dangereux. Sans même parler de guérir on ne peut soulager les malades qui meurent donc dans de terribles souffrances. Quels étaient ces soins?

Les traitements classiques, à base de jeûnes, de saignées, qui achèvent les malades, ou rendent fragiles et vulnérables les bien portants. On tente parfois de faire disparaître ou diminuer les bubons en leur appliquant des plantes : mauve, mercuriale (plante de la famille de l’euphorbe, dont le suc laiteux était sensé ramollir les chairs et adoucir les inflammations). On croit parfois pouvoir soigner le mal par le mal et l’on frotte d’ortie une zone douloureuse. La panique est telle que l’on se risque dans des traitements bizarres: l’onguent de scorpion par exemple et, surtout, la fameuse « thériaque majeure », faite de 50 composants dont l’indispensable hachis de vipère). D’autres, les plus pauvres, se contentent de pépins de citron, de pain trempé dans du vinaigre. La peur de la contagion pousse à l’abstinence sexuelle mais on croit que le vin aurait des vertus salvatrices ; d’où le proverbe conseillant de « garder le membre au sec et le bec à l’humide ». Quant aux médecins ils ne sont pas mieux lotis que l’ensemble de la population : on connaît ces images où ils se protègent de l’air vicié en se couvrant le visage d’imposants masques en forme de bec d’oiseau, remplis de plantes odoriférantes.

Le désarroi est d’autant plus sensible que les pouvoirs publics sont débordés ; les élites elles-mêmes touchées : les dirigeants des Villes ou des royaumes meurent comme tout le monde. Au début de l’épidémie on se regroupe pour trouver du réconfort et en particulier on organise des repas en commun, que l’on renouvelle à tour de rôle en allant chaque soir chez l’un des convives de la veille. C’est une sorte de convivialité de protection, liée à l’idée que si on prend rendez-vous, si donc on fixe l’avenir on échappera à la mort. Mais très vite l’emporte le repli sur soi. On chasse les malades: les gens de Messine chassent les Génois venus de Caffa et c’est d’ailleurs comme cela que les galères génoises arrivèrent à Marseille ! Le maintien de l’ordre est délicat.

Certains pensent trouver le salut dans la fuite, mais on connaît des vallées pyrénéennes enclavées, isolées et pourtant ravagées par l’épidémie. En tout cas, ceux qui le peuvent fuient les villes pour se réfugier à la campagne. En Avignon, le chanoine Louis de Boeringen note toutefois qu’« il ne servit de rien de fuir parce qu’en fuyant vers un air qu’on croyait plus salubre, l’on mourait plus promptement ». Personne n’est pas dupe : tous savent que les paysans meurent aussi, mais le phénomène de population agglomérée rend le danger plus grand, ou du moins plus effrayant car plus visible. Cette fuite n’a rien de déshonorant, dans ces sociétés où, pourtant, la fuite était d’ordinaire assimilée à la lâcheté et où l’honneur et la réputation étaient des vertus centrales. Mais que devient la réputation dans un monde où tout le monde meurt ?

Les parades des dirigeants, des institutions sont inefficaces. Aucune mesure de prophylaxie n’a pu enrayer les vagues successives et personne n’y croit d’ailleurs. On mettait ici du vinaigre sur les pièces de monnaie, là on pensait à brûler les vêtements et les objets des morts. Plus rarement on prenait soin, comme à Florence, de nettoyer les ordures et on prenait conscience de l’importance de l’hygiène mais Boccace note que ce fut en vain. En fait dès que des hommes sont touchés, la forme pulmonaire progressait à une telle allure qu’il n’y avait pas de rempart possible. A la fin du 14e siècle on voit des mesures nouvelles apparaître. On procède à la désinfection des vêtements à Milan en 1399, mais ce n’est que dans le dernier quart du 15e siècle que l’on met en place des mesures plus importantes de prophylaxie : les rues sont nettoyées, on boute le feu aux maisons des pestiférés, on isole les malades. Des formes de quarantaine sont instaurées, parfois assez tôt comme à Reggio d’Emilie en 1374. En 1423 Venise construit le premier lazaret, dans une île de la lagune, enfermée derrière un « mur de la peste ».

Par ailleurs on interdit un peu partout les rassemblements et les cortèges ; les foires et les marchés sont suspendus (ce qui aggrave le désordre économique) et les autorités mettent en place un peu partout un réseau d’observation permettant de fermer les portes des villes à l’approche de la maladie.

Les mentalités sont bien évidemment bouleversées ; les appels à la miséricorde divine se multiplient, en vain. On s’engage donc dans des manifestations collectives, au premier rang desquelles figurent les processions, accompagnées de suppliques et de prières, « plutôt 1000 fois qu’une » écrit Boccace. Elles fonctionnent comme un rituel d’intégration collectif, réponse de toute une société face à un malheur lui-même général (alors que la promiscuité est dangereuse). De plus, pense-t-on, la prière de groupe a davantage de chances d’être entendue par Dieu car elle rend visible la contrition de tous. C’est bien sûr l’occasion de promener reliques et statues de saints (dont saint Roch qui protège de la Peste). On fait brûler des quantités phénoménales de cierges (d’où une forte hausse du prix de la cire). On attribue même à la cire de surprenantes vertus : à Montpellier, en 1374 on fit faire une ceinture de cire autour de la ville, censée faire office de barrage magique ! La population attend un miracle et pense qu’elle l’obtiendra si elle le demande de manière unanime. Des cérémonies spécifiques sont consacrées à la maladie : ainsi en 1348 le pape Clément VI institue l’office de la Peste. Parmi les formes collectives d’expiation, les processions de flagellants sont les plus spectaculaires : des cortèges de pénitents traversent ainsi l’Alsace, l’Italie ou la Pologne, frappant d’effroi les foules qui les voient passer. Les troubles sont tels que les pouvoirs interviennent : le pape Clément VI condamne les flagellants dès 1349, Philippe VI de Valois les interdit en 1350, et, en 1417, le chancelier des Universités de Paris, le théologien Gerson, prend le temps d’en rédiger une réfutation intellectuelle.

Les réactions abondent aussi dans le domaine privé. Dès que l’épidémie est passée, les confessions se multiplient de même que la rédaction de testaments. C’est une véritable fièvre qui s’empare des habitants, sollicitant sans cesse les notaires qui travaillent d’arrache-pied. Au Moyen Âge il est de la plus grande importance de ne pas mourir sans s’être au préalable confessé ; or, avec la Peste, la mort peut survenir si vite et on peut être tellement disloqué par la maladie qu’il vaut mieux se confesser tant que l’on est en bonne santé, et, si possible, s’abstenir ensuite de tout péché. Une fois la vague épidémique passée une sorte d’instinct de survie collectif pousse aussi à des relations sexuelles débridées, et donc à la naissance de nombreux enfants illégitimes, qui souffriront de cette macule dans ces sociétés à honneur, tout en posant de sérieux problèmes d’héritages.

La Peste a entraîné une onde de peur qui s’est installée durant des décennies, prenant la forme de panique lors des reprises de l’épidémie, et d’une angoisse sourde dans les phases de répit. Désarçonnées et épouvantées, les populations s’en remettent à toutes sortes d’explications surnaturelles. La Peste leur apparaît bien sûr souvent comme un châtiment divin. Le chroniqueur sicilien Michel de Piazza affirme ainsi que les Génois furent punis pour leur iniquité ; jugement explicable par la politique expansionniste de la ville qui a tenté en 1300 de la soumettre Sicile à un tribut pendant 10 ans et a voulu affirmer son emprise sur l’île en prétendant y établir des consuls et disposer d’un droit d’extraterritorialité. Cette mauvaise image des Génois est un lieu commun de l’époque. Dante les considère comme dénués de bonne mœurs : “Ah vous Génois, hommes étrangers, à toutes moeurs et pleins de vices, que n’êtes-vous chassés du monde?”2 . Mais, très souvent, on s’accuse soi-même d’avoir attiré la colère divine. Certains penchent pour une origine astrologique : on imagine les effets dévastateurs d’une triple conjonction Saturne/Jupiter/Mars.

Enfin, une nouvelle vision de la vie et de la mort se répand, qui souligne la fragilité de la première et l’omniprésence de la seconde. Une littérature faisant de la Peste le personnage central se développe. Elle provient d’abord d’un souci de témoigner mais entend aussi aider à dépasser le traumatisme, en s’évadant. La Peste a ainsi donné naissance à un chef d’œuvre comme le Décaméron de Boccace. Elle a aussi inspiré les artistes et l’on voit se multiplier les danses macabres (dont celles des Saints Innocents et de la Ferté-Loupière en France) où la mort entraîne dans une sarabande effrayante toutes les couches de la société et tous les âges de la vie : papes, empereurs, princes, nobles, bourgeois, paysans, pauvres et errants sont tous insérés dans la même file, chacun tenu par la main par un squelette.

La médecine a fini par s’adapter. G. Cosmacini parle de « révolution hospitalière ». Jusque là on accueillait les malades dans des hospices, des établissements religieux, où ils s’entassaient aux côtés des pauvres et des mendiants. A partir du milieu du 15e siècle on voit apparaître cette structure nouvelle : l’hôpital. Le premier semble avoir été celui de Milan fondé en 1456. Le modèle est repris par plusieurs villes d’Italie : Mantoue, Plaisance puis Venise. Ailleurs la diffusion fut plus lente. A l’hôpital on rationnalise les soins ; on sépare les malades incurables des autres, on regroupe les patients en fonction de leurs affections. Ainsi, les sociétés ne se sont pas totalement effondrées. Cette adaptation de l’être humain aux catastrophes est une des leçons que l’on peut tirer de la Peste Noire.

Sylvain Gouguenheim

Bibliographie :

J.N. Biraben, Les hommes et la Peste en France et dans les pays européens et méditerranéens, 2 vol., Paris, 1976.

E. Carpentier, Une ville devant la peste: Orvietto et la Peste noire, Bruxelles, 1983

G. Cosmacini, Soigner et réformer. Médecine et santé en Italie de la Peste Noire à la première guerre mondiale, Paris, 1992.

J. Delumeau et Y. Lequin, Les malheurs des temps. Histoire et fléaux des calamités en France, Paris, 1987

Crédit photo : DR
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3 réponses à “Bien avant le Covid-19. Comment l’Europe a-t-elle fait face à la Peste noire ?”

  1. Jacqueline dit :

    Très très interessant. Merci. Pas réjouissant quand même !

  2. Pschitt dit :

    Récit assez fascinant ! Il relativise radicalement ce que nous vivons aujourd’hui…

  3. Mussillon dit :

    Grosse déception. En lisant l’article , je croyais trouver une solution pour mettre fin à « cette peste noire ».rien du tout.!.,,,
    Alors, comment s’ en sont ilsdebarrassés?…..

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