Un camping familial situé à Avèze, petite commune du Gard, a vu débarquer une centaine de Syriens en provenance de Belgique il y a quelques jours. Bagarre, dégradations et chantage au départ ont finalement conduit la municipalité à fermer les lieux, contraignant au passage les familles françaises à poursuivre leurs vacances ailleurs. Les « joies » du multiculturalisme à l’épreuve des faits…
Une centaine de Syriens rentrent en force dans un camping du Gard
La France prend un peu plus chaque jour des airs d’asile à ciel ouvert. En parallèle de la terreur sanitaire qui constitue la principale actualité du pays depuis plusieurs semaines, l’insécurité et l’ensauvagement général de la société sur fond d’immigration d’origine extra-européenne continuent d’empoisonner la vie d’une large partie de la population hexagonale.
Y compris jusque dans un paisible camping familial d’Avèze, une commune de 1 000 habitants dans le Gard. Le camping du Pont Vieux a ainsi récemment connu une période très agitée après qu’une centaine d’individus aient forcé les barrières d’accès dans la soirée du 30 juillet et se soient installés sans autorisation sur ce terrain initialement prévu pour une soixantaine d’emplacements, le camping affichant déjà complet par ailleurs.
Quant au profil de cet improbable groupe de « touristes » manifestement peu enclins à respecter le règlement, il s’agirait de ressortissants syriens arrivés via une soixantaine de véhicules immatriculés en Belgique. Dès le premier soir, une bagarre générale éclatera parmi le turbulent groupe.
Un camping dégradé, des campeurs évacués
Pour débloquer la situation, Martine Volle-Wild, la maire d’Avèze, avait menacé de démissionner lors du conseil municipal du mardi 3 août au soir. De quoi finalement faire réagir la préfecture puisque, dès le lendemain matin des gendarmes se présenteront au camping en compagnie de la sous-préfète du Vigan Saadia Tamelikecht et feront fermer les lieux pour raisons sanitaires.
Mais le dénouement paraît sidérant : les autorités ont alors demandé à l’ensemble des campeurs de plier bagage mais ont autorisé les familles syriennes à rester sur place… Des syriens qui vont alors exercer un chantage vis-à-vis de la mairie en conditionnant leur départ à l’obtention d’un point de chute. Une exigence d’autant plus irréaliste qu’aucune infrastructure dans la région n’a souhaité les accueillir. Faute de solution, la centaine d’encombrants campeurs extra-européens quittera d’elle-même le camping le lendemain.
Malgré le retour au calme après leur départ, le camping du Pont Vieux a dû être fermé sur décision de la municipalité le 4 août afin que des réparations y soient effectuées suite aux dégradations commises et de remettre en état les sanitaires. Quant aux campeurs traditionnels, dont une partie est fidèle à Avèze depuis des années, ils ont été contraints de trouver un autre endroit pour poursuivre leurs vacances.
« Ils n’ont pas la même manière de vivre que nous »
En définitive, cette brutale rencontre entre la ruralité gardoise et des mœurs extra-européennes symbolise à elle seule l’échec d’un modèle de société multiculturelle. Laquelle devient, in situ, rapidement multi-conflictuelle.
Un constat d’ailleurs partagé par la maire d’Avèze. Citée le 5 août par le Midi Libre, Martine Volle-Wild déclarait : « Ils n’ont pas la même manière de vivre que nous ». Et l’édile cévenole d’illustrer son propos : « On leur a demandé de ramasser les couches qui traînent par terre. Certains le font, d’autres non. »
Crédit photo : Capture YouTube (photo d’illustration)
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2 réponses à “Ensauvagement. Une centaine de Syriens venus de Belgique sèment le chaos dans un camping du Gard [Vidéo]”
idem en guyane;
les gars passent par le Brésil puis arrivent à Cayenne, fauchés, s’installent, soutenus par la cimade et des associations (quasi tous des blancs de France) même attitudes, mêmes propreté …
Formidable