Lors du colloque sur l’autonomie de la Bretagne qui s’était déroulé à Carhaix le samedi 19 novembre, Christian Troadec avait proclamé : « Fort de ce succès populaire, nous allons continuer. Ce n’est qu’une première étape, et nous allons organiser d’autres rendez-vous à la rencontre des Bretons. Face à un Etat français défaillant, nous voulons montrer que l’autonomie politique peut apporter des réponses concrètes aux gens. “
Un mouvement « pour une Bretagne autonome » devrait être prochainement créé et se structurer (Le Poher, 23 novembre 2022). Nous sommes obligés de constater que, deux mois plus tard, rien n’a bougé. Pas de « rendez-vous », pas de mouvement « pour une Bretagne autonome ». Pour lancer cette opération, il faut non seulement de l’argent, mais encore des cadres et des militants. Vaste programme ! A coup sûr, les dirigeants de l’UDB n’apprécieraient pas cette concurrence « déloyale »…
B.M.
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Une réponse
Devant la situation pestiférée de la France, il est plus que temps de développer la marché breton et oueston pour y faire renaitre une industrie qui nous donnera les moyens de nous séparer de notre voisin de l’Est dominateur et gangréné.
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