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Marguerite Stern, victime d’une cabale de la mouvance transgenre militante : « Le féminisme est en danger » [Interview]

La venue de Marguerite Stern, ancienne FEMEN, féministe engagée contre l’idéologie transgenre, a été annulée à Nantes après des menaces et des pressions politiques des minorités transgenres et LGBT activistes. «L’ancienne femen devait intervenir lors d’un colloque, organisé le 15 avril par le Comité Laïcité République Pays de la Loire, pour parler de l’état du féminisme après #MeToo. Face aux menaces et pressions de ses détracteurs, les organisateurs ont préféré annuler sa participation», indique Le Figaro.

Comme d’habitude à Nantes, quel que soit le sujet d’ailleurs, c’est l’extrême gauche totalitaire qui s’est mobilisée via le tribunal des réseaux sociaux pour faire pression sur les organisateurs. À chaque fois, le chantage à l’émeute et aux violences, via des menaces. Mais aussi la levée de boucliers de certains élus, notamment une adjointe à la mairie de Nantes, ou encore une députée Nupes de Loire-Atlantique. Les mêmes qui hurlent aux violences policières et à la répression étatique, se lancent dans la chasse à tous ceux qui ne pensent pas comme eux.

Pour faire le point sur cette cabale dont a été victime Marguerite Stern, mais plus globalement pour dresser un état des lieux de l’activisme transsexuel radical qui parcourt aujourd’hui nos sociétés occidentales, pour évoquer enfin les menaces lourdes qui pèsent sur la liberté d’expression et d’action dans notre pays, nous avons interviewé Madame Stern.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs?

Marguerite Stern : j’ai 32 ans, je suis militante féministe depuis 10 ans. J’ai été activiste Femen pendant trois ans, j’ai créé les collages contre les féminicides en 2019, et depuis début 2020 je m’exprime publiquement sur les dangers de l’idéologie transgenre.

Breizh-info.com : Vous étiez prévue pour une conférence le 15 avril prochain à Nantes, conférence intitulée «5 ans après #meetoo où en est le féminisme». Pouvez-vous nous parler de cette conférence, de l’origine de votre invitation?

Marguerite Stern : L’organisateur m’a contactée afin que j’intervienne, j’ai accepté. Pour ma conférence, j’ai un constat un peu amer sur l’état du féminisme après #Meetoo et je pense d’ailleurs que l’annulation de cette conférence porte en elle un début de réponse sur cet état du féminisme. Le féminisme est en danger, plus que jamais censuré.

Meetoo, ça a été un grand moment pour les femmes de connexion entre elles, de révélations de leurs souffrances. En ce sens ça a été très important. Il y a eu des dérives, certes, du fait que nous avons trop souvent pris les réseaux sociaux pour des tribunaux, mais néanmoins c’était peut-être nécessaire du fait que la Justice n’écoute pas assez les femmes.

Je pense que l’effet néfaste a été de Glamourisé le statut de victime. C’est devenu tout d’un coup «cool» d’être une victime. Cela a engendré une course à l’oppression, à savoir qui était le plus opprimé. C’était devenu «cool» d’être opprimé. Et finalement, les femmes les plus opprimées sont devenues des hommes — par homme j’entends femme trans. Cela me dérange.

C’est grosso modo et de manière très résumée, ce que je souhaitais évoquer lors de cette conférence.

Breizh-info.com : Il y a eu cette cabale comme Nantes connait traditionnellement sur beaucoup de sujets. L’organisateur a fini par vous déprogrammer. Qui a mit ces pressions, et comment expliquez-vous qu’elles aient pu aboutir alors qu’il s’agit manifestement d’une toute petite minorité influente et agissante?

Marguerite Stern : Il y a eu des pressions d’une petite minorité militante, avec des menaces sur mes réseaux sociaux. Le comité d’organisation a aussi reçu des menaces. Un appel à manifester contre moi. C’est ridicule. Il y a eu aussi des pressions de la part d’élus. L’adjointe au maire de la ville de Nantes, Mahaut Bertu, adjointe à l’égalité a fait un tweet m’accusant de transphobie. C’est pourtant un délit, je n’ai jamais été condamnée pour cela, donc c’est de la diffamation jusqu’à preuve du contraire. Il y a certes une plainte de l’association Stop Homophobie ainsi que d’autres associations contre Dora Moutot et moi-même suite à la publication de notre manifeste femelliste.

En France, on peut porter plainte contre n’importe qui, pour n’importe quoi. Moi aussi demain je peux porter plainte contre Stop Homophobie pour un motif délirant. Mais on n’a pas été encore mis en examen, et tant que la plainte n’a pas abouti, c’est de la diffamation. Enfin du coup, cette élue a utilisé cet argument pour me décrédibiliser. Elle a été soutenue par d’autres élus, mais aussi la députée de la France Insoumise qui me qualifie de «Terf».

Breizh-info.com :  Qu’est-ce qu’un Terf?

Marguerite Stern : Cela signifie Trans-exclusionary radical feminist (« Féministe radicale excluant les personnes trans »). C’est utilisé pour qualifier les féministes qui pensent comme moi, c’est-à-dire que les femmes sont des femelles. Le problème c’est que ce terme n’est pas neutre, il est tout le temps accompagné de propos diffamants, de menaces, d’insultes. Le 8 mars dernier, en France, après le passage du cortège parisien, on a pu voir sur les murs de Paris des phrases taguées comme «Mort aux Terf»….

C’est un terme non anodin. J’ai expliqué cela sur mon compte twitter.

Breizh-info.com : Quand on voit cette cabale qui a abouti contre vous, comme d’autres cabales ont abouti au préalable sur d’autres sujets, est-ce que vous-même qui avez été militante et activiste radicale, ne vous dites pas que vous êtes prises à votre propre piège? Vous aussi, à une époque, avez utilisé les réseaux sociaux, les manifestations, pour faire interdire, pour faire pression, pour censurer, notamment  ?

Marguerite Stern : Je comprends ce que vous dites. C’est un argument qu’on m’oppose régulièrement. Je n’ai jamais voulu censurer la parole de qui que ce soit. J’ai pu m’exprimer contre Polanski, Cantat, mais eux ont été condamnés pour des crimes. La mesure est bien différente. Mais oui, le sujet du transgenrisme, et surtout les menaces, le harcèlement que je subis depuis trois ans, m’ont fait évoluer.

Avant, j’avais des difficultés à entendre des opinions différentes des miennes. Mais le fait de subir moi-même une censure, un harcèlement énorme a conduit à une forme d’acceptation de l’altérité que je n’avais pas avant. C’est un combat qui est devenu aujourd’hui pour moi un combat pour la liberté d’expression autant qu’un combat contre les dérives du transgenrisme. Ce sujet j’en ai fait le tour. Je le connais.

Mais tous les jours, je vois les attaques contre la liberté d’expression en France. Je suis sidérée. Aujourd’hui, j’irai beaucoup plus facilement soutenir la parole d’une personne qui ne pense pas comme moi. Parce que je pense que c’est important. L’existence d’un débat contradictoire, serein, est la preuve d’une démocratie en bonne santé. J’en mesure aujourd’hui encore plus l’importance

Breizh-info.com : comment expliquez-vous le fait que la mouvance LGBTQ, dans laquelle s’inclut le mouvement trans militant… malgré son petit poids numérique parmi la population française, ait autant d’influence et de capacité de pressions? Y’a-t-il eu un basculement ?  Jusqu’en mai 2019, l’OMS considérait le transsexualisme comme une maladie mentale… ce n’est plus le cas aujourd’hui en France. Comment expliquez-vous ce basculement d’un statut sanitaire, et victimaire, à une grande contre-offensive idéologique que nous voyons tous les jours à coups de procès, de cabales, de pressions?

Marguerite Stern : On me traite de complotiste quand je dis qu’il y a beaucoup d’argent, qui vient de l’industrie pharmaceutique. Industrie qui a tout intérêt à faire prospérer cette mouvance. Ceux qui font leur transition deviennent des patients à vie, ceux qui font une détransition ont aussi des traitements pour rééquilibrer le système hormonal… à vie. C’est très lucratif.

Je pense qu’on a vraiment basculé dans une société où c’est devenu cool d’être une victime. Mais on ne sait plus ce qu’est être une victime, on ne sait plus mettre une échelle entre les différentes violences. Aujourd’hui, «Mégenrer» quelqu’un est devenu quasiment aussi grave que de tuer quelqu’un aux yeux du tribunal médiatique. Enfin presque.  Voyez ce qu’il y a eu au sujet de la tuerie récente aux USA… il y a quand même eu un certain nombre de transgenristes qui se sont insurgés du fait que certains médias avaient «mégenré» le tueur…

Breizh-info.com : Mais déjà, vous-même utilisez le mot «mégenrer». N’est-ce pas une victoire sémantique énorme et dangereuse de leur part? La presse mainstream d’ailleurs, qui exprime souvent sa sympathie pour les lubies sociétales du moment, ne se prive pas pour imposer de nouveaux mots ou pour soutenir certaines causes… ainsi Ouest France qui vous qualifie de «personnalité controversée» dans un article de ce jour, créant eux-mêmes la controverse, alors que cette minorité n’existe pas aux yeux de 95 % des gens…

Marguerite Stern : Oui, je suis d’accord, c’est un raccourci (pour mégenrer). OUi c’est une victoire sémantique qu’ils remportent par des moyens pas très louables. Ils font de la propagande. Les personnes qui pensent comme moi sont diabolisées, ostracisées. L’accusation Terf rejoint aujourd’hui celle d’islamophobie. On sait où ça mène et où ont mené ces accusations. C’est un système qui participe de cette ostracisation, de ces violences.

On nous désigne Dora Moutot et moi comme des grandes méchantes, on déforme nos propos. Alors que nous n’avons rien contre les personnes Trans il suffit de lire ce qu’on écrit. Les méthodes utilisées par ces gens-là ressemblent à une forme d’emprise sectaire, sur les réseaux sociaux. Envers des personnes fragiles psychologiquement, envers des femmes en état de stress post-traumatique, car elles ont subi des violences et qu’on leur présente ça comme une solution à leurs souffrances… Cela touche beaucoup de jeunes.

Je viens politiquement de la gauche, sans savoir à quelle famille politique j’appartiens aujourd’hui. J’ai remarqué que les gens de gauche disent agir pour le Bien Commun, mais j’ai l’impression qu’ils militent davantage pour avoir l’assurance d’être dans le camp du Bien, de la tolérance, de l’acceptation. L’enfer est pavé de bonnes intentions.  Sous couvert de tolérance et d’inclusivité, on en vient à célébrer les troubles mentaux de personnes qui ne vont pas bien. Cela n’est pas les aider que de faire ça, et encore moins de les porter comme si c’était un projet de société.

Breizh-info.com : Mais alors, comment est-ce que l’on change ce logiciel? Des processus lourds sont déjà enclenchés…. sous la pression du monde anglo-saxon en pointe sur ces lubies. Comment est-ce que l’on sort de ce système, de cette emprise mortifère sur la jeunesse? Même dans certains collèges ou lycées, des gamins affirment aujourd’hui qu’ils ne savent pas quel est leur sexe… Il y a 20 ans, la rébellion c’était être Punk ou gothique dans sa classe, aujourd’hui, on dirait que c’est être Trans.. sauf que cela a des conséquences définitives…

Marguerite Stern : Il y a des clusters. Une forme de contagion sociale. C’est compliqué de savoir comment s’en sortir. J’aimerais déjà que la France s’en sorte, mais ça sera compliqué, car il y a des directives à l’échelle européenne. Des lois sont déjà passées. En 2016 est passée la loi selon laquelle il est possible de changer de sexe sur ses papiers d’identité, uniquement à la condition d’être perçu par son entourage du genre par lequel on se définit. Déjà, la sphère législative a été touchée…

J’ai l’impression de m’en être rendu compte tard. J’ai du mal à savoir comment on s’en sort. Il faut parler, alerter. Je vais à Paris rencontrer des députés. Il faut alerter les politiques, organiser des débats en haut lieu. En parler dans la presse.

Breizh-info.com : Mais techniquement, dans la vraie vie, hors de la presse mainstream et des réseaux sociaux, 95 % des gens ne se soucient pas de ces lubies, c’est ça le pire (mais leurs enfants subissent ensuite les conséquences de l’influence d’un certain militantisme…)… au même titre que le féminisme radical il y a dix ans faisait plutôt rire dans la ruralité par exemple… c’était hors sol..

Marguerite Stern : Je comprends que la plupart des gens se disent ça. La plupart du temps nous sommes dans des débats d’idées. Mais je suis persuadée que d’ici 5-10 ans, sans réaction, on va se retrouver dans la même situation que dans le monde anglo-saxon, avec des scandales sanitaires. Une mise en danger des femmes dans les espaces non mixtes (compétitions sportives, prisons, etc.). Je comprends que les gens ne voient pas le danger. Je suis persuadée que l’atterrissage sera difficile, et je n’ai pas envie que ça arrive.

Breizh-info.com : L’URSS s’est effondrée. Et pourtant, des gens n’ont vécu que sous l’URSS sans savoir qu’un autre monde était possible. Est-ce que le soft (en apparence) totalitarisme — qui englobe plein d’autres sujets sociétaux — dans lequel nous plongeons actuellement ne peut-il pas lui aussi s’effondrer

Marguerite Stern : C’est déprimant de penser à ça. J’inscris le sujet du tranxesualisme dans le cadre du transhumanisme, et de la déconnexion par rapport à la réalité matérielle du monde. Dans notre manifeste femelliste, nous nous interrogeons à savoir si nous ne sommes pas en train de basculer dans un monde post-vérité, post humain. Cela se recoupe avec plein d’autres questions, de l’intelligence artificielle, des réalités virtuelles. Mais il y a des lois physiques, biologiques, des lois de la nature qui nous dépassent nous frustrent (et donc nous voulons les dépasser). Mais apprenons à gérer nos frustrations. Car en ne les gérant pas, on essaie de modeler la réalité matérielle, physique dans laquelle nous vivons, par la pensée. C’est une illusion. 

Cela conduit à des drames. 

En règle générale,  je suis inquiète sur la crispation des débats, sur les enjeux de liberté d’expression. Il est difficile d’émettre des avis contradictoires, qui ne vont pas dans le sens mainstream, pas que sur ce sujet. Cf le covid. On dit souvent que j’exagère quand je parle de 1984, mais je pense qu’on est dedans en ce moment. Vous parliez d’attaques sémantiques, on est dedans. La paix c’est la guerre, l’ignorance c’est la force, les hommes sont des femmes, la liberté d’expression c’est de la violence…

Peu de gens sont encore capables d’avoir des débats apaisés, normaux, ayant du sens. Nous avons un problème de définition des mots, des concepts.

Breizh-info.com : Celui qui contrôle les mots… contrôle la vérité.

Marguerite Stern : oui. On change leur définition, on en interdit d’autres.

Breizh-info.com : Avez-vous l’impression d’avoir du soutien par rapport à la cabale que vous subissez de la part d’une minorité

Marguerite Stern : Jusqu’à il y a peu, je vous aurais dit que ça n’était qu’une minorité. Mais j’en suis de moins en moins convaincue. Ces idées infusent progressivement dans la société. Mais oui, je reçois énormément de soutien en privé depuis trois ans. Cela me fait tenir, me sauve de la folie (rires). 

Il y a quelques jours, j’ai voulu aller faire un micro-trottoir en centre-ville autour de la question «qu’est-ce qu’une femme?». J’ai halluciné des réponses. Personne n’a été capable de me répondre qu’être une femme était être une femelle. Tout le monde me répondait que ce n’était qu’un sentiment… j’étais hallucinée.

Breizh-info.com : C’est là où est le danger. Cela signifie qu’il y a comme un virus mental sur la question non?

Marguerite Stern : C’est la définition d’un virus, qui est un parasite qui se sert de son hôte pour survivre. Le transgenrisme c’est cela. Il a utilisé la force du féminisme après s’être accolé à lui pour le retourner contre.

Breizh-info.com : Enfin, quel regard portez-vous sur ce qu’on appelle  «l’alterféminisme» de type Némésis par exemple? Seriez-vous prête à débattre avec elles?

Marguerite Stern : Parfois elles ont raison, parfois non. Si elles m’invitent à un colloque, bien évidemment j’irais. Je parle avec tout le monde maintenant, y compris avec ceux avec qui je ne suis pas d’accord. J’y prends plus de plaisir d’ailleurs.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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7 réponses à “Marguerite Stern, victime d’une cabale de la mouvance transgenre militante : « Le féminisme est en danger » [Interview]”

  1. Durandal dit :

    Ben alors, on veut interdire aux victimes trans d’être reconnues ?
    Ah le sentiment de souffrance, si propre aux femmes. Etendu au domaine public, c’est une superbe arnaque pour mettre en l’air la société. Le problème ne vient pas des trans. Il vient des féministes lui-même.

    • these dit :

      Mais “où sont les trans ” car moi je veux être transphobe, mais les trans ne se trouvent pas sous les sabots des chevaux.C’est trop dur, Bref, on nous cache tout on nous dit rien, c’est trop injuste, I am a fashion victim …..

  2. Titi dit :

    Métier: victime… décidément on n’en sort pas!

  3. Lilien dit :

    Mme Stern, vos réponses m’ont beaucoup intéressé, et votre désir de mieux communiquer compte tenu de vos expériences passées, est exprimé avec une sincérité qui permet l’ouverture de débats féconds !

    Bravo à vous, et bravo d’être intervenue sur l’excellent Breizh-Info !!!

  4. Alan al Louarn dit :

    La LIBERTÉ consiste à faire, de manière responsable, ce que l’on veut et qui n’entrave pas la liberté d’autrui. Les “droits” c’est autre chose. avoir un droit est être créancier envers autrui d’une obligation qu’il doit respecter en tant que débiteur. Il faut donc que ce débiteur soit d’accord pour devoir quelque chose. Les “droits” ou “dettes” sont décidés par des parlements qui pensent devoir me garantir “le droit au logement” ou “le droit au travail” ou “le droit de vote” ou “le droit à l’instruction” …sans que je fasse quelque chose pour le mériter. On sait que cela ne marche pas très bien. Aussi, doit on proscrire les termes “droits LGBT” que nul n’a décidé de garantir et de payer, et utiliser les termes de “libertés LGBT” qui ne concernent que ceux qui s’y livrent et ne doivent pas y mêler la société.

  5. kaélig dit :

    La vie est dure quand on est mal dans sa peau ! Quand on ne sait plus si l’on est “mâle ou femelle”.

  6. hervé Brétuny dit :

    en lisant cette interview je me rends compte que le problème est plus grave que je ne le pensais

    “Il y a quelques jours, j’ai voulu aller faire un micro-trottoir en centre-ville autour de la question « qu’est-ce qu’une femme ? ». J’ai halluciné des réponses. Personne n’a été capable de me répondre qu’être une femme était être une femelle. Tout le monde me répondait que ce n’était qu’un sentiment… j’étais hallucinée.”

    c’est surtout cette phrase qui me fait dire qu’ils ont fait explosé notre société .

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