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Et si Laurent Obertone avait raison ? Le 44ème numéro de Survival Magazine est sorti

Le 44ème numéro de Survival Magazine est sorti. Ci-dessous le sommaire de ce magazine qui vous prépare à affronter les dangers que la société moderne nous a fait oublier. Il fait la part belle à l’aventure, à la nature, et aux techniques de survie, de sécurité, de survivalisme. Une thématique et un mode de vie qui a particulièrement le vent en poupe depuis quelques années.

Vous pouvez le commander ici, ou le retrouver en kiosque.

Crédit photo : DR
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2 réponses à “Et si Laurent Obertone avait raison ? Le 44ème numéro de Survival Magazine est sorti”

  1. Brounahans l'Alsaco dit :

    J’ai lu plusieurs bouquins d’Obertone … Que nous sommes au début de l’effondrement de notre société semble évident, que nous soyons capables de nous en sortir par le survivalisme est d’un tout autre tonneau ! Imaginons notre vie sans courant électrique, sans supermarché … Il y a très peu de gens (s’ils existent) qui sauront vivre en autarcie car notre espèce est trop dégénérée, l’amnésie de la nature trop grande, nos mains manquant cruellement de cals pour nous frotter à la nature brut de décoffrage … Perdons nos illusions sur un possible retour aux sources. Si ce dernier est inévitable les pertes seront colossales. Mais “il est inutile d’espérer pour entreprendre, ou de réussir pour persévérer.” Cela vaudra toujours mieux que de pleurnicher sur notre sort.

  2. kaélig dit :

    Imaginons déjà la vie de nos ancêtres paysans vers 1950/60.
    Le premier geste de la mère de famille sera d’allumer le feu dans l’âtre ou la cuisinère en fonte alimentée au charbon pour les plus chanceux. Il faut chercher le bois sec qui aura préalablement été coupé et stocké par le chef de famille, chercher l’eau dans le puits qui aura été creusé et maçonné au péril de sa vie par un terrassier(certains ont été enseveli sous un éboulement) ou à la fontaine proche pour les privilégiés bien placés. Tout celà prend du temps. La fermière va moudre le café en grains avec son moulin manuel pour enfin le passer dans un filtre ou une cafetière ad hoc au mieux…Cà y est, les petiots peuvent prendre leur petit dej grâce au pain du boulanger souvent du gros pain d’ailleurs car le bourg est trop éloigné pour se permettre une baguette sortie du four, le beurre heureusement est produit sur place à la barate…Ils partirons à l’école distante de plusieurs Kms qu’il vente ou qu’il neige en sabots, en brodequins pour les plus riches.
    Le soir, au retour de l’école, ce sera le repas composé des produits de la ferme, légumes, patates, lard, cochon, volailles parfois sous un éclairage de bougies ou d’une lampe à pétrole pour les modernes.
    J’ai connu celà dans mon enfance, et encore nous disposions de l’outillage minimum: hâche, scie, marmite, couvert, produits locaux, mobilier…
    Alors, partir lâché dans la nature, même avec l’équipement minimum, c’est la “struggle for life” tous les jours et “les pertes seront colossales” comme l’affirme justement Brounahans.
    En vérité, nous vivons une époque formidable de “civilisation des loisirs” avec le minimum d’efforts physiques, en fait nous glandons la moitié de la journée et même le travail confortable nous débecte commed dit S.Rousseau qui sanctifie ‘le droit à la paresse”.
    Il nous revient de lutter contre le déclin et la barbarie pour défendre tous ces bienfaits du progrès produits par les “boomers” tant décriés. Quant aux uluberlus gauchards, woke, décroissants, extrèmistes rétrogrades religieux, escrolos et autres déviants sexuels qu’ils fassent leur révolution s’ils l’osent…On les attend.

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