Et si la Bretagne reprenait en main son destin ? Cette série de tribunes explore, pas à pas, ce que pourrait être une Bretagne autonome : une terre enracinée dans son histoire, dotée d’institutions propres, libérée du carcan administratif parisien. Loin des utopies irréalistes, il s’agit ici de propositions concrètes : identité, organisation communale, fiscalité, langue, éducation, économie, sécurité. Une réflexion militante et ouverte sur ce que serait une Bretagne autonome, démocratique et décentralisée.
Sans enfants, pas d’avenir
Une nation qui n’assure pas son renouvellement démographique est condamnée à disparaître. La Bretagne ne fait pas exception. Le vieillissement, l’exode des jeunes, la chute de la natalité sont des menaces mortelles.
La Bretagne autonome doit donc mettre en place une politique nataliste et familiale claire, assumée et volontariste : le peuple breton doit croître et se renforcer, sans dépendre d’une immigration de remplacement.
La famille n’est pas un choix parmi d’autres : elle est la cellule fondamentale d’un peuple enraciné. Dans une Bretagne autonome :
- allocations familiales généreuses, proportionnelles au nombre d’enfants ;
- allègement fiscal massif pour les familles nombreuses ;
- logements familiaux prioritaires, avec jardins et espaces de vie, pour ceux qui élèvent des enfants ;
- gratuité ou coût symbolique des crèches, cantines et transports scolaires.
La politique publique doit cesser de favoriser l’individu isolé au détriment des familles.
Promouvoir la natalité bretonne
Une Bretagne autonome doit avoir le courage d’affirmer que la priorité va à la natalité bretonne :
- soutien financier et symbolique à ceux qui choisissent de transmettre leur identité, leur langue et leur culture à leurs enfants ;
- campagnes de valorisation de la maternité et de la paternité, comme missions nobles et respectées ;
- accompagnement des jeunes couples pour leur installation et leur projet familial.
La famille doit redevenir un idéal, pas un fardeau.
Lutter contre les poisons démographiques
Un peuple qui veut survivre doit aussi combattre ce qui le détruit :
- l’alcoolisme et la drogue, qui sapent la santé et les naissances ;
- la sédentarité et l’obésité, déjà évoquées avec le sport, qui affaiblissent les générations futures ;
- la précarité volontaire, entretenue par une société d’assistanat, qui décourage le travail et la fondation d’une famille.
En parallèle, l’immigration massive ne doit pas être utilisée comme substitut démographique : le peuple breton doit assurer sa propre continuité.
La politique nataliste ne peut être isolée. Elle doit s’articuler avec l’aménagement du territoire :
- villages revitalisés par l’installation de jeunes familles ;
- écoles et hôpitaux pensés pour accompagner cette croissance ;
- infrastructures adaptées (transports, internet, espaces de loisirs).
Ainsi, la Bretagne évitera de se concentrer uniquement dans les métropoles, et restera une terre vivante et équilibrée.
Dans une Bretagne autonome, faire des enfants ne doit plus être vu comme une contrainte ou un « choix personnel », mais comme un acte de vie, de résistance et de transmission.
La démographie est l’arme la plus puissante d’un peuple. Sans elle, tout le reste – langue, culture, institutions, économie – s’effondre. Avec elle, tout devient possible.
La Bretagne libre et enracinée doit donc être une terre où la famille est honorée, où les enfants sont valorisés, et où chaque naissance est une victoire pour l’avenir de notre peuple.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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