Lola, Philippine, Claire et Mathilde. Ces quatre noms qui ont récemment occupé l’actualité sont quatre victimes d’étrangers qui ne devaient pas se trouver sur notre sol. Elles sont le symbole d’un principe malheureusement en vigueur : les autres avant les nôtres. On en voit les résultats tous les jours. Et tant qu’il vaudra, il empêchera qu’un autre principe, sacro-saint en matière de sécurité, prévale : principe de précaution.
Sauver les autres peuples de la misère. À première vue, l’intention peut sembler louable, tant que la sécurité des citoyens n’est pas mise en danger. Et si ce n’est clairement pas le cas, comme l’actualité nous le prouve chaque jour, c’est parce que cette condition ne semble guère importer à nos dirigeants : la sécurité de leurs administrés ne passent plus avant celle des autres. Logique, puisque selon eux, tous les hommes se valent, que les Érythréens, les Pakistanais et les Bretons sont interchangeables, à l’instar de Sandrine Rousseau qui voulaient faire venir « les personnes dangereuses et les potentiels terroristes » afghans en France pour pouvoir les surveiller… Et peu importe si cela mettait en péril la sécurité de ses concitoyens, ceux qui la font vivre et qu’elle est censée représenter.
Le drame de Lola illustre avant tout le paradoxe d’un pays capable de contrôler jusqu’au moindre cabanon dans ton jardin, mais qui laisse entrer sur son territoire, sans véritable vérification, des dizaines de milliers d’individus potentiellement dangereux, issus de pays…
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) October 17, 2025
Le principe de précaution, évoqué par Pierre Sautarel, ne peut donc pas valoir dans les sociétés libérales qui conçoivent l’homme comme étant sans racines ni culture et donc remplaçable à souhait, et ont décrété la fin des peuples charnels.
À cela il faut ajouter que le pouvoir tire un grand avantage de l’insécurité : les institutions – qui ne jouissent plus de la confiance qui les légitime – ont besoin de cette insécurité endémique pour sidérer la population, qui, une fois terrorisée s’en remet à elles pour assurer sa sécurité, comme l’explique magistralement Eric Werner dans L’Avant guerre civile :
« Le pouvoir encourage donc le désordre, le subventionne même, mais ne le subventionne pas pour lui-même, ne le subventionne que pour l’ordre dont il est le fondement, au maintien duquel il concourt. L’ordre par le désordre, voilà la formule. Désordre politique, mais aussi moral, social, culturel (car tout se tient en la matière). Autant que possible, le pouvoir s’emploie à brouiller les cartes, à priver les individus de leurs repères coutumiers. L’objectif est de les déstabiliser, de les rendre étrangers à leur propre environnement. La réalité les fuit, leurs sens sont anesthésiés. Ils ignorent d’où ils viennent et où ils vont, ne savent même pas bien souvent de quoi l’on parle. Parfois aussi c’est l’émeute, les casseurs entrent en scène. Mais, là encore, qu’y faire ? Sus à l’obsession sécuritaire. Un même mouvement entraîne ainsi toute chose, seul le pouvoir échappe à l’universelle dissolution. L’individu se raccroche donc à lui comme à une bouée miraculeuse. »
Hommes et femmes équivalents, interchangeables et donc remplaçables, besoin d’insécurité pour gouverner des individus atomisés au sein d’un peuple dilué dans le cosmopolitisme, ces deux prémisses suffisent à expliquer le désordre actuel. Et pour le faire accepter aux autochtones, on l’enrobe de jolis mots bienveillants, on joue la carte de l’empathie, de la solidarité universelle.
Et ça marche, puisque les idéalistes qui croient sincèrement appartenir au camp du bien, sont légion. Il faudrait cependant leur rappeler que vouloir sauver le Tiers-monde en important ses miséreux est profondément raciste puisque cela sous-entend que ces mêmes miséreux sont incapables d’améliorer leur situation sans notre aide, sans l’aide de l’homme blanc. C’est d’ailleurs sur ce principe que reposait la colonisation européenne et la mission civilisatrice américaine… On a fait mieux comme camp du bien.
Il est grand temps de proclamer ouvertement ce que tous les peuples sains considèrent comme naturel, à savoir préférer les nôtres avant les autres. Sans compromis, sans excuse, sans honte. Car ce n’est pas méchant, cruel ou raciste, c’est juste normal.
Pourquoi l’État matraque les gens bien et laisse proliférer délinquance et terrorisme ordinaire
Audrey D’Aguanno
Photo d’illustration : victimes de l’immigration ©Francesca Totolo
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Une réponse à “Les autres avant les nôtres ? Pourquoi le principe de précaution ne prévaut-il pas dans nos démocraties ?”
Je suis née à Alger (comme je l’ai déjà dit) et »là-bas », déjà, les musulmans ne se comportaient pas comme les non-musulmans…je ne mets pas tous les musulmans dans le même sac, mais nous devions faire attention de ne rien laisser traîner..de bien fermer la porte de son logement, de ne pas vexer un musulman sinon il sortait son couteau…Par 3 fois, des yaouleds ont volé le porte-monnaie de ma mère qui se rendait au marché de Chartres (situé près de la cathédrale d’Alger) Pour ma mère le fait de perdre son porte-monnaie était dramatique car elle était veuve et avait 6 enfants! Ce n’est pas »être raciste » que de constater que le pourcentage de musulmans délinquants est plus important que celui de non musulmans délinquants: c’est de la lucidité et j’en ai MARRE d’entendre certains »être dans le déni » en trouvant toutes sortes d’excuses aux musulmans!..