Le dernier numéro d’I-Média, animé par Élise Blaise et Michel Geoffroy sur TV Libertés, s’attaque au bellicisme ambiant, à la fiscalité sans fin et à la dérive liberticide du pouvoir français sous couvert de “lutte contre la haine en ligne”.
Cette semaine, I-Média a livré une émission dense, décapante et plus que jamais en phase avec une France sous tension. En une heure d’analyse sans langue de bois, Élise Blaise et Michel Geoffroy ont décortiqué les dérives d’un système médiatico-politique où la peur et la fiscalité semblent désormais les deux mamelles du discours officiel.
Le “paradoxe Milei” : la réalité dément les prédictions des médias
L’émission s’ouvre sur un constat : la presse française s’est, une fois de plus, trompée. En Argentine, Javier Milei a remporté haut la main les législatives, déjouant les pronostics catastrophistes relayés par les plateaux parisiens.
Les commentateurs, pris de court, tentent désormais d’expliquer “pourquoi ils se sont trompés” — sans jamais remettre en cause leurs biais idéologiques.
Pour Michel Geoffroy, cette hostilité médiatique s’explique aisément : “Milei est l’exact inverse de Macron. Il agit, réforme et obtient des résultats — ce que le pouvoir français est incapable de faire.”
Le dossier central de l’émission est consacré à la multiplication des discours alarmistes sur une possible guerre avec la Russie.
Entre le général Mandon qui annonce un “choc” dans trois ou quatre ans, le général Yakovleff qui voit en Poutine un “ennemi ontologique de l’Occident”, et le général Schill qui prétend que “l’armée de terre est prête dès ce soir”, le ton martial des plateaux télé s’apparente à une véritable hystérie collective.
Pour Michel Geoffroy, tout cela relève “du théâtre politico-médiatique” : une tentative de maintenir la population dans la peur, tout en justifiant le renforcement de l’Union européenne et la dépendance à l’OTAN. Derrière les grands discours sur la défense de l’Europe, il dénonce une manœuvre visant à “accélérer le basculement fédéral” du continent et à préparer les esprits à une intégration militaire européenne — au prix de la souveraineté nationale.
“Concours Lépine de l’impôt” : la France s’enfonce dans la sur-taxation
Autre thème fort : la pression fiscale.
Alors que les ministres rivalisent d’imagination pour inventer de nouvelles taxes — sur le tabac, les entreprises, ou les salaires des apprentis —, I-Média rappelle que la France détient déjà le record mondial de la ponction fiscale.
Invité cité dans l’émission, l’économiste Marc Touati parle d’un “concours Lépine de la fiscalité” : les chefs d’entreprise ferment leurs sociétés, écœurés par le matraquage fiscal et la déconnexion totale de la classe politique.
Michel Geoffroy souligne que cette frénésie d’impôts n’a qu’un but : “gagner du temps et éviter une dissolution”. Une stratégie du chaos, menée par un exécutif qui cherche avant tout à se maintenir.
Réseaux sociaux : la tentation du bâillon
Dans les “pastilles de l’info”, l’émission s’attarde sur le nouveau front du gouvernement : la régulation des réseaux sociaux.
Sous couvert de “protéger les enfants” ou de “lutter contre la haine”, Aurore Bergé et Emmanuel Macron multiplient les annonces sur la “responsabilité des plateformes”. Derrière les mots, I-Média voit une volonté claire de contrôler la parole publique à l’approche de 2027.
La liste des associations financées pour “signaler les contenus haineux” parle d’elle-même : LICRA, SOS Racisme, Osez le féminisme, CRIF, Planning familial… autant d’organisations idéologiquement homogènes, chargées de décider ce qui peut ou non être dit sur Internet.
“Il ne s’agit pas de sauver la démocratie, mais de sauver le système”, résume Geoffroy.
L’émission revient aussi sur des sondages passés sous silence : 96 % des Français se disent mécontents, 74 % jugent le président incompétent, 63 % ne se sentent plus chez eux. Des chiffres vertigineux… mais soigneusement tus par les rédactions parisiennes.
Place Vendôme, une gigantesque grenouille verte, œuvre “d’art contemporain”, s’exhibe à côté de la colonne de Napoléon. Pour I-Média, tout un symbole : “la soumission des Français, moqués dans leur propre capitale”.
À l’inverse, le film Sacré-Cœur, production catholique censurée par certaines municipalités mais triomphant en salles, illustre l’autre versant du malaise : celui d’un pays en quête de sens, mais qu’on cherche à faire taire.
En conclusion, ce nouvel épisode d’I-Média dresse le portrait d’un système médiatique verrouillé, d’un pouvoir à bout de souffle, et d’une France qu’on tente de maintenir dans la peur et la culpabilité.
Un constat sans détour, servi avec le ton incisif et ironique qui fait la marque de l’émission.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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