Les fondateurs du Canon Français ont porté plainte contre treize élus d’Ille-et-Vilaine après une campagne de diffamation grossière. Ll’extrême gauche promet de “venir troubler” la soirée et prend des risques, eu égard de la masse de gens qui viennent à ce banquet et qui ne se laisseront pas intimider.
Le banquet du Canon Français, prévu du 7 au 9 novembre au château de Blossac, à Goven, près de Rennes, fait trembler la gauche locale — au point que treize élus ont demandé au préfet d’en interdire la tenue. En cause ? Une accusation d’« extrême droite » sortie tout droit du manuel habituel : “saluts nazis”, “chants royalistes”, “liens avec un milliardaire réactionnaire” — autant d’éléments sans la moindre preuve.
Une plainte contre treize élus
Face à cette cabale politicienne, les fondateurs du Canon Français, Géraud de La Tour et Pierre-Alexandre de Boisse, ont décidé de porter plainte.
Les chefs d’accusation sont lourds : diffusion de fausse nouvelle, entrave à la liberté d’entreprendre et de réunion, mise en danger d’autrui, et provocation à attroupement risquant de troubler l’ordre public.
« On ne peut pas laisser des élus nous traiter de nazis », explique Pierre-Alexandre de Boisse. « C’est honteux, mensonger et dangereux. Nos événements sont filmés, publics, encadrés, et il n’y a jamais eu de débordement. »
Les banquets du peuple
Créé en 2021, le Canon Français s’est donné pour mission de réconcilier les Français avec leurs racines, leur gastronomie et leur convivialité. Ces grands banquets festifs, inspirés à la fois des fêtes de village et des Oktoberfest, attirent des centaines de participants venus célébrer la France populaire, celle du vin rouge, des chansons, du cochon grillé et de la fraternité autour de la table.
« Nos banquets sont apolitiques et ouverts à tous. Ce sont des moments de joie, pas des meetings. Si quelqu’un s’avisait de faire un salut ou de chanter des slogans politiques, il serait immédiatement expulsé », assure Géraud de La Tour.
Pourtant, une partie de la gauche bretonne, incapable de supporter que la France populaire se retrouve sans son autorisation, crie à la “fête d’extrême droite”. Treize élus d’Ille-et-Vilaine — dont les députées NFP Marie Mesmeur et Mathilde Hignet, ou encore le sénateur écologiste Daniel Salmon — ont signé un communiqué accusant les organisateurs “d’instrumentaliser les fêtes populaires à des fins de propagande”.
Des menaces et des pressions inquiétantes
La polémique a vite dégénéré. Le propriétaire du château de Blossac, Christophe de la Rousserie, a signalé des faits d’intimidation : clôture arrachée, individus cagoulés rôdant en camionnette, tracts anonymes, pressions sur les employés.
Les forces de l’ordre ont été alertées, un dispositif de gendarmerie est prévu, et les organisateurs ont engagé une équipe de sécurité renforcée.
Le préfet d’Ille-et-Vilaine, quant à lui, n’a pas interdit la tenue du banquet, rappelant qu’il s’agit d’un événement privé, parfaitement déclaré et encadré par la loi.
Le “peuple qui fête” face aux “militants qui hurlent”
Cette histoire dépasse le simple cadre d’un banquet. Elle révèle une fracture sociale et culturelle profonde : celle entre la France enracinée et la gauche morale.
Ce que les élus “gauchistes” appellent “extrême droite”, c’est souvent la France qui travaille, qui cuisine, qui chante, qui aime son pays et son clocher.
Ce sont des Bretons, des Vendéens, des Provençaux, des Parisiens de banlieue ou des étudiants, venus simplement partager un repas et un moment de fraternité.
Qu’on se le dise : les militants d’extrême gauche qui rêveraient de “venir pourrir la fête” feraient bien de réfléchir à deux fois.
Car ils risquent de croiser non pas des militants politiques, mais des hommes et des femmes du peuple, capables de leur répondre, avec calme ou vigueur s’il le faut.
Le banquet du Canon Français aura bien lieu à Goven.
Sous les tentes du château de Blossac, entre les verres levés et les chants traditionnels, c’est le pays joyeux et enracinée qui se retrouvera — celui qui n’a pas honte de lui même, qui ne cède pas à l’intimidation.
Et quoi qu’en pensent les élus du Nouveau Front Populaire, ce peuple là ne demande pas leur permission pour exister.
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine