Ce qui devait être un simple moment d’intimité s’est transformé en cauchemar absolu pour un jeune couple italien, dans la nuit du 25 octobre dernier, dans le parc de Tor Tre Teste à Rome. La jeune femme, âgée de 18 ans, et son compagnon de 24 ans avaient garé leur voiture dans un coin isolé du parc. Quelques minutes plus tard, leur véhicule était encerclé par un groupe d’hommes.
Selon les enquêteurs, trois individus d’origine marocaine ont brisé les vitres de la voiture, sorti les deux jeunes de force et violé la jeune femme, tandis que son compagnon était maintenu au sol et contraint d’assister à toute la scène.
Les faits, d’une violence extrême, ont entraîné l’arrestation de trois suspects. Mais les autorités italiennes pensent que le groupe était composé d’au moins cinq hommes.
Trois arrestations, mais l’enquête se poursuit
Deux des agresseurs présumés ont été interpellés dès le lendemain, alors que la troisième arrestation a eu lieu le 21 novembre, cette fois à Venise, où un suspect avait pris la fuite.
Les identifications ont été facilitées par plusieurs éléments : les témoignages des deux victimes, les fragments du vitrage retrouvés autour du véhicule et surtout les empreintes digitales laissées sur les vitres brisées de la voiture, qui ont permis aux policiers de relier sans ambiguïté les trois Marocains arrêtés à la scène.
Malgré ces avancées, les forces de l’ordre maintiennent que deux autres complices pourraient avoir participé à l’agression. Les déclarations du couple, éprouvé par la peur et la brutalité de l’attaque, laissent penser que le groupe était plus nombreux. La police de Rome poursuit donc ses recherches.
Le déroulé de l’agression : brutalité, vol et viol
D’après les premiers éléments de l’enquête, le couple s’était installé dans un recoin sombre du parc, pensant y trouver un peu de tranquillité. Il ne s’était écoulé que quelques minutes lorsque leur voiture a été encerclée. Les vitres ont éclaté sous les coups portés depuis l’extérieur, projetant des éclats de verre sur les deux jeunes, surpris et paniqués.
Les agresseurs ont ensuite ouvert les portières et arraché les victimes de l’habitacle. Le jeune homme a été maîtrisé puis tenu au sol par deux individus, pendant qu’un troisième s’en prenait à sa compagne. Avant de commettre le viol, le groupe avait déjà dérobé les effets personnels du couple, transformant l’attaque initiale en agression d’une brutalité croissante.
La scène n’a duré que quelques minutes, mais elle a laissé les deux jeunes totalement désemparés. Une fois les agresseurs partis, ils ont réussi à demander de l’aide et à alerter la police.
Ce drame bouleverse une nouvelle fois l’Italie, régulièrement confrontée à des agressions commises par des bandes violentes, souvent issues de l’immigration nord-africaine.
Le parc de Tor Tre Teste, comme beaucoup de zones périphériques de la capitale, est devenu un terrain propice aux agressions nocturnes : faible éclairage, absence de patrouilles, bandes organisées. Ce qui s’est produit le 25 octobre illustre la dérive sécuritaire de plusieurs quartiers romains.
Un choc pour le pays, des questions pour les autorités
La violence du crime, le traumatisme des victimes et l’implication d’un groupe structuré interrogent les Italiens : comment un groupe d’hommes a-t-il pu opérer ainsi dans un parc urbain sans être repéré ? Pourquoi de telles zones restent-elles laissées à l’abandon ? Et surtout : les deux complices non identifiés sont-ils toujours dans la nature, prêts à récidiver ?
Un enquêteur cité par la presse italienne résume la situation : « L’enquête n’est pas close. Nous devons comprendre combien ils étaient réellement, et si d’autres agressions peuvent leur être imputées. »
Si cette affaire choque l’Italie, elle résonne aussi au-delà des frontières. Le viol commis en bande, au milieu d’un parc de la capitale d’un pays européen, illustre la montée d’une violence décomplexée, souvent le fait de groupes incontrôlés issus de l’immigration extra-européenne.
Un scénario qui rappelle trop d’affaires similaires survenues ces dernières années en France, en Belgique ou en Allemagne. Les responsables de ces crimes sont aussi ceux qui ont ouvert grand les frontières depuis des années.
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