À Nantes la préfecture a donc procédé lundi 23 juillet à l’évacuation du camp de migrants, Soudanais et Érythréens, qui occupaient un square central au cœur du centre-ville.
Bien évidemment, malgré l’annonce en grande pompe de cette expulsion, ces migrants ne seront pas reconduits à la frontière. Non, ils seront immédiatement logés (pour une partie d’entre eux) ailleurs, tandis que d’autres arrivent déjà, avertis depuis des mois maintenant que la capitale historique de la Bretagne sert désormais de déversoir à l’immigration incontrôlée. La démographie africaine est un puits sans fond, qui conduit à ce déversoir que nous subissons aujourd’hui.
Un déversoir réalisé avec la complicité des organisations de gauche et d’extrême gauche qui bénéficient d’une quasi-impunité (une protection ?) et qui secouent Nantes depuis des mois, des années maintenant, sur des sujets aussi variés que les migrants, Notre-Dame des Landes, la loi Travail, la réforme du Code du travail, tout est bon pour mettre « le zbeul », le désordre dans leur novlangue pour décérébrés.
Ne cherchez pas chez Johanna Rolland et son équipe un autre son de cloche, vous ne le trouverez pas. Certes, la maire de Nantes condamne les violences, s’indigne, communique à tout bout de champ. Mais dans le concret, elle ne fait rien, pétrie qu’elle est de ces « valeurs humanistes » qui sont en train de transformer sa ville en cité de non-droit, dans laquelle les gangs se tirent dessus presque quotidiennement, dans laquelle des individus campent et défèquent sur les trottoirs d’une ville qu’ils prennent sans doute pour le village d’où ils viennent.
Une ville dans laquelle la police a pour mission de « traquer » et de « surveiller » les dissidents politiques éventuels, sur injonction des tribunaux, tout en se montrant particulièrement docile (surtout pas de bavure…) avec ceux qui cassent, brûlent, et organisent l’immigration imposée à notre peuple, en toute complicité avec les trafiquants d’êtres humains.
Comme dans les pires prophéties, les choses se font, inéluctablement, quasiment sans heurts, et ce qui fut notre pays mute, dégénère, sans que l’ombre d’un sursaut ou d’une solution ne se montre. Pendant que des activistes minoritaires, mais redoutablement organisés et qui prétendent avoir « le monopole de l’action humanitaire » s’organisent, agissent, imposent, les opposants à cette transformation quotidienne de notre monde semblent tétanisés.
La création d’une page Facebook ou d’une pétition en ligne devient l’aboutissement d’une action militante débutée par un like sur Facebook. Réagir de façon épidermique sur tout, n’avoir prise de manière réfléchie sur rien, absolument rien, et voir nos villes, et même nos campagnes, jour après jour, se métamorphoser, parfois en silence, parfois avec bruits et fracas.
Le pourrissement est profond, les pouvoirs publics le savent pertinemment, et les médias aux ordres également — eux qui parviennent à obtenir des informations qui, oh divine surprise, permettent de focaliser l’attention de tous sur des affaires totalement secondaires.
Car que vaut l’affaire Benalla, barbouzes et compagnie, face aux millions d’Africains qui entendent chaque jour le signal d’associations criminelles qui leur expliquent qu’ils peuvent prendre la mer pour venir en Europe ? Rien, absolument rien. Mais le génie, leur génie à ces tenants d’un système qui se délite jour après jour, c’est de parvenir à nous occuper mentalement, à nous faire penser à tout, sauf à l’essentiel.
La Coupe du monde de football, l’affaire Benalla, les départs en vacances, et puis demain, une nouvelle affaire, un nouveau « divertissement », une nouvelle agitation corporatiste. L’aveuglement devenu presque volontaire des masses, totalement sous contrôle « démocratique » d’une petite oligarchie « républicaine ».
Et puis après demain, un autre Benalla deviendra ministre de l’Intérieur, pendant qu’un Dembele ministre de la Jeunesse et des Sports enseignera à nos jeunes qu’il est juste de construire des mosquées en République islamique de Mauritanie, pays régi par la loi islamique, dans lequel 1 % de la population serait en état d’esclavage. Et puis viendra le temps où la ministre « Obona » décidera de déposséder les blancs du pays de leurs terres, au nom du « préjudice » subi par tous les damnés de la terre durant des siècles et des siècles. Vous rigolez ? J’exagère ? Alors, repensez à ce qu’était la France il y a trente ans, et voyez ce qu’elle est devenue aujourd’hui, vous verrez bien que demain, tout est possible.
Ils n’auront pas voulu voir, ils n’auront pas eu le courage de réagir, quand d’autres auront œuvré à empêcher toute révolte populaire. Il sera alors sans doute déjà trop tard. À moins que… l’imprévu dans l’histoire…
Julien Dir.
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