Une étude publiée mi-juin 2025 par le Centre for Migration Control (Centre de contrôle des migrations) met en lumière un chiffre alarmant : les ressortissants étrangers ont représenté jusqu’à 34 % des condamnations pour agression sexuelle sur une femme en Angleterre et au Pays de Galles en 2024, alors qu’ils ne représentent qu’environ 10,9 % de la population.
Des données officielles préoccupantes
Les chiffres proviennent d’une demande officielle d’accès à l’information (FOI) adressée au Ministère de la Justice britannique, qui a extrait les données du fichier national de la police (Police National Computer). Les données concernent l’ensemble des condamnations pénales recensées sur l’année 2024, ventilées par type d’infraction et nationalité.
Sur les 1 453 condamnations pour « agression sexuelle sur une femme », 380 concernaient des ressortissants étrangers, auxquels s’ajoutent 118 individus dont la nationalité n’a pas été précisée. Ce dernier groupe, classé comme « inconnu », comprend très probablement une part importante de non-Britanniques, ce qui porterait la part étrangère totale jusqu’à 34,2 %. Même en ne retenant que les nationalités identifiées, les étrangers comptent pour 28,5 % des condamnations.
La répartition des nationalités les plus représentées dans cette catégorie donne la mesure du phénomène : Inde (38), Roumanie (27), Pologne (27), Pakistan (20), Afghanistan (19), Soudan (16), Bangladesh (14), Irak (12), Iran (12), suivis de plusieurs autres nationalités allant de 6 à 11 condamnations chacune.
En proportion de la population, cela donne un taux de condamnation pour agression sexuelle sur une femme de 5,75 pour 100 000 habitants chez les étrangers, contre 1,77 pour 100 000 chez les Britanniques. Soit une probabilité 2,24 fois plus élevée. Ajustée à la population en âge de travailler (16-64 ans), la probabilité reste 1,5 fois plus forte.
Viol de femme de plus de 16 ans : un quart des condamnés sont des étrangers
Le même déséquilibre se retrouve dans la catégorie des viols sur des femmes âgées de 16 ans et plus. Sur 720 condamnations en 2024, 155 impliquaient des étrangers, et 42 d’individus à la nationalité inconnue. Les Britanniques (Angleterre, Écosse, Pays de Galles) représentaient 72,6 % des condamnés.
Les nationalités les plus concernées pour cette infraction sont là encore Nigéria, Pakistan, Roumanie, Soudan, Afghanistan, Inde, Syrie, Albanie et Irak. En tenant compte des « inconnus », la part étrangère atteint jusqu’à 27,3 %des condamnations.
En termes de probabilité, cela se traduit par un taux de condamnation de 2,3 pour 100 000 pour les étrangers, contre 0,97 pour 100 000 pour les Britanniques, soit une surreprésentation de 142 %, réduite à 86 % après ajustement à l’âge.
1 118 condamnations étrangères pour infractions sexuelles en 2024
Au total, le Royaume-Uni a enregistré 7 874 condamnations pour infractions sexuelles en 2024, dont 1 118 impliquaient des étrangers et 614 des personnes à nationalité inconnue. Les étrangers représenteraient donc 15 % à 22 % des condamnés selon le mode de calcul.
Parmi les nationalités les plus fréquemment impliquées, on retrouve : Inde (100), Roumanie (92), Pologne (83), Pakistan (55), Afghanistan (43), Nigéria (40), Soudan (37), Bangladesh (34), Portugal (33), Iran (30), Irak (26), Italie (26), Lituanie (26), Syrie (25).
En proportion, le taux de condamnation des étrangers pour toutes infractions sexuelles confondues est 1,69 pour 10 000 habitants, contre 1,13 pour 10 000 chez les Britanniques, soit une surreprésentation de 48,7 %. Avec les nationalités « inconnues » incluses, l’écart grimpe à 130 %.
Ces chiffres sont rendus publics alors que le Centre for Migration Control lance une campagne auprès des parlementaires britanniques pour l’instauration d’une « red list » migratoire, à l’image de celle proposée récemment par le président américain Donald Trump. L’objectif : restreindre fortement l’accès au territoire pour les ressortissants des pays identifiés comme à risque élevé en matière de criminalité sexuelle.
Le Centre alerte également sur le fait qu’un nombre croissant de personnes nées à l’étranger ont désormais la nationalité britannique, faussant potentiellement les chiffres réels et minimisant la surreprésentation migratoire dans les infractions sexuelles.
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5 réponses à “Royaume-Uni. Jusqu’à un tiers des agressions sexuelles commises par des étrangers en 2024”
A force de laisser les portes du pays (quel qu’il soit) béantes, faudra bien t’adapter au us et coutumes de ces « nouveaux arrivants, Joseph !….
Bref, sans outrepasser les frontières de l’Europe, sincèrement, je n’ai plus confiance dans les Français de souche.
Et quand on plonge dans les lectures analysant les aspirations des partis politiques, et en particuliers les Gauchistes, il ne faut pas être grand Clerc pour se rendre compte que la France en tant que pays, est foutue.
Et parmi les condamnés Britanniques quel est le pourcentage de « Britanniques de papier »?
J’ai vécu en Angleterre, dans les Midlands, pendant plusieurs années, dans une petite ville dans laquelle un tiers de la ville était déconseillé (ou plutôt « mal coté » par des sites comme celui-ci https://streetscan.co.uk/ ) et j’avais des amis qui ont quitté la maison familliale de plusieurs générations exactement pour cela.
Ne pas ou lier de s’occuper des 2/3 restants qui sont perpétrés par des « locaux »…
Le book est la marque des individus non civilisés.
2/3 de non civilisés parmi les locaux, ça ne craint t pas un peu?
En tant que descendants des assassins de cent millions d’indiens entre 1881 et 1921, evidemment, cela ne surprend pas vraiment.
Et n’oublions pas qu’ils ont aussi couper les mains des tisserands indiens – excellents tisserands – pour placer la «daube » britannique…
Bref, la pomme ne tombant jamais loin de l’arbre, on reconnaît les américains à leurs conseillers britanniques 😂😂😂
Le viol – pas le book🤭
Ne pas ouBlier – et non « ou lier »…
Et en France, ça doit être ma même proportion, les mêmes causes produisant les mêmes effets.