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Ni santé, ni sécurité, malgré impôts, taxes et policiers en République française. Vers la Sécession ? [L’Agora]

Va-t-il falloir bientôt falloir faire sécession d’avec la République française ?

C’est la question que l’on se pose après l’abandon progressif des citoyens de ce pays par l’Etat, que ce soit dans les domaines aussi fondamentaux que ceux de la sécurité, de l’identité ou de la santé (et demain, de l’économie et du social ?)

À la base, cette République est née après que des hommes aient imposé artificiellement à des peuples différents de « vivre ensemble » via un contrat social (c’est à dire l’abandon, de gré ou de force, de souveraineté, d’identité, de traditions, pour rejoindre un ensemble plus grand et garant des fonctions régaliennes, c’est à dire de la sécurité, de la justice, de la monnaie, des finances publiques…).

Police, justice et gendarmes de moins en moins au service des citoyens

Les peuples qui ont ainsi été réunis l’ont fait (c’est le même principe finalement que l’Union européenne qui n’a jamais abouti au final, mais l’idée est la même), parce qu’ils acceptaient alors d’abandonner une grosse partie de leurs propres règles, de leurs propres codes, mais aussi de leurs frontières, pour permettre un épanouissement plus large dans un plus grand ensemble.

Aujourd’hui, l’explosion de la violence dans notre société (et de l’insécurité), couplée à une crise migratoire sans précédent et, enfin, à cette pandémie et à cette crise sanitaire aux conséquences économiques potentiellement désastreuses, remet totalement en cause ce « pacte républicain ».

Sur le plan de votre sécurité, dont vous concédez la gestion à l’État (ce qui explique que vous ne pouvez pas porter d’arme sur vous pour vous défendre), force est de constater qu’elle n’existe plus. Vous pouvez aujourd’hui crever sous les coups d’une racaille déchainée et mécontente d’un refus de cigarette. Racaille qui prendra au mieux 5 ans de prison, en fera 2 années et demie réellement, si ce n’est pas moins en fonction de la surpopulation carcérale et des décisions gouvernementales que beaucoup jugent laxistes en termes de Justice.

Vos enfants peuvent être agressés sexuellement par des individus qui circulent en toute illégalité sur un territoire parce qu’encore une fois l’État a renoncé à faire appliquer votre droit à être « préféré » aux autres et à ne pas être mis sur un plan d’égalité avec l’étranger (le principe d’un État souverain est pourtant défini notamment par son caractère discriminant, qui définit qui est citoyen et qui ne l’est pas, qui a des droits, qui n’en a pas…).

L’actualité nous rappelle que non seulement ils peuvent être agressés, mais aussi assassinés sous les yeux de leurs parents par des personnes qui n”ont rien à faire sur notre sol, comme à Romans sur Isère, samedi, quelques jours après que des députés aient, hasard du calendrier, plaidé la régularisation de dizaines de milliers d’immigrés clandestins présents sur notre sol…

On vous interdit de conduire à une vitesse excessive, ou de vous déplacer d’un point A à un point B en période de confinement par exemple, sachant que les contrôles de police sont moindres dans certains quartiers qui ne sont plus sous contrôle (sécession de fait et abandon de l’Etat donc, qui engendre une discrimination selon que vous soyez un bon payeur de la ruralité ou un délinquant de banlieue…). On  vous interdit de vous réunir là où pour d’autres, on ferme les yeux.

La presse mainstream et les collabos qui gouvernent peuvent hurler aux amalgames et aux raccourcis faciles : dans les faits, vos enfants ne sont plus en sécurité dans certaines métropoles. Ils font attention quand ils quittent un bistro, un restaurant ou une boîte de nuit (comme à Nantes). Les femmes se sentent de moins en moins rassurées, d’autant plus lorsqu’elles circulent avec des hommes à qui on a tout appris sauf à se défendre et à protéger. Dans les faits, les contrôles de police et de gendarmerie, c’est à dire ceux qui initialement portent les armes que vous leur avez concédées pour vous protéger (c’était le principe de la chevalerie d’ailleurs…) se mettent à s’acharner sur vous (en manifestation, en voiture, en entreprise lorsque la police fiscale vous harcèle…) plutôt que sur l’autre (le délinquant, le dealer, le mafieux, le fraudeur fiscal à grande échelle, le voleur, l’étranger indésirable…)

Aujourd’hui, outre la sécurité, vous vous rendez compte que votre santé n’est même plus garantie.

Il faut se rendre à l’évidence. Imaginez ce bougre de 79 ans, qui a payé toute sa vie son contrat de vivre ensemble et son droit à être protégé et soigné, via la TVA (taxe sur la valeur ajoutée), via l’impôt sur le revenu, via toutes les charges auxquelles vous devez vous astreindre, que vous soyez salarié, entrepreneur ou simplement consommateur… Il a payé toute sa vie, pour aujourd’hui s’entendre dire, en pleine pandémie de coronavirus, qu’il ne pourra pas bénéficier d’un respirateur artificiel, parce que trop vieux. Parce qu’ayant déjà d’autres maladies, et qu’il faut faire le tri parmi les malades.

Il va crever. D’autres vont crever. Parce que l’Etat, une nouvelle fois, celui à qui vous ne cessez de payer au quotidien parce que vous pensez qu’il s’occupe et s’occupera de vous, a décidé de vous abandonner. Parce qu’il n’a plus d’argent. Parce qu’il n’a pas prévu. Rien prévu. Pas de masque. Pas de respirateurs. Pas assez d’infirmières ou de médecins. Obligé d’en faire venir d’autres régions (d’autres pays toute l’année). Pas assez de lits de réanimation. Pas assez de moyens, techniques, humains.

Mais bordel, réveillez-vous ! Vous êtes en droit d’aller saisir ceux qui nous dirigent par la gorge et de leur demander : « Où sont mes sous. Où est l’argent que je vous ai donné toute ma vie ? ».

Pendant que nos soignants font le tri parmi ceux de nos concitoyens qui vont mourir ou pas, nos dirigeants vont accueillir une partie des 1500 migrants mineurs isolés bloqués en Grèce. Ils vont les loger, les nourrir, comme ils le font déjà avec des centaines de milliers (des millions ?) d’individus qui n’ont strictement rien à faire à l’intérieur de nos frontières (à Calais, au nord de Paris, dans tous les CRA, CADA et autres acronymes soviétiques qui pullulent dans ce pays), car n’étant pas inclus dans notre choix de « vivre ensemble ».

Pour eux, il y a toujours de l’argent. Pour les nôtres, pas moyen de réquisitionner y compris des industriels  prévoyant de délocaliser, pour les obliger (économie de guerre oblige ?) à fabriquer  des p….. de respirateurs artificiels !

Je le dis, je le répète, tout est une question de volonté politique dans ce pays. Ils ont l’argent pour payer votre chômage, pour payer (quelque temps seulement) vos pertes énormes liées à la crise sanitaire. Ils vont s’endetter (avec votre argent, auprès de banques sans scrupule que les États passent leur temps à sauver). Ils vont payer, arroser, pour acheter la paix civile, la paix sociale. Comme ils savent le faire. Ils ne contrôlent pas les dealers à Marseillle qui sont dans les rues « pour ne pas embraser les quartiers ». Ils renoncent à certains endroits de ce pays là où ils n’hésitent pas à s’acharner sur d’autres. C’est un État voyou. Faible avec les forts, fort avec les faibles. Et vous l’acceptez encore, pensant réellement que ces gens viendront vous aider et vous sauver !

Certains, même avec une femme massacrée à la Kalach, un soir de concert,  par des Français de papier que l’État français a permis d’enfanter, parviennent encore à déclarer « Vous n’aurez pas ma haine », c’est dire le niveau de soumission que nous avons atteint, c’est vrai…

À bas la République française !

Récapitulons, amalgamons même pour horrifier donneurs de leçons et communicants qui devront de toute façon rendre des comptes un jour, devant le tribunal des Hommes. La République française, c’est un des pays dans le monde qui prélève le plus de taxes et d’impôts, et dont le système de santé craque à la première grande crise sanitaire qui arrive. C’est devenu par ailleurs un pays dans lequel vous pouvez crever pour un simple regard, un vêtement, une cigarette, vous faire violer parce que les droits de l’homme ont permis à la différence culturelle de venir vous enrichir profondément. Une République dans laquelle les gens d’armes sont payés, non plus pour protéger la veuve et l’orphelin, mais pour protéger les institutions qui se reproduisent entre elles depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Sur plusieurs décennies, ça aboutit à Sibeth Ndiaye, Marlène Schiappa et Emmanuel Macron…. qui ne sont que les conséquences d’une rupture bien plus lointaine….

Et vous allez continuer à payer sans rien dire et à vous inquiéter pour l’avenir sécuritaire, identitaire, économique de vos enfants ? Bon, il est vrai que maintenant, ils peuvent changer de sexe s’ils le veulent, se sentir homme, chèvre, ou choux-fleurs et manger végane à la cantine, donc de quoi se plaint-on …

Mais jusqu’à quand allons-nous supporter cela ? Sommes-nous tombés si bas ? N’avons-nous plus la moindre défense immunitaire, le moindre esprit de fronde face à ce qui relève d’une escroquerie gigantesque et terrifiante ? Allons-nous les laisser nous tuer ou nous faire tuer sans réagir ?

Il est temps de faire Sécession d’avec cette République française, poubelle du monde, honte des hommes conscients. Sécession dans sa tête d’abord, puis dans les actes ensuite. Ne comptez pas sur elle pour vous protéger, pour vous soigner, pour rendre la justice équitablement en votre nom, pour assurer votre prospérité économique et sociale.

Il va falloir apprendre à se comporter, à raisonner, puis à agir, en hommes libres et indépendants ! Ce n’est plus le drapeau tricolore qu’il faut agiter, mais le drapeau de nos régions couplé avec le drapeau de leur confédération !

À bas la République française ! Vive la République des hommes libres de Bretagne, de France et d’Europe !

Julien Dir

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