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L’islam, cancer du mouvement ouvrier ? Affirmatif répond Patrick Loiseau, militant trotskiste [Interview]

Les éditions Riposte Laïque publient un livre intitulé L’islam, nouveau cancer du mouvement ouvrier, écrit par Patrick Loiseau, militant trotskiste de la première heure, né en 1953 et qui a milité toute la seconde moitié du XXe siècle dans les rangs de la gauche radicale ouvrière.

Voici la présentation de l’ouvrage par l’éditeur :

Le mouvement ouvrier, du moins sa représentation actuelle et que les media appellent aujourd’hui « la gauche » ou « l’extrême gauche », est miné par une relation équivoque, plus ou moins inconsciente, avec l’Islam qui le rend de plus en plus impropre, de par l’aveuglement que cette relation engendre, à préserver réellement tous les acquis de la révolution française, ceux de la lutte contre l’obscurantisme et l’exploitation et, au bout du compte, à se rendre complice de la désintégration progressive par l’islam de notre histoire, de nos valeurs d’émancipation des individus et de nos acquis culturels. La loi de 1905 sur la laïcité est elle-même menacée de disparition dans les prochaines années…

Cette contribution d’un militant ouvrier, syndicaliste, marxiste et membre de la quatrième Internationale pendant une quarantaine d’années, résolument « islamophobe » au sens littéral du terme, n’a pas d’autre but que d’aider les militants ouvriers, soucieux de poursuivre le chemin historique de nos anciens, à combattre ce nouveau danger mortel que représente l’islamisation de notre pays et des autres pays frères où les travailleurs et les intellectuels ont dorénavant à composer lutte contre le capitalisme et lutte contre le féodalisme islamiste. Deux nécessités historiques mais un combat à mener dans le même temps et avec la même énergie.

Le livre est intéressant, car il s’agit du regard d’un militant qui, durant des décennies, la gauche chevillée au corps, a milité pour les droits sociaux, et a été de toutes les luttes sociales. Pas vraiment le « militant d’extrême droite », qualificatif dont adore affubler la presse mainstream quiconque profère des idées jugées « dissidentes ». Un militant qui n’hésite pas à confronter les textes de Lénine, de Marx notamment, à nos actualités, et notamment à la montée de l’Islam (et de l’islamisme) en France, mais également à son imbrication via certaines têtes de pont dans le mouvement social.

Pour discuter de cet ouvrage, nous avons interrogé Patrick Loiseau, par ailleurs breton par sa mère.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs et revenir sur votre parcours politique ?

Patrick Loiseau : Bonjour à vous, je suis retraité depuis peu après une vie où j’ai exercé des métiers assez divers, tels qu’ajusteur, fraiseur, conseiller d’orientation professionnelle et professeur contractuel de français. Plus ou moins autodidacte mais passionné par les études et la recherche, j’ai eu le souci de mêler cette autodidaxie naturelle à la volonté d’acquérir les diplômes correspondant à ces qualifications : à 19 ans j’avais un Bac B et un CAP d’ajusteur-mécanicien, à 59 ans j’obtenais mon master de Lettres modernes. Cela n’a évidemment guère d’intérêt si je n’ajoute pas que j’ai un profond respect pour l’école publique, celle de l’enseignement libre et gratuit que d’aucuns voudraient « réformer » jusqu’à en détruire l’essentiel : la possibilité pour un individu d’accéder à la connaissance et à l’émancipation.

J’ai toujours été syndicaliste (FO ou CGT) et suis toujours membre d’un parti politique (le POID, Parti ouvrier indépendant et démocratique, issu de l’ancien Parti des travailleurs). Je milite pour la rupture avec l’Union européenne, cause de la plupart de nos problèmes et de nos impuissances politiques, et contre les plans anti-ouvriers mis en œuvre par les gouvernements successifs de la Vème République depuis 1983.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené à écrire ce livre ? N’y allez-vous pas un peu fort en qualifiant une religion, l’islam en l’occurrence, de « cancer » ?

Patrick Loiseau : Je n’ai pas vraiment fait exprès d’utiliser ce mot mais finalement il convient très bien à la situation… En 1920, Lénine traitait des travers de certains communistes qui refusaient d’utiliser le terrain des élections et les syndicats pour construire le parti révolutionnaire : il a alors commis un livre qu’il intitula La maladie infantile (le gauchisme) du communisme. En 1938, dans un article intitulé « L’éducation de la jeunesse révolutionnaire », Léon Trotsky disait : « L’ennemi principal dans nos rangs demeure bien entendu l’opportunisme, surtout sous sa forme la plus pernicieuse, le stalinisme, cette syphilis du mouvement ouvrier ». Et aujourd’hui, face à l’islamisation progressive de la France et au déni qu’opposent la plupart des organisations dites ouvrières et démocratiques pour s’y opposer, j’utilise le mot « cancer ». Je le répète, ce n’est pas exprès.

Mais cela signifie tout de même, dans ces trois situations, qu’il existait un corps sain, le mouvement ouvrier, avec ses outils, ses traditions, ses instruments de combat, qui fut attaqué par la maladie ; il s’agit alors, pour tout militant sérieux, de lutter contre elle. Et le mot « cancer » n’est pas exagéré parce qu’aujourd’hui ce qui est en cause c’est l’existence même de l’aile gauche de la démocratie, c’est-à-dire le mouvement ouvrier. Sans avant-garde saine, instruite et combative, il ne peut y avoir de victoire de la classe ouvrière (les travailleurs, dans le sens large) contre le capitalisme. Les syndicats courront à leur perte si les revendications religieuses et la ségrégation entrent en leur sein. Par suite, du fait du communautarisme et de la disparition du noyau dur de la laïcité, c’est l’opposition des clans et des tribus qui se mettra en place, tuant dans l’œuf l’universalisme et tous les principes républicains nés de la révolution de 1789. Et puis ce sera la guerre civile. Inéluctable si la gauche républicaine et laïque ne parvient pas à vaincre ce cancer.

Breizh-info.com : Une certaine gauche estime que l’islam est la religion du mouvement ouvrier, la religion des nouveaux damnés de la terre qui sont légions en Europe et en France. Ce n’est donc pas votre avis ? Peut-on encore d’ailleurs parler, dans notre société essentiellement de services, d’un mouvement ouvrier ?

Patrick Loiseau : L’islam est sans doute pour les pauvres et aussi pour ceux qui n’ont pas eu accès aux bienfaits de la culture et aux enseignements de la science d’un certain secours ; c’est vrai aussi pour la religion catholique, particulièrement dans les pays d’Amérique latine. La religion, la mystique, je dirais même, sans vouloir être méchant, la fable du père Noël, permettent de faire rempart à la misère parce que l’on peut croire à quelque chose de supérieur. La religion n’est pas à condamner en soi ; chacun a le droit de s’inventer le jouet ou l’armure qu’il veut. Je suis athée mais les croyances religieuses de l’autre ne me gênent en rien. Le problème, le gros problème, c’est quand des hommes ou des femmes imbu(e)s d’une religion veulent vous l’imposer d’une façon ou d’une autre… ce fut le cas en France avec le catholicisme avant la loi de 1905. C’est aujourd’hui le cas avec l’islam par le biais d’émissaires et de prosélytes de plus en plus en plus nombreux et de plus en plus vindicatifs.

Venons-en à ce concept de « mouvement ouvrier » que vous semblez trouver obsolète… J’ai travaillé moi-même dans une société de « services », en l’occurrence chez Solocal Group (Pages Jaunes et sites internet)… où la « culture d’entreprise » prétendait opposer les concepts de la société dite « moderne » à la vieille société dont j’étais un éminent représentant : les chefaillons aux ordres qui interdisaient aux employés de parler pendant le travail n’étaient pas « contremaîtres » ou « chefs d’équipe » : ils étaient des « team leaders » et nous nous étions des « collaborateurs » ; mais nous étions tous payés au SMIC quelles que soient nos qualifications et certains en étaient à leur 16ème année d’intérim ! Les panneaux syndicaux règlementaires étaient cachés par des affiches de propagande du genre « nous sommes une famille » ou par d’affreuses plantes vertes… C’était en 2012. Il y a quelques semaines, à Angoulême, ils étaient à 40 % en grève contre les conditions de travail inacceptables ! Ce mouvement spontané de travailleurs, pour qu’il devienne un mouvement ouvrier, ne manquait que de dirigeants expérimentés et combatifs. Pour le fond, 1974 et la création de ma première section syndicale ou 2020 à Angoulême, c’est du pareil au même. La seule chose qui ait changé, ce n’est pas l’exploitation des salariés, c’est la force syndicale et l’état d’esprit général.

Breizh-info.com : Vous semblez particulièrement attaché à la notion de laïcité. Mais aussi de droits de la femme. Quel est le rapport avec l’islam, mais surtout avec le mouvement ouvrier ?

Patrick Loiseau : Les droits de la femme sont inséparables des « droits de l’homme » dans le sens où homme et femme sont également exploités et exposés aux exigences de profit de la société capitaliste. Ils souffrent des mêmes fers et des mêmes discriminations. L’égalité des droits entre homme et femme, dans le mouvement ouvrier, ne se discute même pas ; il ne s’agit pas de « féminisme » au sens strict du terme ; il s’agit simplement de protéger le travailleur – homme ou femme – dans toutes ses spécificités ; c’est ainsi que le syndicaliste se battra pour que le travailleur handicapé puisse accéder à un poste de travail compatible avec son handicap, pour que l’ouvrière ou l’employée ait exactement le même salaire que son homologue masculin tout en lui donnant la possibilité d’avoir des temps de repos particuliers en cas de règles douloureuses ou de pouvoir accéder à une crèche d’entreprise si elle a des enfants, etc. Je le répète, ceci n’est pas une « différence de droits » comme certains se (com)plaisent à le dire mais bien une égalité de droits devant la dureté du travail. Par ailleurs, pour un militant ouvrier, les droits de la femme ne se conçoivent pas comme des droits individuels arrachés par une telle ou une telle face à un agresseur ou face à un homme mais bien comme des droits collectifs arrachés pour toutes les femmes par le mouvement ouvrier mixte.

Le rapport à l’islam, c’est que l’islam, qui se définit pour les musulmans par la seule écriture du Coran, n’a ni position « féministe » ni position « ouvrière » ni même le moindre respect pour la femme. La femme est sujet de l’homme (elle est exclue des débats avec les hommes), de ses humeurs (il peut la battre s’il estime que c’est nécessaire), elle « vaut » moins que lui (l’homme hérite de deux fois plus de biens qu’elle) et elle doit cacher son corps au regard des autres hommes : l’origine du voile et de la burqa vient de là.

La laïcité, en France, a deux articles, l’un qui permet la liberté de conscience, l’autre qui stipule la séparation complète entre l’État et les cultes : « L’État ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ». L’islam étant une religion particulière puisqu’elle développe une idéologie politique (la lecture du Coran est édifiante en ce sens) passe par-dessus ces deux principes puisqu’il ne permet pas la liberté de conscience, en condamnant l’apostasie, et qu’en plus il prétend opposer la justice islamique à la société civile. Jusque vers les années 80, le Rubicon n’était pas franchi parce que la loi laïque était plus ou moins respectée. Depuis l’affaire de Creil (les jeunes filles voilées à l’école) et le reniement de la laïcité opéré par Jospin et ses alliés socialistes, l’islam « politique » avance au même rythme que la laïcité recule, avec la complète complicité de la plupart des partis se réclamant de la « gauche » (PC, PS) ou de l’extrême gauche (NPA, LFI).

Breizh-info.com : Le Hamas, en Palestine, est particulièrement populaire auprès de la population la plus pauvre. Peut-on le qualifier de mouvement islamiste ouvrier ?

Patrick Loiseau : Le Hamas a pu pousser sur le terrain d’une terre dévastée d’abord par la première partition du pays en 1948, qui a engendré la guerre fratricide entre Arabes et Juifs, puis par la seconde, dénommée « Accords de paix », signés à Oslo en 1993 sur le dos du peuple palestinien à qui seuls 22 % du territoire étaient concédés, territoire divisé lui-même entre Gaza et les bantoustans de Cisjordanie. C’est cela le véritable point de départ historique d’une réalité génératrice de toutes les religions : la non-possibilité des peuples de disposer d’eux-mêmes. Arafat et l’OLP, laïque et révolutionnaire, se sont couchés devant les accords d’Oslo, tournant le dos à l’exigence d’un État uni avec ses composantes juive et palestinienne. La crise politique du pseudo État palestinien, renforcée par la mort d’Arafat en 2004, a ouvert la voie à la victoire du Hamas aux élections de 2006 parce qu’il n’existait aucune autre force capable de guider les masses palestiniennes vers une unification du pays.

Le Hamas, malgré un changement tactique en 2017, consistant à reconnaître les frontières de 1967, donc acceptant finalement le principe de partition du pays, reste une organisation prônant la charia et restant fidèle aux principes des Frères musulmans ; sa popularité est relative puisque le Hamas ne « contrôle » que les 2/5 de la population palestinienne. La charte du Hamas, proclamée en 1988, ponctue ses 36 articles de propos guerriers et religieux, ne laissant aucune marge d’interprétation permettant d’en faire une quelconque organisation du mouvement ouvrier, même en rajoutant « islamique » au bout… D’ailleurs, l’un de ces articles, consacrés à ses alliés, proclame que « [Le Hamas] les encourage tant qu’ils ne font allégeance ni à l’Orient communiste ni à l’Occident croisé »

Breizh-info.com : Le trotskisme n’est-il pas simplement et finalement totalement dépassé eu égard à l’évolution de nos sociétés occidentales ?

Patrick Loiseau : Que l’on oublie l’histoire et l’impact extraordinaire de certains hommes dans l’évolution d’une transition démocratique ne signifie pas que les problèmes d’aujourd’hui ne soient pas identiques à ceux de l’époque de Trotsky. Il suffit de lire le Programme de Transition (1938) pour s’en convaincre. Qu’est ce qui a « évolué » aujourd’hui si ce n’est, peut-être, les techniques et le regard presque enfantin de ceux qui se pâment devant leur smartphone et les « applis » des start-up ? Le genre humain n’a guère évolué, les mentalités ont même régressé d’un certain point de vue. Les guerres sont toujours là, la barbarie aussi. Il y a de plus en plus de pauvres. La planète s’asphyxie. Les animaux souffrent du prétendu « progrès » de l’homme, etc. Il faut précisément revenir aux sources, c’est-à-dire construire une société acceptable par tous.

Enfin, il faudrait se poser la question : qu’est-ce que le trotskysme ? Le connaît-on assez pour pouvoir en parler aisément ? Que signifie t-il aujourd’hui ? … En ce qui me concerne, il symbolise surtout une indéfectible confiance dans le mouvement des masses et une totale indépendance vis-à-vis des « modèles » gouvernementaux actuels et de leurs vitrines idéologiques, y compris les appareils syndicaux. Le trotskysme, comme instrument moderne du mouvement ouvrier, a su mettre à bas tous les pièges tendus par le stalinisme, le réformisme, les illusions petites bourgeoises nihilistes ou doctrinaires… La pensée de Léon Trotsky est un mélange de culture authentique et de méthode pour agir ; on peut dire que c’est une philosophie intransigeante sur la qualité du discours et naturellement émancipée de tous les dogmes et lieux communs. C’est une philosophie libre et indépendante qui s’est construite sur toutes les trahisons des pensées politiques prétendant parler au nom des travailleurs : d’abord le stalinisme, caste bureaucratique qui a usurpé à son seul profit les acquis de la révolution d’octobre 17, le social-réformisme des prétendus « socialistes » qui continuent aujourd’hui encore de pérenniser le système capitaliste, et même les chapelles anarchisantes ou petite-bourgeoises qui prétendent pouvoir accoucher d’un « nouveau monde » sans se donner la peine et la patience de construire une force reconnue par la majorité.

Trotskysme, marxisme, léninisme, on peut à la rigueur faire œuvre de toilettage et en oublier les mots. Mais leur quintessence reste celle-ci : quel monde veut-on construire et selon quelle méthode ?

Je les ai exposées en partie dans vos deux premières questions. C’est la nature et les objectifs des organisations ouvrières, démocratiques et/ou syndicales qui seraient fortement impactées par la progression des thèses islamistes et des revendications musulmanes. Notre société, qui est avant tout une société basée sur des droits, des acquis sociaux, sur la liberté individuelle et sur des principes d’égalité, en pâtirait jusqu’à l’agonie. C’est une autre « civilisation » qui se substituerait à la nôtre : nous pourrions devenir, sans réaction de notre part, une société aux techniques « modernes » mais dont nos pieds tremperaient dans les boues de la féodalité.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

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3 réponses à “L’islam, cancer du mouvement ouvrier ? Affirmatif répond Patrick Loiseau, militant trotskiste [Interview]”

  1. PL44 dit :

    On aurait pu dire que le stalinisme (le bolchevisme plus généralement) était le cancer du mouvement ouvrier dans la mesure où il était né dans ce milieu. Par contre, rien n’a jamais apparenté de près ni de loin l’islam au mouvement ouvrier. Dans les années 70, l’extrême gauche considérait à juste titre les musulmans comme des peuples opprimés mais sans jamais penser que l’islam était plus progressiste que le christianisme. Elle soutenait les républicains irlandais mais jamais le catholicisme.
    Les lambertistes n’ont qu’une parenté lointaine avec le mouvement ouvrier, c’est “un idéal qui a échoué, une PME qui a réussi”. Le moins que l’on puisse dire est que la Bretagne n’est pas leur kiffe (“langues régionales, non merci”).

  2. Freychet JH dit :

    Le trotskisme et le marxisme ne sont pas compatibles.

  3. LOISEAU dit :

    D’accord en partie avec toi, PL44… Reste quand même que j’ai fait trois séjours en Irlande et que je me suis personnellement toujours senti très proche de l’INLA… peut-être mes racines celtiques !… J’ai même essayé d’apprendre le breton (j’essaie toujours !).
    Quant à ce que tu dis, JH, tu m’excuseras mais opposer marxisme et trotskysme ça n’a aucun sens ! On doit sûrement avoir des différences de définition dans les termes. Un seul livre à lire pour faire la différence entre marxisme et stalinisme (qui n’est pas un bolchévisme !): “Défense du marxisme (URSS, marxisme et bureaucratie)” de Léon Trotsky. Je me souviens encore d’en avoir annoté la quasi-totalité des pages quand j’étais un jeune militant…

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