Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Immigration. Debout la France demande aux collectivités territoriales bretonnes de cesser de financer SOS Méditerranée

Dans une tribune publiée par Franceinfo le 21 janvier, 28 collectivités apportent leur soutien à SOS Méditerranée. Parmi lesquels les départements de Loire-Atlantique, d’Ille-et-Vilaine et du Finistère, le conseil régional de Bretagne ainsi que de la métropole rennaise.

Le Finistère et l’Ille et Vilaine ont annoncé une subvention de 50 000 euros chacun en décembre dernier. La Loire Atlantique a annoncé donner à SOS Méditerranée pas moins de 500 000 euros en juillet 2019, ce qui constitue une véritable taxe sur l’immigration imposée aux contribuables, ce que dénonce Debout la France, le parti de Nicolas Dupont-Aignan, par la voix de Régis le Gall, porte-parole du mouvement en Bretagne, dans un communiqué adressé à la presse dont voici des extraits :

« En agissant comme ils le font, les élus des collectivités citées commettent nombre de fautes à l’égard de leurs concitoyens :

Ils trahissent l’esprit des élections qui les ont amenés au pouvoir.

Ces sont les enjeux locaux qui président aux choix effectués lors des élections municipales, départementales et régionales. La première pensée de l’électeur dans l’isoloir lors de ces événements n’est évidemment pas tournée vers les questions migratoires. Lorsque l’on sait à quel point ces dernières font aujourd’hui débat, il paraît évident que le bulletin de vote n’est pas un blanc seing donné aux élus locaux pour agir comme ils le souhaitent sur ce sujet.

Ils outrepassent leur rôle

L’action sociale fait heureusement partie du champ des compétences des types de collectivités. Elle est même la préoccupation essentielle des départements, mais il va cependant de soi que cette action doit d’abord être tournée en direction des habitants des collectivités Nous n’ignorons pas que l’article L1115-1 du code général des collectivités territoriales autorise désormais à nos élus locaux de subventionner des actions humanitaires internationales. Il nous semble cependant évident que ce type de décision doit être prise à titre exceptionnel pour des actions qui ne font pas l’objet de débat.

Ils aident une association dans les pratiques sont contestées

Il y a un peu plus d’un an l’ancien ministre de l’intérieur B. Castaner lui-même exprimait publiquement ses doutes sur les liens qui pourraient exister entre SOS Méditerranée et les passeurs. Ces questions ont déjà plusieurs fois été exprimées par la Justice italienne. En l’absence d’enquête approfondie, rien ne permet de démontrer le fondement de ses soupçons mais il demeure évident que la présence d’un navire de SOS Méditerranée facilite le travail des filières criminelles. Les interventions de l’Ocean viking se font en général suite aux appels lancés par Alarm phone un numéro que les migrants peuvent utiliser pour être récupérés en mer. Ce système ne peut qu’inciter les candidats au départ à prendre le risque de la traversée.

Ils soutiennent une famille de pensée qui instrumentalise le droit international pour faciliter le développement des réseaux criminels de trafics de migrants

SOS Méditerranée communique en indiquant agir pour faire respecter le droit de la mer qui impose aux navires de récupérer les naufragés. Ce légalisme affiché n’a pour but que de se protéger de leurs adversaires qui présentent l’association comme des partisans du « no-border » souhaitant par tous les moyens aider les migrants dans leur quête. Cette couverture ne saurait tromper le citoyen doté d’un esprit critique. Faire passer pour des « nauffragés » des hommes et des femmes qui n’ont pas vu couler leur navire est une curieuse extension du mot. Le droit de la mer n’a jamais prévu de tels cas. On soulignera d’ailleurs la faute de SOS Méditerranée qui en faisant dire au texte plus qu’il ne dit incite des personnes à prendre la mer et mettre leur vie en péril.

Debout la France Bretagne dénonce comme chacun sait la gestion de l’immigration dans notre pays et au sein de l’Union européenne. Son développement est un profond facteur de division de notre nation fragilisée par des communautarismes qu’il ne fait que renforcer. Il favorise la montée d’un sentiment d’injustice dans l’esprit des classes populaires qui ne comprennent pas pourquoi les pouvoirs publics ne se concentrent pas d’abord sur le sort de leurs ressortissants en difficulté. Il fait naître fautivement des espoirs de vie meilleure pour les habitants de l’autre côté de la Méditerranée alors que la crise de notre système économique et social rend extrêmement difficile leur intégration.

Ajoutons que SOS Méditerranée n’a nullement besoin des subsides des pouvoirs publics pour fonctionner. Qui se donnera la peine d’inspecter leurs comptes constatera que leur budget croit d’année en année et que leur financement repose à plus de 90 % sur des dons privés (citoyens, associations et entreprises).

Les collectivités locales doivent rester à leur place. Les politiques migratoires ne peuvent être décidées qu’au seul niveau légitime : l’échelon national »

Les élections régionales se transformeront-elles aussi en un référendum sur l’immigration, eu égard du fait que la collectivité utilise l’argent des impôts et des taxes pour faire venir et maintenir sur le territoire de plus en plus de migrants ? Réponse dans quelques mois…

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

4 réponses à “Immigration. Debout la France demande aux collectivités territoriales bretonnes de cesser de financer SOS Méditerranée”

  1. jessax56 dit :

    les élus qui octroient ces subventions sont des criminels qui encouragent la traite d’êtres humains.
    les bateaux qui vont extraire ces pauvres gens de leurs pays ne sont que des négriers qui devraient être arraisonnés et les équipages traduits devant la Cours Européenne de Justice car leur trafic équivaut à un génocide.

  2. Débris dit :

    Ces élus feignent d’aider des humains déserteurs (parmi les plus dégourdis d’entre eux) alors qu’ils ne font qu’assurer le SAV de passeurs, avant de les livrer à la rue, à la délinquance et aux autres risques aussi grands qu’ils prendront en tentant de traverser la Manche pour rejoindre la Grande Bretagne.
    Je les invite à lire ce mot de Camus
    ” Le mal qui est dans le monde vient presque toujours de l’ignorance, et la bonne volonté peut faire autant de dégâts que la méchanceté, si elle n’est pas éclairée”
    Et d’entendre C. Castaner qui lui, savait
    https://youtu.be/K-XrKJL0THA

  3. Occidentale dit :

    Classe politique scélérate d’une générosité clientéliste machiavélique avec l’argent détourné du contribuable mettant en péril notre Société occidentale par l’intrusion de hordes inadéquates de jeunes hommes barbares chariatiques, et entretenus.
    §
    Et pendant cela, dans cette Société Française maltraitée, ses étudiants font la queue à la soupe populaire.

  4. maryvonne le flem dit :

    Une seule solution, aux régionales, votons FN, il doit passer….une chance supplémentaire d’aider nos étudiants!!! On connaît la clique à Le Drian.

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

Immigration, International, Politique, Sociétal

Immigration clandestine. Le Conseil de l’Europe au secours des ONG pro-migrants

Découvrir l'article

Immigration, International

SOS Méditerranée. Des garde-côtes libyens auraient ouvert le feu sur l’ONG pro-migrants… qui débarque de nouveaux clandestins en Italie [Vidéo]

Découvrir l'article

DOUARNENEZ

Retour sur la conférence de SOS Méditerranée à Douarnenez

Découvrir l'article

Immigration, Tribune libre

SOS Méditerranée : de la puissance du story telling [L’Agora]

Découvrir l'article

A La Une, Sociétal

Immigration et financement des O.N.G. : vers une jurisprudence SOS Méditerranée ?

Découvrir l'article

LORIENT

«Pas de questions embarrassantes» : Un lycée de Lorient invite une association immigrationniste sans possibilité de débattre

Découvrir l'article

Immigration, Local, RENNES

La ville de Rennes accorde une subvention de 14 000€ à SOS Méditerranée

Découvrir l'article

Immigration, International

Italie. Le gouvernement Meloni autorise le débarquement de plus de 100 clandestins supplémentaires

Découvrir l'article

A La Une, Sociétal

Immigration. La Bretagne a fourni 40 % des subventions françaises à SOS Méditerranée en 2021

Découvrir l'article

Sociétal

Procès de SOS Méditerranée vs Génération Identitaire : un rappel des faits

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky