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Immigration, violences, exactions, drogues…Combien de temps allons-nous rester sans réagir ? [L’Agora]

En deux semaines, deux meurtres en Bretagne. L’un à Plomelin, où un habitant de Quimper, âgé de 20 ans, s’est fait poignardé par deux migrants en situation irrégulière au cours d’une soirée rap. L’autre à Carantec, où un jeune est mort, manifestement des suites d’une sombre affaire, une de plus, liée à la drogue, à son trafic et à sa consommation.

Combien de temps allons-nous rester bras croisés, sans réagir, alors que les violences, les exactions, les trafics de drogue en tout genre explosent en Bretagne ? La République française est en train de déverser sur la Bretagne absolument tous les maux qui font de l’hexagone un ghetto géant, où l’on meurt dans le silence judiciaire et médiatique pour à peu près tout et n’importe quoi.

Les élus (qui ne sont pas « nos élus » puisqu’élus par des minorités) s’inquiètent de l’abstention. Mais sont-ils déjà allés dans cette campagne bretonne où la drogue fait des ravages, y compris la drogue dure, parce que ces mêmes élus, ces responsables associatifs, ces champions de la « tolérance » ont permis à des dealers de se multiplier, et de s’emparer de pans entiers de la Bretagne pour y semer la mort, pour y semer la guerre, alors que ces individus, qui sont des dealers, donc des assassins, devraient être définitivement mis hors d’état de nuire par n’importe quel État réellement soucieux de la sécurité et de la santé de son peuple. Rétablissez la peine de mort pour les trafiquants de drogue, à tous niveaux. Et faite des exemples. Et vous verrez qu’ils seront tout de suite moins nombreux les candidats au chouf et au deal. Et que nos campagnes comme nos villes seront sans doute moins empoisonnées qu’elles ne sont en train de l’être aujourd’hui.

Et surtout, crachez bien au visage de ceux qui évoquent des « salles de shoot » et des ateliers de prévention contre la drogue. Si aujourd’hui la drogue ravage tant nos sociétés, c’est aussi et surtout grâce à ces complices de ce crime sanitaire.

Encore une fois, l’élimination des dealers devrait être une question de santé publique pour un État qui respecte son peuple. Il n’en est rien. C’est pourtant à vous, lecteurs, citoyens, d’interpeller vos élus. De leur faire comprendre fermement qu’ils sont là pour s’occuper de ce fléau. Pour le traiter de manière radicale. Parce que nous ne pouvons plus supporter de voir des gamins qui sombrent totalement dans les drogues, pendant que d’autres meurent sous les balles des règlements de compte et des dettes non payées.

Nous ne pouvons plus supporter, par ailleurs, de voir chaque jour les conséquences de l’immigration en train de dévaster notre bien vivre ensemble. Oui bien entendu, tous les migrants, tous les immigrés, ne sont pas des délinquants en puissance. Personne n’a jamais dit cela d’ailleurs. Mais la proportion de délinquants, bien plus importantes dans ces catégories que parmi les autochtones, devrait à elle seule suffire à stopper tous les flux migratoires, à empêcher à toutes ces populations de s’installer chez nous, et souvent à nos frais. N’applique-t-on pas à longueur de journée le fameux « principe de précaution » ? Pourquoi, alors que les exactions impliquant des migrants se multiplient, ne pas appliquer également ce principe de précaution concernant l’immigration ?

Parce qu’il y a beaucoup trop de risque pour notre population, les élus, les décideurs politiques, devraient siffler la fin de la récréation. Mettre tous ceux qui n’ont rien à faire là dans des bus, direction l’aéroport, et les expulser, hors d’Europe. Et qu’importe que les pays d’origine ne veulent pas les reprendre. Ils les reprendront. Doit-on se laisser menacer et insulter par des pays qui n’ont pas encore ne serait-ce que songé à inventer les fusées qui vont les propulser, peut être un jour, dans l’espace ?

Là encore, vous devez exiger des élus, des décideurs, qu’enfin, ils vous écoutent. Qu’ils arrêtent de verser l’argent public à ceux qui permettent, en conséquence de leur sacro-sainte tolérance, des exactions, partout, tous les jours, dans le pays. Il n’y a aucune exagération. Lisez la presse locale. Lisez la presse alternative. Voyez ce qu’il se passe. Quotidiennement. Il n’y a pas besoin de mentir. Il n’y a pas de « sentiment d’insécurité », mais une course à la mort permanente, permise notamment (mais pas que) parce que ceux d’en haut ont ouvert grand les frontières, obligeant des peuples revanchards, déclassés socialement, n’ayant rien à perdre, et que parfois tout oppose à vivre ensemble, ou plutôt à mourir côte à côte.

Vous ne devez jamais plus tolérer que l’on vous traite de « raciste », ou de « facho » ou de tous les habituels arguments utilisés par nos belles âmes qui, derrière les sourires, sont en train de semer les graines de notre mort à tous. Ce sont des sourires de bourreaux qu’on ces gens, ces « humanitaires » ou ces « militants associatifs », qui vivent avec vos charges et vos impôts et qui œuvrent à creuser votre tombe. Les salopards, ceux qui trouvent des excuses, ou qui se persuadent d’une société qui n’existera jamais ailleurs que dans leurs fantasmes, ce sont eux, pas vous, qui avez les pieds sur terre et le regard froid sur notre réalité.

Il est grand temps de se réveiller. Si les Gilets jaunes étaient l’expression d’une forte colère, d’une rage face à la casse sociale organisée, demain, il faudra des Gilets bleus, symbole de l’Europe et de la paix, dans toutes les villes et les campagnes, pour demander fermement aux dirigeants de nos Etats d’arrêter de nous materner. D’arrêter de nous mentir. D’arrêter de vouloir nous enfermer, nous ficher, nous contrôler, nous éduquer. Mais par contre, d’assurer notre sécurité. De neutraliser tous ceux qui attenteraient à la vie et à la santé de nos enfants, de nos frères et de nos sœurs, de nos fils, de nos filles et de nos femmes. De protéger nos frontières, celles qui nous distinguent et nous ont distingués des autres civilisations tout au long de l’histoire.

Ces décideurs politiques devront écouter ces Gilets bleus. Ils devront écouter la rage et la colère d’un peuple qui refuse de mourir pour un regard de travers, une cigarette refusée, ou pour une dose de crack, ou parce que des fous furieux ont par ailleurs pensé qu’il était bien de faire venir en masse des Afghans, des Pakistanais, des Libyens, des Marocains, des Somaliens, des Maliens… et de les imposer à un peuple qui n’est déjà pas parvenu à intégrer massivement les Algériens et autres africains fraichement arrivés, il y a 3 ou 4 générations.

Nous n’avons plus le temps de rester les bras croisés. Il faut forcer nos décideurs politiques, nos élus locaux, à agir, à réagir. Il en va de notre survie. C’est maintenant que tout se joue.

Vae victis.

Julien Dir

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2 réponses à “Immigration, violences, exactions, drogues…Combien de temps allons-nous rester sans réagir ? [L’Agora]”

  1. patphil dit :

    et hier sur cnews la vidéo d’une jeune femme dans le quartier de stalingrad à paris, sommée de donner son téléphone par un cracké
    mais tout va bien puisque dans la capitale, les gens ont voté anne hidalgo du ps et aux dernières élection les gens se sont massivement abstenu
    comme en bretagne d’ailleurs, les sortants réélus, tout va pour le mieux dans le meilleur des monde

    • louis dit :

      exact ! c’est les français qui sont lobotomisés et le systeme en profite bien ; je pense qu’il n’y a malheureusement plus rien a faire c’est trop tard !

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