Le Pérou a vécu en décembre le renversement de son président démocratiquement élu et qui incarnait les espoirs des classes populaires péruviennes. Ce coup d’État institutionnel, salué par la communauté internationale, a fait naître une contestation populaire qui est réprimée dans le sang par le régime au pouvoir. Romain Migus, journaliste indépendant, est depuis deux mois au coeur des événements. Entretien.
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3 réponses à “Pérou. Les Gilet jaunes affrontent la dictature !”
Qu’est-ce qui vous prend d’interviewer un IDEOLOGUE D’EXTREME-GAUCHE ?:
– ignorant (volontairement ou non) complètement le programme présidentiel cubano-communiste du pantin et incompétent professeur d’école Castillo (ses rédacteurs étant interdits de se présenter suite à leurs condamnations pour corruption)
– glorifiant l’élection et la soi-disant popularité de ce “héros” libérateur, élu surtout par la fragmentation en 17 partis et par le ressentiment anti-Fujimori (attribuant à la fille les péchés de son père)
– gommant les fraudes massives de bureaux de vote présentant 100% de votes pro-communistes
– dissimulant les paiements par les narcos et les pays voisins communistes pour manipuler des manifestants incapables de préciser pourquoi ils manifestent
– cachant le rôle central des universitaires gauchistes dans les violences, comme lors du terrorisme du Sendero Luminoso
– inversant la charge du coup d’Etat sur le congrès alors que Castillo est le seul qui en a tenté un en prétendant dissoudre le ce que la constitution ne lui permet pas
– fantasmant une “extrême droite” péruvienne alors que c’est un pur plaquage européen ne correspondant à rien ici
– délirant sur les “bombes à fragmentation” et les supplétifs contre les pauvres paysans péruviens
– mentant sur les premiers auteurs de violence (lynchages à mort de policiers…)
Un missionnaire au service des plus pauvres au Pérou, présent un certain plus grand nombre d’années que ce “journaliste”…
Et encore:
– brodant un vaste “racisme structurel” contre les Andins (= réchauffant la bonne doxa post-marxiste des universités franchouillardes)
– statufiant le principal saboteur de l’économie péruvienne et autre putschiste, le président socialiste Juan Velasco (en y ajoutant de grosses erreurs de dates)
– encensant abondamment un autre fossoyeur d’extrême gauche, le président colombien Petro (et ses homoloques mexicain et bolivien)
– promouvant la dévastatrice “idéologie de la libération” répandue depuis 50 ans par des religieux rouges
– enfonçant les classes défavorisés dans le victimisme systématique et le ressentiment,
au lieu de chercher à identifier ailleurs que d’abord dans l’économie les principales raisons de la crise
– resservant la propagande mélenchoniste sur l’ultralibéralisme de Macron et ses prédécesseurs, alors que la France est le pays le plus socialiste et étatisé d’Europe
– etc…
Regardez vos mails ;)