On fait semblant de découvrir ce que tout le monde voit : Pierre Ménès, sur TV Libertés, a simplement dit ce que des millions de Français constatent devant leur téléviseur. France–Ukraine : dix Noirs et un Blanc titulaires. C’est un fait. Pas une opinion.
🇫🇷🔥 Voici la compo des Bleus !
🪄 Avec Michael Olise en meneur de jeu, dans un schéma en 4-2-3-1.https://t.co/5ynrPxysLY pic.twitter.com/cEgGfU9VEJ
— RMC Sport (@RMCsport) September 5, 2025
Et soudain, l’hystérie : anciens joueurs indignés, éditorialistes scandalisés, leçon de morale obligatoire. Mais sur les réseaux, la majorité silencieuse a tranché : « Ménès a raison, c’est la réalité ».
Le vrai scandale, ce n’est pas ce qu’il a dit. C’est l’hypocrisie. Tout le monde sait que, dans le football français, les Blancs, les Asiatiques, les Arabes, sont devenus minoritaires dans les sélections de jeunes et les effectifs pros. Pas parce qu’ils n’existent pas, mais parce que les recruteurs ratissent toujours les mêmes quartiers, toujours les mêmes bassins, avec toujours les mêmes profils. Il suffit d’ouvrir les yeux : regardez la Ligue 1, la Ligue 2, le National, chaque semaine. La majorité des 11 de départ ne sont plus majoritairement blancs, y compris en Bretagne, à Rennes, Nantes, Lorient…
Le phénomène est massif, tout comme est massif et parallèle aussi, le phénomène « Racaille football club ».
Quiconque assiste à des entrainements de jeunes chaque semaine ne peut que voir l’influence du rap et de la banlieue (wesh, wallah, frères, insultes, mauvais comportements venant de gamins même de bonnes familles, c’est dire l’influence délétère de cette culture du ghetto) y compris jusque dans les campagnes très blanches. Personne ne sera étonné d’entendre que le fils de Pierre Ménès a été mis de côté jusque dans les douches. C’est le cas dans de nombreux clubs où les Blancs sont minoritaires, même si cela, les élites ne peuvent l’entendre.
Et la gauche, qui passe son temps à exiger des quotas partout ailleurs – dans les entreprises, dans l’administration, dans les écoles – applaudit ici une « méritocratie pure ». Quelle incohérence ! Pourquoi la diversité serait-elle une richesse partout, sauf sur la pelouse du Stade de France où elle disparaît totalement ? Pourquoi l’Espagne, l’Italie, le Portugal ou l’Allemagne n’alignent-ils pas dix Noirs sur onze, alors qu’ils sont aussi des terres de football ?
On nous répond : « Ce sont les meilleurs ». Très bien. Mais les meilleurs parmi qui ? Dans quels viviers ? Pourquoi n’aller jamais chercher les gamins des campagnes, des clubs amateurs, des terroirs où dorment aussi des talents ?
La vérité est simple : on sacralise la diversité… au moment même où l’équipe de France ne reflète plus aucune diversité.
Alors arrêtons la comédie. Pierre Ménès a mis les pieds dans le plat : il a dit tout haut ce que les supporters voient tout bas. Et tant pis pour les pleureuses professionnelles qui confondent constat et « haine ». On peut jouer les vierges effarouchées à chaque phrase qui déplaît, on peut continuer les indignations pavloviennes ; on peut aussi regarder un onze de départ et accepter qu’il raconte autre chose qu’un simple tableau de mérites individuels : il dit comment un pays recrute, où il cherche, quels réseaux il favorise. C’est cela, le vrai débat.
Au fond, à la rédaction de breizh info, que cette équipe soit composée de dix Noirs, de dix Blancs ou de onze Martiens, cela nous laisse froid : nous, nous supportons les nations celtes, aussi moyennes soient elles au football, au moins, elles incarnent leurs peuples.. L’équipe de France peut ressembler à ce qu’elle veut : on s’en moque. En attendant une équipe de Bretagne digne de ce nom///
Julien Dir
Photo : Canal + tweet
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Une réponse à “France-Ukraine : 10 joueurs noirs au coup d’envoi. Pierre Ménès a mis les pieds dans le plat : il a dit tout haut ce que les supporters voient tout bas”
la différence entre le foot et rugby…
torchons et serviettes.
La plupart de ces membres de l’équipe de France.
leurs parents sont des étrangers.
Mbappé est un exemple.
algerien camerounais.
Aucun footeux né de parents de souche française